Suite de autobiographie, avec des § copiés du site consultant-legros.net


Le Système solaire a vu le SYSTEME LEGROS™ apparaître sur la planète Terre suite a 4,5 milliards d’années d’existence. La propriété incorporelle ou immatérielle, qui n’a pas de corps, aura fait 38 révolutions autour du soleil en 2023.


Le droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral, ainsi que des attributs d’ordre patrimonial.


Le SYSTEME LEGROS™ résout de sa formule intervectorielle des milliards, des milliards (10 exa ou 10^19) d’opérations en une seconde. En une année, il s’agit de 10^27 opérations sur Terre, dans la vie de tous les jours des humains, du vivant, des mobiles, des télécommunications, de la téléphonie mobile, des machines, de l’automatique, de l’informatique, des calculateurs, des écrans, des robots, des sondes et des véhicules spatiaux.


La formule de la description intervectorielle du monde, de l’espace, de l’Univers ou de Multi Univers au temps (T) passé, présent ou futur (T-, T0, T+) a une puissance p base 10 d’exposant n qui tend vers l’infini ou p^n ou 10^n. La vitesse V intervectorielle tend vers 0, est nulle (arrêt), ou tend vers l’infini.


La formule des résolutions intervectorielles quantiques spatiales universelles infinies est indispensable aux produits numériques  du SYSTEME LEGROS™, les dix revendications du brevet FR 2 586 845 le 27 août 1985, à 15 heures.


Les produits de l’économie numérique du SYSTEME LEGROS™ représentent bien aujourd’hui les 35% du PIB mondial, pour 35 mille milliards d’euros.


Le brevet FR 2 586 845, l’invention ou l’oeuvre d’art constituent selon les produits du SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR les 33%, 66% et 100% estimés du produit fini. Sans l’apport de l’auteur inventeur, ces produits n’existent pas ou le néant.


De la publicité nationale et internationale, il n’existe pas d’antériorité ou de publication dans le monde. Le brevet français de M. Legros a été décisif au développement, aux orientations des différentes industries du 21ème siècle.


Le droit d’auteur ou le droit d’inventeur de Monsieur Bernard René Paul Legros est perpétuel, inaliénable, imprescriptible.


15. Les infractions conséquentes de crimes et délits de contrefaçon et la publicité

Au mépris de la loi, des infractions sans limite de crimes et délits sont commises pour la consommation en bande organisée d’un vol de brevet français FR 2 586 845, de l’invention, de l’œuvre d’art, de l’œuvre culturelle protégée par le droit d’auteur. Il ne s’agit plus aujourd’hui d’un délit de contrefaçon porté en justice, mais d’infractions avec préméditation, circonstances aggravantes, qualifiées de criminelles ; le génocide ou les atteintes portées à un membre du groupe ; la discrimination par une personne dépositaire de l’autorité publique dans l’exercice de sa fonction ou de sa mission ; la contrefaçon du brevet français FR 2 586 845 ; la contrefaçon de l’œuvre de l’esprit ; la violation du droit d’auteur ; le recel habituel ; la réduction en esclavage de l’auteur inventeur ; le vandalisme ; la mise en danger de la personne ; la dénonciation calomnieuse ; l’administration de substance nuisible ; des tortures ou des actes de barbarie ; les atteintes graves à l’intégrité physique et psychique ; l’extorsion ; la falsification d’expertise ; l’escroquerie ; le faux en écriture publique ; le témoignage mensonger ; l’usurpation de la qualité d’auteur, d’inventeur ; l’usurpation de titres de propriété ; le discrédit public porter à un acte, à une décision juridictionnelle ou à un titre de propriété ; les menaces ; le vol en bande organisée ; le blanchiment ; la corruption ; l’entrave à l’expertise judiciaire ; l’entrave à la justice ; le déni ; la falsification d’expertise ; la fourniture de fausses informations civiles et militaires ; l’entretien d’intelligences avec une puissance étrangère ou une entreprise en vue de susciter des hostilités ; la trahison ; la rébellion contre l’institution de l’Etat ; le sabotage du système d’information automatisé breveté ; l’apport de malfaçons au système automatisé ; la destruction du titre de propriété intellectuelle industrielle objet de la publicité nationale et internationale, et délivré par l’autorité compétente de l’état ; la contrebande, l’importation ou l’exportation de produits de contrefaçon civils, militaires, ou d’un bien culturel ; les atteintes à la marque des produits, aux indications de date, de certification, d’origine ; l’acte attentatoire à la liberté de créer ; le terrorisme ; le détournement des fonds privés des redevances de l’exploitation du brevet et des droits d’auteur ; les atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation, à son indépendance, à son intégrité, à sa sécurité, à son équilibre, à son environnement, aux éléments essentiels de son potentiel scientifique et économique et de son patrimoine culturel.


Les infractions criminelles avec préméditation, circonstances aggravantes, en bande organisée sont constituées sur la preuve judiciaire des décisions datées, signées de leurs auteurs, publiées, déposées au greffe du tribunal – articles 132-71, 132-72, 211-1, 212-1, 222-3, 222-15, 223-1, 223-15-2, 225-2, 226-10, 311-9, 312-1, 313-1, 321-2, 322-1, 324-1, 411-1, 411-4, 411-6, 411-9, 411-10, 421-1, 432-1, 432-4, 432-7, 432-11, 432-12, 433-1, 433-17, 434-1, 434-5, 434-7-1, 434-14, 434-20, 441-1, 441-4 et 410-1 du Code pénal.


16. La justice civile

Les Juges civils ne disposent pour se prononcer sur la contrefaçon du brevet et des droits d’auteur que de l’expertise judiciaire privée complète de M. Legros auteur inventeur, le propre expert de son invention, de son brevet, de son œuvre de l’esprit protégée par le droit d’auteur.


La contrefaçon s’apprécie par les ressemblances et non par les différences. Elle consiste dans la reproduction des caractères essentielles de l’invention. TGI 28 oct. 1992 :PIBD 1993, III, p.81. Paris, 21 févr. 1986 : RDPI 1986, n°4, p. 27.


La contrefaçon existe lorsque les ressemblances, portant sur les caractéristiques essentielles, sont telles que la description des deux modèles ne permet pas au consommateur de les distingués. Lyon 2 juill. 1998, : PIBD 1998, III, p. 558, ; RDPI 1998, n°89, p.35.


Le tableau des ressemblances est la preuve de la contrefaçon. Le brevet français FR 2 586 845 est reproduit en entier de ses huit (8) circuits électroniques sur le métro automatique numérique mixte METEOR. L’invention a été exécutée, le brevet est exploité dans l’industrie par la RATP sur la Ligne-14. Le brevet n’est pas nul.


Les droits d’auteur sont exploités en intégralité ou en partie par la RATP en embarqué à bord des rames ou en station ou dans le central, notamment le code logiciel numérique, le système d’exploitation électronique, de télécommunication, de géolocalisation, de navigation, d’anticollision, de pilote mixte manuel, semi-automatique ou la rame autonome, d’information, de messages SMS, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, l’architecture du système, de la systémique des systèmes interconnectés, le design, la liaison à la téléphonie mobile, à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites.


L’expertise en contrefaçon du métro METEOR a été déposée aux conclusions de l’avocat en première instance au greffe du Tribunal de Grande Instance et au greffe de la Cour d’appel de Paris.


Du procès civil en première instance et en appel, il n’y a pas de brevet ou de publication de métro de la RATP, de SIEMENS (anciennement MATRA) opposé au brevet français FR 2 586 845 pour exécuter le métro METEOR.


Il n’y a aucune expertise judiciaire des revendications pour exécuter le métro METEOR, ni des revendications pour exécuter les autres applications de télécommunication, routière, ferroviaire, maritime, aérienne, spatiale. Et, il n’y a aucune expertise judiciaire des Juges civils pour rendre nul le brevet français FR 2 586 845.


Les Juges civils de la Cour d’appel  de Paris prononcent l’arrêt le 05 avril 2006 qui confirme le Jugement entrepris. Ils condamnent M. Legros, titulaire d’un brevet délivré par l’autorité compétente de l’Etat, à verser à la RATP et à SIEMENS la somme complémentaire de 10000 euros.


Du Jugement favorable à RATP et SIEMENS (anciennement MATRA démissionnaire de son assignation en référé par la RATP, ayant renoncé au métro METEOR), les Juges civils sont accusés de l’abus de la qualité et de l’escroquerie au jugement.


En situation de demandeur d’emploi de longue durée, dans un secteur en recherche de compétence et de talent, ayant deux enfants à charge en bas âge, M. Legros a été condamné à payer au total la somme de 25000 €.


Le prototype, les documents demandés en justice à M. Legros constituent une violation de la loi du Code de la propriété intellectuelle sur les brevets d’invention, sur le droit d’auteur, seulement la description de l’invention doit être suffisante pour l’exécuter et l’exploiter.


Nul ne peut être puni pour un crime ou un délit dont les éléments ne sont pas définis par la loi - article 111-3 du Code pénal.


L’invention du métro METEOR sans l’opposition de tiers est nouvelle, implique une activité inventive, elle a été exécutée par MATRA (pilote automatique), ALSTOM (rame MP89) et des sous-traitants, est exploitée en entier dans l’industrie par la RATP.


L’œuvre de l’esprit du métro METEOR sans l’opposition de tiers est originale, nouvelle. Les droits d’auteur sont exploités en intégralité ou en partie en embarqué à bord des rames ou en local, sur la voie, en station ou en central.


La décision des Juges civils en contrariété avec la décision des Juges répressifs  

a) Les Juges civils déclarent que l’invention du métro automatique METEOR est nouvelle, implique une activité inventive.

b) Les Juges civils déclarent ne pas être capables d’exécuter l’invention avec le brevet de M. legros FR 2 586 845, de sorte que, sans le prototype, le brevet sera déclaré nul.

c) Les Juges civils déclarent  ne pas être capables ni d’identifier, ni d’apprécier l’œuvre de l’esprit revendiquée sans un autre document, de sorte qu’il sera débouté au titre des droits d’auteur. Les Juges civils sont accusés de violation du Code de la propriété intellectuelle, le prototype n’est pas l’objet de la loi, seul le brevet doit être suffisant pour exécuter l’invention, et l’apport d’un autre document est prohibé par la loi.


Il n’y a en justice que l’expertise judiciaire complète de M. Legros pour que les Juges civils puissent se prononcer.


17. La justice répressive

Les Juges répressifs ne disposent pour se prononcer sur la contrefaçon du brevet et des droits d’auteur que de l’expertise judiciaire privée complète de M. Legros auteur inventeur, le propre expert de son invention, de son brevet, de son œuvre de l’esprit protégée par le droit d’auteur.


La contrefaçon s’apprécie par les ressemblances et non par les différences. Elle consiste dans la reproduction des caractères essentielles de l’invention. TGI 28 oct. 1992 :PIBD 1993, III, p.81. Paris, 21 févr. 1986 : RDPI 1986, n°4, p. 27.


La contrefaçon existe lorsque les ressemblances, portant sur les caractéristiques essentielles, sont telles que la description des deux modèles ne permet pas au consommateur de les distingués. Lyon 2 juill. 1998, : PIBD 1998, III, p. 558, ; RDPI 1998, n°89, p.35.


Le tableau des ressemblances est la preuve de la contrefaçon. Le brevet français FR 2 586 845 est reproduit en entier sur le dispositif des AIS Automatique Identification Système. L’invention a été exécutée, le brevet est exploité dans l’industrie par les Chantiers de l’Atlantique à bord des navires civils et militaires. Le brevet n’est pas nul.


Les droits d’auteur sont exploités par les Chantiers de l’Atlantique à bord des navires civils et militaires, notamment le code logiciel numérique, le système d’exploitation électronique, de télécommunication, de géolocalisation, de navigation, d’anticollision, de pilote manuel, semi-automatique ou le navire autonome, d’information, de messages SMS, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, l’architecture du système, de la systémique des systèmes interconnectés, le design, la liaison à la téléphonie mobile, à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites.


Le tableau des ressemblances est la preuve de la contrefaçon de l’œuvre de l’esprit du brevet français FR 2 586 845 reproduite de la directive Rés.A.917(22) pour le dispositif des AIS Automatique Identification Système imposé le 1er juillet 2002. Les droits d’auteur sont exploités par l’OMI Organisation Maritime Internationale de la représentation, de la reproduction, de la diffusion, télédiffusion, de l’édition, de l’exportation ou de l’importation de la nouvelle directive postdatée, un bien culturel français.


L’expertise judiciaire privée complète de M. Legros des AIS Automatique Identification Système a été déposée aux conclusions de l’avocat au Juge d’instruction du Pôle financier du Tribunal de Grande Instance et au greffe de la Cour d’appel de Paris.


Au dossier de l’instruction de trois plaintes déposées avec constitution de partie civile, il n’y a pas de preuve de brevet ou de publication de l’OMI, des Chantiers de l’Atlantique, de la SNCF opposé au brevet de M. Legros pour soutenir que l’invention n’est pas nouvelle.


L’expertise judiciaire sur mission d’expert des Juges répressifs est attestée d’être incomplète de deux Ordonnances de l’instruction datées signées. L’expertise Chantiers de l’Atlantique est également attestée, de l’expert privé lui-même, d’être incomplète.


L’invention du dispositif marin des AIS Automatique Identification Système sans l’opposition de tiers est nouvelle, implique une activité inventive, elle est exploitée en entier dans l’industrie par l’OMI, les Chantiers de l’Atlantique. Et, la SNCF exploite l’invention.


L’œuvre de l’esprit du dispositif marin des AIS Automatique Identification Système sans l’opposition de tiers est originale, nouvelle. Les droits d’auteur sont exploités en intégralité ou en partie en embarqué à bord des navires, des sous-marins, à bord de l’aéronef de sauvetage en mer, en local, station, port de commerce, aux phares et balises. Les droits d’auteur du dispositif ferroviaire sont exploités en intégralité ou en partie par la SNCF.


L’expertise judiciaire de M. Legros aux conclusions de l’avocat est la seule expertise judiciaire attestée d’être complète au dossier du Juge d’instruction pour se prononcer. Elle a été déposée par l’avocat au greffe du Pôle financier du Tribunal de Grande Instance et au greffe de la Cour d’appel de Paris.


La décision des Juges répressifs en contrariété avec la décision des Juges civils

a) Les Juges répressifs déclarent sans opposer une antériorité que l’invention maritime et de télécommunication spatiale des AIS* n’est pas nouvelle, n’implique pas une activité inventive. (*) En 1985, le système de position par satellites de type GPS n’existait pas, ni la sécurité anticollision et la directive Rés.A.917(22) nouvelle. Le dispositif électronique marin des AIS est complexe, implique une activité inventive.

b) Les Juges civils déclarent que l’invention est exécutée, exploitée à bord des navires des Chantiers de l’Atlantique ou dans l’industrie, l’invention est bien directement exécutable.

Les Juges répressifs déclarent que le circuit 8 d’asservissement ou de logique de fonctionnement de la revendication n°1 pour le mouvement des navires n’est pas exploité à bord des navires. La caractéristique principale n’est pas reproduite en entier du circuit 8, de sorte qu’il n’y a pas de contrefaçon du brevet français FR 2 586 845. Il s’agit d’une escroquerie au jugement, sans le circuit 8 de mouvement, les navires restent immobiles, sont inexploitables en mer ou à quai dans les ports de commerce.

c) Les Juges répressifs déclarent que l’invention comporte des nouveautés mais n’a pas le caractère d’inventivité nécessaire à la mise en œuvre d’un droit de propriété industrielle.


Les Juges répressifs prononcent un non-lieu le 22 juillet 2010, confirmé le 03 mars 2011 par la Cour d’appel de Paris.


Il n’y a en justice que l’expertise judiciaire complète de M. Legros pour que les Juges répressifs puissent se prononcer.


18. La contrariété restée en l’état des Juges civils et des Juges répressifs

L’invention électronique du Système de sécurité anticollision pour les mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt ne peut supporter la contrariété de ces décisions judiciaires.


Le brevet a été délivré en France, en Espagne, au Canada conformément aux conditions de brevetabilité, de nouveauté, d’activité inventive, d’exécution de l’invention ou de son exploitation dans l’industrie. Il est incontestable que le brevet français de M. Legros FR 2 586 845 est exploité dans l’industrie de ses applications revendiquées et brevetées.


La nullité prononcée du brevet français FR 2 586 845 est insoutenable en justice, au regard de la publicité nationale internationale de l’invention et de l’oeuvre de l’esprit considérée par le droit d’auteur. Au procès, les prétentions des parties soumises aux Juges visent tout simplement, sans aucune preuve apportée judiciaire au dossier de l’instruction, à s’affranchir des droits du propriétaire du brevet FR 2 586 845 et des droits d’auteur.


L’invention brevetée par l’autorité compétente de l’Etat, le titre est contesté par les Juges civils, par les Juges répressifs, les décisions contrariées sont de droit et de la loi inacepptables.


Les Juges civils et les Juges répressifs prononcent que l’invention brevetée :


1°) est nouvelle (Juges civils) ; n’est pas nouvelle (Juges répressifs) ;


2°) implique une activité inventive (Juges civils) ; n’implique pas d’activité inventive (Juges répressifs) ;


3°) est exécutée (Juges répressifs) ; n’est pas exécutée (Juges civils)  ;


4°) est exploitée dans l’industrie (Juges répressifs) ; n’est pas exploitée dans l’industrie (Juges civils)  ;


5°) est exploitée dans l’industrie, n’est pas exploitée en la totalité de ses huit circuits électroniques, soit le circuit 8 de mouvement des mobiles (Juges répressifs) ; la totalité des huit circuits électroniques sont nécessaires pour exécuter, exploiter l’invention des mobiles en mouvement, et dans l’industrie (Juges civils).


L’AIS (Automatique Identification Système) numérique 3D exploité par l’OMI et les Chantiers de l’Atlantique, le Système ferroviaire numérique 3D de la SNCF (Juges répressifs), le métro automatique manuel mixte numérique 3D METEOR à rames bidirectionnelles de RATP, de MATRA cédé à SIEMENS (Juges civils) exploitent l’invention en entier, les droits d’auteur en intégralité ou en partie de l’invention du plan ou de l’espace brevetée.     


Le circuit électronique 8 d’asservissement et de logique de fonctionnement est nécessaire au mouvement 3D, à la trajectoire, à l’arrêt des mobiles du plan ou de l’espace, est nécessaire pour exploiter les dix revendications de l’invention en embarqué à bord du mobile ou en local dans l’environnement, le plan ou l’espace brevetée par l’autorité compétente de l’Etat pour un droit exclusif d’exploitation.


Les Juges civils, les Juges répressifs ont mis en place avec préméditation, circonstances aggravantes l’escroquerie pour faciliter ou favoriser le vol en bande organisée de l’invention, du brevet FR 2 586 845, de l’œuvre de l’esprit considérée par la loi sur le droit d’auteur et par la Convention universelle sur le droit d’auteur, révisée à Paris le 14 juillet 1971.


Les Juges civils et les Juges répressifs sont accusés en justice aux chefs d’accusation de crimes et délits avec préméditation et circonstances aggravantes.


- « En se refusant à examiner des problèmes scientifiques dont elle ne déniait pas l’importance et sur lesquels elle pouvait consulter des experts, la Cour d’appel ne donne pas de base légale à sa décision ». Civ, 1re oct. 1981 : Bull. Civ. I n°285.


- « La charge de la preuve pèse sur celui qui conteste la brevetabilité de l’invention brevetée ». Com 18 mai 1999 : Ann. propr. ind. 1999 282.


- « Sur la brevetabilité, foi est due au titre de propriété délivré ». – Com. 18 mai 1999 : Ann. Propr. ind. 1999. 282.


Il est revendiqué en justice, de faits de droit, et de la loi, que le brevet français de M. Bernard Legros FR 2 586 85 n’est pas nul ; le brevet et les droits d’auteur sont exploités.


La rébellion contre l’Institution de l’Etat entre 1985 et 2022 (37 ans) est pour s’affranchir des titres de propriété du brevet FR 2 586 845, des droits d’auteur et du paiement des redevances de M. Legros auteur inventeur propriétaire.  


Une journée est suffisante pour exécuter le tableau des ressemblances par l’expert judiciaire. Sachant que celui-ci a été publié aux expertises judiciaires complètes de M. Legros auteur inventeur, le propre expert de son invention, de ses droits d’auteur, et remis aux parties, aux Juges, en France, au Royaume Uni.


Considéré en justice comme la preuve irréfutable, le tableau des ressemblances n’a pas été exécuté par les experts judiciaires, les experts des parties sur la durée de la procédure judiciaire de 1998 à 2011 (13 ans). L’intention avec préméditation circonstance aggravante étant de se soustraire à cette preuve au mépris de la loi.


Le brevet et les droits d’auteur sont exploités dans l’industrie par les parties, la RATP, SIEMENS STS (anciennement MATRA), la SNCF, l’OMI et les Chantiers de l’Atlantique. Ce qui constitue la falsification d’expertise, l’escroquerie au jugement, l’entrave à la justice, le faux en écriture publique, le déni, les atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation.


19. La restauration du titre de propriété intellectuelle

De droit, en application de la loi de la République française, la restauration du titre de propriété industrielle du brevet d’invention FR 2 586 845 délivré par l’Etat s’impose avec la publicité de son inscription au registre national des brevets et dans la presse.


La description est limpide claire malgré la complexité de l’invention 1985-2022 (37ans). La formule intervectorielle scientifique Métamathématique physique quantique spatiale universelle est fondamentale, essentielle au fonctionnement, à l’exécution, à l’exploitation du système de sécurité anticollision pour les mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt.


L’invention est bien nouvelle, implique une activité inventive, est directement exécutable par l’homme du métier. Le brevet a été étudié avec minutie notamment par les Services Laboratoires et de Recherche de la RATP, de la SNCF. Le brevet, les droits d’auteur effectifs sont reproduits dans les moindres détails, la description, les formules, les plans, les dessins, l’architecture du système et le design par RATP, MATRA, SNCF, OMI et Chantiers de l’Atlantique. Au brevet de M. Legros, aucun document n’est opposé.


Sur pièces judiciaires datées, signées de leurs auteurs, les crimes et délits de contrefaçon en bande organisée du brevet français FR 2 586 845, des droits d’auteur sont constitués. Le brevet français FR 2 586 845 doit être rétabli en son titre, sa restauration s’impose.


Le droit d’inventeur, le droit d’auteur est perpétuel, inaliénable, imprescriptible  


20. Le renvoi de l’affaire pour une bonne administration de la justice

La Chambre criminelle de la Cour de cassation saisie a prononcé un arrêt le 26 novembre 2012 renvoyant l’affaire au Juge d’instruction désigné par ses supérieurs du Tribunal de Grande Instance de Versailles pour une bonne administration de la justice.


Le Juge d’instruction a refusé de juger de 2013 à 2018, pendant 5 années, malgré 19 lettres recommandées avec avis de réception de la victime. Il n’a pas jugé la contrariété qui lui a été soumise par ses supérieurs et le déni. Il a commis une entrave à la justice, un faux en écriture publique. L’Ordonnance de refus d’informer, datée le 29 janvier 2018, ne se prononce pas sur la contrariété des décisions, ni sur les chefs d’accusation pour lesquels il a été désigné ; ce qui constitue le second déni - article 434-7-1 du Code pénal.


L’Ordonnance de refus d’informer reste pendante au tribunal sur la contrariété des décisions civiles, des décisions répressives, sur le déni, sur la validité du titre de propriété industrielle délivré par l’autorité compétente de l’Etat déclaré nul.


Cette affaire est publique de la publicité des décisions judiciaires prononcées, datées, signées de leurs auteurs. Elle concerne les personnes, les usagers, les industriels, les organisations du transport, de la route, du ferroviaire, du maritime, de l’aérien, de l’espace, ainsi que des télécommunications. L’affaire concerne la société, l’humanité toute entière.


L’exportation, l’édition, la diffusion, la télédiffusion ou le commerce d’un bien culturel scientifique sans le consentement du propriétaire M. Bernard Legros est illégale au départ de la France vers le Royaume Uni, et le monde entier. L’OMI composée de 177 pays membres ou associés est une organisation des Nations Unies de Washington USA.


Le dossier de M. Legros pour l’exploitation de son brevet FR 2 586 845 comprenant l’œuvre de l’esprit des AIS déposé à l’ANVAR sera rejeté, alors que le marché exclusif mondial des AIS se chiffre en des centaines de milliards d’euros sur 20 ans, 70 ans et plus. Les atteintes portées aux intérêts fondamentaux de la nation sont constituées - article 410-1 du Code pénal.


21. Les échecs ou les « bides » ou les produits retirés de l’industrie

Le SYSTEME LEGROS™ entièrement nouveau n’est pas un «bide», malgré les dénonciations calomnieuses en public, au tribunal de personnages indélicats ou ignorants du domaine. L’invention, le brevet les droits d’auteur portent sur la sécurité, les sciences, les techniques de très haute technologie industrielle multisectorielle, d’ingénierie, d’électronique, de calculateurs, de télécommunications, de transports et de l’espace.


Aux années de 1970 des produits de l’industrie ont connu un échec technique ou commercial, ont plus ou moins été exploités ou retirés du marché, notamment l’aérotrain, les avions renifleurs, l’avion Concorde, le train pendulaire à énergie cinétique passif, le moteur rotatif, les superpétroliers, le prototype ARAMIS, le MINITEL™, le système d’exploitation DOS, CPM, GECOS et le menu de programme d’ordinateur numéroté, le compilateur,  les disquettes, le tube cathodique, le GSM, la cabine téléphonique, les réseaux de télécommunication analogique, le combiné de téléphone, le réseau TRANSPAC™, le faisceau de câbles et l’électricité des automobiles, l’allumage électromagnétique, les antennes OMEGA, la balise ARGOS, le parcmètre, l’horodateur, les cartes routières, le pilote manuel, les lettres et les télégrammes de la poste. La prudence s’est installée. L’innovation, l’investissement ont été découragés contre l’apport de nouvelle technologie du SYSTEME LEGROS™ le 27 août 1985, à 15 heures.


La RATP exploitant de transport public n’a pas plus retenu la technologie MATRA du prototype ARAMIS, du métro VAL ou du SACEM ou son mode d’information rudimentaire pour équiper d’un système nouveau la Ligne-14 METEOR (1998), la Ligne-1 Vincennes La-Défense (2011) et le Système d’information aux voyageurs à Paris et en Ile-de-France.


M. Legros a déposé sa demande pour un brevet d’invention tout en sachant fournir de l’activité face au chômage, fournir des emplois, des métiers nouveaux nés de l’économie numérique. Il informera le Chef de l’Etat de la situation avantageuse du brevet d’invention, des droits d’auteur et de l’exécution simple de la loi de la République.  


L’affaire est devenue judiciaire de la rébellion contre le titre délivré par l’Institution de l’Etat, le brevet FR 2 586 845 et les droits d’auteur. Le droit exclusif d’exploitation des métros automatiques de type METEOR, du Système d’information voyageurs dans le transport en général et des produits marins des AIS constitue un monopole mondial.


22. Le Système  Legros™ Ordinateur Portable Tablette, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation électronique à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile sur l’écran plat, des huit (8) circuits électroniques, de modem-L, de télécommunication des réseaux  tdma, cdma, fdma, mixte mdma, wi-fi, bus, Electrobus, de code logiciel numérique, de détection, d’application, d’activation manuelle ou automatique, de connexion périphériques, de camera ou webcam, audiovisuelles, de mémoire USB, d’alimentation, batterie ou secteur, d’écran plat, de résolution intervectorielle, de l’élément ve(pixels), des ensembles E, E’, …, En, de concaténation, de copier-coller, de QR-Code-L 1-4D, des applications de traitement de texte, de télécommunication des systèmes interconnectés, spatiaux, de l’Internet, de la navigation, de l’exploration, de la recherche à l’écran, dans le système, la base de données, les systèmes, les réseaux, de la vision, des quantités Qn, des temps Tn, de  la Télémaintenance.


Dans l’informatique exception faite de l’art antérieur public, publié, protégé, les constructeurs d’ordinateurs, de portables, de tablettes, de système d’exploitation éléctonique exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie.


23. Le Système  Legros™Télécommunication spatiale Téléphonie mobile antennes, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, d’identification, de géolocalisation, d’antennes cellulaires ou spatiales, d’information, de vision, d’écran plat à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile, de navigation, de signal Sigma-L synchronisé, programmé, codé, sécurisé, de télécommunication, réseaux tdma, cdma, fdma, mixte mdma, wi-fi, bus, Electrobus, de dialogue, de messages SMS, de QR-Code-L, de photographies, de film, de reconnaissance de forme, de rendez-vous sur écran plat ou sur zone, de mouvement, détection application, activation, de Télémaintenance, en local poste fixe ou poste mobile, portable, tablette, ordinateur, ou en embarqué à bord d’un mobile ou d’un véhicule.


Dans les télécommunications, les opérateurs de la téléphonie mobile les PTT* (Postes Télégraphes Téléphones, France Télécom), devenu Orange, SFR, Bouygues Telecom, FREE, RATP et SNCF* exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie. (*) citées dans la description du brevet de M. Legros FR 2 586 845 le 27-08-1985, à 15 heures


24. Le Système Legros™ Ecran Langage HTML Internet, l’architecture, le design, la formule intervectorielle, la modélisation unitaire ou multiple en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation électronique à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile d’écran plat, de télécommunication, de balise, d’activation, de bascule à interrupteur bouton-poussoir manuel « click » ou automatique, de navigation, d’exploration, de recherche dans la base de données, dans le système, le réseau, la systémique des systèmes interconnectés, de langage HTML Hyper Text Markup Language, de construction de pages, d’écrans, d’information, de messages SMS, de séquences animées d’images audiovisuelles ou cinématographiques ou de film, de sites Internet, et en liaison montante descendante vers les satellites.


25. Le Système Legros™ Livebox, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication interconnecté, les réseaux, le bus système, la wi-fi, l’Internet, la vision, l’audiovisuel, la tv numérique, le combiné de téléphone fixe, la téléphonie mobile, le portable, l’ordinateur, la tablette, la liaison montante descendante vers les satellites, la Télémaintenance de la Livebox.  


26. Le Système Legros™ Automobile Bus Camion Poids Lourds Cycles deux roues, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatiale, d’information voyageurs, de signal de détresse, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation sur l’écran du tableau de bord et de carte électronique, de navigation sur la zone, de signalisation, de radar, d’asservissement et de logique de fonctionnement du véhicule, de commande, de volant, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anticollision, d’antiblocage ABS, d’antipatinage de roues, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou le véhicule autonome 3D, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, marche avant, marche arrière, changement de trajectoire, approche, accostage, attelage, correction de position ou de mesure tD, dD, de boite noire géolocalisée, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Check List, de Télémaintenance, en embarqué à bord des véhicules, ou en local, poste de contrôle PC route, passage à niveau, gare routière de voyageurs, central, télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus de l’automobile, la téléphonie mobile, la wi-fi, l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites de l’espace.


Dans l’automobile, Renault, Peugeot et Citroën exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie.


27. Le Système Legros™Ferroviaire TGV Pendulaire TER RER Métro Tramway, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatiale, d’information voyageurs, de signal de détresse, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation à l’écran sur la carte électronique, de navigation sur la zone, de signalisation, de radar, d’asservissement et de logique de fonctionnement du train, de commandes, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anticollision, d’antilaminage, d’antiblocage ABS, d’antipatinage de roues, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou le train autonome 3D, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, marche avant, marche arrière, changement de trajectoire, approche, accostage, attelage, correction de position ou de mesure tD, dD, de boite noire géolocalisée, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Check List, de Télémaintenance, en embarqué à bord des trains, ou en local, poste de contrôle ferroviaire, poste d’aiguillage, maisonnette de passage à niveau, gare de  voyageurs, central, télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus du train, la téléphonie mobile, la wi-fi, l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites de l’espace.


Dans le ferroviaire, la RATP, la SNCF*, ERTMS (European Rail Trafic Management System) exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie. (*) citée dans la description du brevet de M. Legros FR 2 586 845 le 27-08-1985, à 15 heures


28. Le Système Legros™ Maritime Navires civils militaires,  l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication du produit marin des AIS, d’identification MMSI, de géolocalisation spatiale, d’information voyageurs, de signal de détresse GMDSS, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation à l’écran, sur la carte électronique ECDIS, de navigation sur la zone, de signalisation, de radar ARPA, d’asservissement et de logique de fonctionnement du navire, de commande de barre, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anticollision, d’antiéchouage, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, marche avant, marche arrière, route, cap, ancrage et mouillage en mer, changement de trajectoire, approche, accostage, amarrage à quai, correction de position ou de mesure tD, dD,  de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou le navire autonome 3D, de code logiciel numérique, d’INS, de boite noire géolocalisée VDR, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Télémaintenance, en embarqué à bord des navires, paquebots, ferries, porte-conteneurs, panamax, méthaniers, frégates, sous-marins, porte-avions, plate-formes offshore, parc éolien ou en local, station de service du trafic maritime STM, centre CROSS, port de commerce, aux phares et balises, à bord de l’aéronef de sauvetage en mer, de télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus du navire, la téléphonie mobile, la wi-fi, l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites de l’espace.


De la publicité nationale internationale, le tableau des ressemblances entre le brevet FR 2 586 845 le 27-08-1985 et entre la directive Rés.A.917(22) de l’Organisation Maritime Internationale OMI le 01-07-2002 (plus de 16 ans après la publicité), la directive est une copie de l’invention, du brevet et des droits d’auteur. De la loi, la contrefaçon est un délit. M. Legros auteur inventeur est le propre expert de son invention, de son brevet, de ses droits d’auteur de son expertise privée judiciaire déposée au greffe de tribunal, au greffe de la Cour d’appel de Paris. L’expertise judiciaire privée est publiée aux parties, en France, au Royaume Uni, sur l’Internet, dans le monde.


La contrefaçon de l’invention, du brevet, des droits d’auteur de Legros des AIS

<> La contrefaçon s’apprécie par les ressemblances et non d’après les différences. Elle consiste dans la reproduction des caractères essentiels de l’invention. TGI Paris, 28 Oct. 1992 : PIBD 1993, III, p.81. Paris, 21 févr. 1986, RDPI 1986, n°4, p. 27.


<> La contrefaçon existe lorsque les ressemblances, portant sur les caractéristiques essentielles, sont telles que la description des deux modèles ne permet pas au consommateur de les distinguer. Lyon, 2 juill. 1998 : PIBD 1998, III, p. 558 ; RDPI 1998, n°89, p. 35.


L’importation ou l’exportation d’un bien culturel français le 27 août 1985 qui est certifié, postdaté le 1er juillet 2002, notamment d’écrits scientifiques, littéraires, artistiques, de plans, de dessins, d’architecture, de design, de code logiciel numérique, d’information, de messages de navigation SMS, de séquences animées d’images audiovisuelle cinématographique ou de film, de moyens de télécommunication, d’Electrobus, de bus, de wi-fi, de liaison montante descendante vers les satellites sans le consentement personnel obligatoire de l’auteur donné par écrit est illicite.


Œuvre d’art culturelle scientifique littéraire audiovisuelle film plan architecture design du système fonctionnement identification des navires sécurité anticollision navigation spatiale écran zone pilote manuel automatique ou navire autonome 3D

Brevet FR 2 586 845 Electronique Télécommunication AIS © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays


Les Chantiers de l’Atlantique, la DCN, la DGA, les ports de commerce, les ports autonomes, les CROSS, les Affaires mariitimes exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie. Le produit marin de M. Bernard Legros des AIS reçoit la certification des organismes agréés tels le Bureau Veritas, la Loydd’s Register, le Det Norske Veritas.  


29. Le Système Legros™ Aérien Avion Hélicoptère Drone Missile, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatiale, d’information voyageurs, de signal de détresse Mayday, SOS, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation à l’écran sur la carte électronique, de navigation sur la zone, de signalisation, de radar, d’asservissement et de logique de fonctionnement de l’avion, de commande, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anticollision, d’antidécrochage, d’antiblocage ABS, d’antipatinage de roues du train d’atterrissage, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou l’avion autonome 3D, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, marche avant, marche arrière, décollage, atterrissage, changement de trajectoire, approche, accostage, arrimage, correction de position ou de mesure tD, dD, de boite noire géolocalisée, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Check List, de Télémaintenance, en embarqué à bord des avions, civils, militaires, hélicoptères, engins, drones, ou en local, poste de contrôle aérien, tour de contrôle, aéroport, salle d’embar-quement des voyageurs, de télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus de l’avion, la téléphonie mobile, la wi-fi, l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites de l’espace.


Dans l’aéronautique, EADS (Aérospatiale), Airbus, Eurocopter, Thales, Dassault, les Aéroports de Paris, Eurocontrol exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie.


30. Le Système Legros™ Spatial Lanceur Fusée Missile intercontinental et engin, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatiale, d’infor-mation, de signal de détresse Mayday, SOS, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation à l’écran sur la carte électronique, de navigation sur la zone, dans l’espace, de signalisation, de radar, d’asservissement et de logique de fonctionnement de l’engin, de commande, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anti-collision, d’antidécrochage, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique du lanceur, de la fusée ou de l’engin autonome 3D, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, marche avant, marche arrière, lancement, décollage, atterrissage, changement de trajectoire, approche, accostage, arrimage, correction de position ou de mesure tD, dD, de boite noire géolocalisée, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Check List, de Télémaintenance, en embarqué à bord du lanceur ou de la fusée ou en local, sur le pas de tir, en station, en salle de commande du lancement, de télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus de l’engin, la téléphonie mobile, la wi-fi, l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites de l’espace.


L’art antérieur des V1,V2 (Vergeltungswaffe), de la fusée (1940) dépendait d’une autonomie mesurée pour atteindre la cible. La télécommande de la fusée, les commandes hydrauliques, électriques, électromécaniques, les instruments de bord, les séquences ont ensuite été exploités. Les calculateurs, les langages, les systèmes d’exploitation, les compilateurs, les logiciels, les programmes d’application de bord, des étages, de la capsule, les écrans cathodique, les faisceaux de câbles, la télécommunication analogique de fréquences étaient exploités en 1985 à bord du lanceur. Le système contrôlait la marche avant unidirectionnelle du lanceur sur le pas de tir, en salle de commande pour une mise à poste ou orbitale du satellite. Le missile atteint par détection les cibles militaires.  


Les ingénieurs procédaient au débogage (bugs) des ordinateurs, des logiciels, des programmes, des compilateurs à la recherche de panne complexe ou de solution en cas de défaillance de la fusée. Ce qui pouvait clouer au sol le lanceur durant des mois, voire des années. L’art antérieur du lanceur, de la fusée ou du missile n’a qu’un seul sens de marche avant ou unidirectionnel.


Le SYSTEME LEGROS™ au brevet FR 2 586 845 muni de vecteurs ou de l’être pluriel Méthamatématique physique quantique intervectoriel contrôle le mouvement, la quantité, la direction, le sens bidirectionnel avant ou arrière, le changement de la trajectoire spatiale, l’accélération, la décélération, l’accostage, l’arrimage, l’arrêt.


Dans l’aéronautique, l’espace en Europe, le CNES (Centre National Etudes Spatiales), l’ESA (Agence Spatiale Européenne) exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie.


31. Le Système Legros™ Spatial et la Constellation de satellites, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour le système d’exploitation des satellites, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatiale, de messages SMS, de QR-Code-L, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, de vision, de navigation sur les écrans à bord, dans le centre de contrôle spatial, de signalisation, de radar, d’asservissement et de logique de fonctionnement de l’engin, du lanceur, de la fusée, du satellite, de commande, de joystick, de consignes de mouvement, d’arrêt, d’attitude 3D, d’anticollision, d’antidécrochage, de coefficient gamma oméga de puissance n(g,wL)n, de puissance zéro (0), d’accélération, de décélération, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou l’engin autonome 3D, de formules intervectorielles de détection, d’application, de générateur de code numérique, d’activation, de code logiciel numérique, allumage, lancement, décollage, marche avant, marche arrière de la fusée, de l’étage, changement de trajectoire, approche, atterrissage, accostage, arrimage, correction de position ou de mesure tD, dD, de boite noire géolocalisée, d’expertise, de téléexpertise, de simulateur, de Check List, de Télémaintenance, en embarqué à bord du lanceur, des satellites, civils, militaires, des sondes, des robots, des véhicules planétaires ulta-légers, ou en local, poste de contrôle spatial, pas de tir, de télécommunication, les réseaux Legros synchronisés, programmés, codés, sécurisés, tdma, cdma, fdma, mixte interconnectés (f.V), mdma, le modem-L, les antennes, le bus, l’Electrobus de l’engin, de liaison à la téléphonie mobile, à l’Internet, de liaison montante descendante vers les satellites.


Dans l’aéronautique, l’espace en Europe, le CNES (Centre National Etudes Spatiales), l’ESA (Agence Spatiale Européenne) exploitent le SYSTEME LEGROS™1985 et la propriété intellectuelle en intégralité ou en partie de cette technologie.


32. Le Système Legros™ d’Electrobus, de bus, de wi-fi, de Bluetooth, l’architecture, le design, en intégralité ou en partie est exploité notamment pour les mobiles du plan ou de l’espace e, le véhicule automobile, bus, camion, tramway, métro, train, navire, avion, satellite, station, sonde, engin planétaire. Cette technologie du SYSTEME LEGROS™ d’Electrobus, bus (Legros,clk:1969-1970) de télécommunication, transmission supprime les faisceaux de câbles à bord du mobile, allège le véhicule de son poids en câble de cuivre embarqué, réduit l’encombrement, l’installation, la panne de connectique, améliore la fiabilité  électronique, de télécommunication, applique la Télémaintenance originale, nouvelle exposée des droits d’auteur.


Le bus CAN Controlled Area Network normalisé ISO(~2000) en Europe ne représente pas une antériorité au brevet français de M. Legros FR 2 586 845 le 27 août 1985, à 15 heures. L’Electrobus, le bus des commandes, des capteurs, des accessoires synchronisés, programmés, codés, sécurisés sont également représentés sur le plan daté au cartouche le 06 septembre 1985 (06-09-1985). Le plan de l’Electrobus, du bus est la reproduction de la demande de brevet déposée dix jours avant à l’INPI de Paris France.


Pour 80 millions de véhicules automobiles de la route produits en 2021, pour 1,5 milliards de véhicules produits depuis 1990, le chiffre d’affaires de la technologie du brevet FR 2 586 845 d’Electrobus, de bus, de commandes, de capteurs, d’accessoires synchronisés, programmés, codés, sécurisés à raison de 1000 € par unité produite serait de 1500 milliards d’euros. Les redevances de 3%  des plans, de l’architecture, du design sous les droits d’auteur sont de 45 milliards d’euros. Cette technologie du  SYSTEME LEGROS™ s’applique avec avantage au véhicule notamment automobile, bus, camion, tramway, métro, train, navire, avion, à l’espace, satellite, station, sonde, engin spatial, planétaire.


33.  Le Système Legros™ Médecine Chirurgie, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour les interventions médicales, le code logiciel numérique 3D, détection, application, activation, la chirurgie locale ou à distance, le télétraitement médical. Le Système est interconnecté au bloc opératoire, aux instruments de chirurgie, aux bases de données, à la téléphonie mobile, à l’Internet, à la liaison montante descendante vers les satellites.


34.  Le Système Legros™ Agriculture Mine, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour l’agriculture et les ressources minières.


35.  Le Système Legros™ BTP Travaux Publics, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour les véhicules de travaux public, les grues de chantiers et les ponts roulants.


36.  Le Système Legros™ Pétrole Transport et Offshore, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment dans l’industrie pétrolière, le transport, les plates-formes offshore de forage et d’exploitation.


37.  Le Système Legros™ Energie, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment dans les modes d’énergie électrique, thermique, hydraulique, nucléaire, éolienne, géothermique et solaire.  


38.  Le Système Legros™ Banque Paiement Péage Assurances, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment dans la reconnaissance ou l’identification des véhicules, les transactions bancaires sécurisées, le paiement, le télépéage d’autoroute, les assurances.


39.  Le Système Legros™ Armement Défense, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour les véhicules, les engins d’armement et de Défense.


40. Le Système Legros™ Imprimante 3D, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment la lecture, l’écriture plane spatiale, l’élément ve quantique, la matière de l’ensembre E, la résolution intervectorielle, l’application, la production axiale en x,y,z,t. L’imprimante 3D du brevet FR 2 586 845 comprenant l’œuvre de l’esprit de la résolution intervectorielle, le débit d’écoulement de l’élément ve de la matière de l’ensembre E, le suivi de l’exécution, le temps de production en seconde sur le support, la vision sur l’écran plat est protégée par la loi sur le droit d’auteur au jour du dépôt prioritaire ou le dépôt légal.


L’imprimante 3DT dans le secteur de la production industrielle, artisanale, artistique, de l’intervention médicale, de la chirurgie, de la plasturgie ou autre composant moléculaire, sédimentaire, chimique, organique est largement exploitée, ou le sera encore plus avec la résolution intervectorielle et différentes matières de fabrication.


41. Le Système Legros™ QR-Code-L 1-4D, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment la résolution scientifique Métamathématique physique quantique de l’instruction intervectorielle d’ensembles E, E’,…,En, de sous-ensembles géométriques (carré, cercle, triangle, cube, etc…) d’éléments ve synchronisés, codés, programmés, sécurisés ou de pixels sur l’écran, la vision, l’émission, la réception ou la caméra, la reconnaissance de forme plane ou spatiale, le décodage du code binaire (0,1), ou à n-états, la logique de fonctionnement de l’application, l’ordre, la consigne, la commande, l’autorisation ou l’interdiction, la télécommunication et l’information du circuit de décodage.


42. Le Système Legros™ Bracelet électronique, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment la géolocalisation des individus identifiés porteur du bracelet électronique dont on souhaite avoir des renseignements spatio-temporels de déplacement ou de mouvement. La résolution intervectorielle détecte les individus dangereux sur la zone autorisée ou interdite, active le SMS, l’alarme, le contrôle judiciaire ou de police. Le laissez-passer ou passe de géolocalisation navigation autorise ou interdit la présence humaine ou de population sur la zone ou sur l’écran (loi, règlement, protection, épidémie ou danger). Le signal Sigma L est synchronisé, codé, programmé, sécurisé et les réseaux de télécommunication de la téléphonie mobile sont exploités.


Le placement sous surveillance électronique (PSE) a été mis en application en France par le ministère de la Justice - Loi du bracelet électronique de sécurité anti-rapprochement le 28 décembre 2019.


43. Le Système Legros™ Télégestion du Stationnement public payant ou gratuit, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment le système de contrôle des places du stationnement intervectoriel spatio-temporel sur la zone codée, programmée ou de parking ou de type de tarification de la Ville de Paris. La transaction sécurisée du e-commerce se fait en station par carte bancaire, par carte prépayée, en espèces ou sur l’Internet.


Ce système produit, diffuse l’état logique du véhicule identifié en autorisation de stationnement. Il bascule dans l’interdiction en cas de dépassement d’horaire. Il émet la contravention, gère le paiement jusqu’à l’état logique d’un nouveau contrôle de stationnement. La géolocalisation du véhicule, l’identification est automatique ou manuelle. Le contrôle en local in situ ou en embarqué à bord d’un véhicule de voirie ou distant constate l’état logique du stationnement, véhicule « autorisé ou interdit » ou pour dresser la contravention du véhicule en infraction de stationnement dans l’agglomération.


44. Le Système Legros™ d’information voyageurs, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment sur les lignes de bus, de tramway, de métro, de train RER, RATP, SNCF. Les droits d’auteur du Système d’exploitation, d’information, de télécommunication concernent la production, la télédiffusion du temps TAlpha d’attente, d’arrivée ou de départ des voyageurs.


Le Système Legros™ d’information voyageurs original nouveau s’applique au transport en général, terrestre, routiier, ferroviaire, maritime, aérien et spatial, en local, station, gare ferroviaire, gare maritime, aéroport, en embarqué à bord des véhicules, des navires, des avions et des satellites. Le Système, l’architecture, le design comprend l’information, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques, ou le film.


Le Système est interconnecté à la téléphonie mobile, à l’Internet, au e.commerce électronique, à la liaison montante descendante vers les satellites.


45.  Le Système Legros™ du drone de vision et de Télémaintenance, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment en embarqué à bord du drone ou de l’engin pour le contrôle d’infrastructure de barrage hydraulique, de centrale nucléaire, thermique, solaire, de ligne d’énergie, de télécommunication aérienne, sous-marine, d’antenne, de mine, de plate-forme offshore, d’éolienne, d’autoroute, de pont, de viaduc, de tunnel, de monument ou historique, de trafic routier, de train, de voie ferrée, de navire, de port, d’avion, de piste d’atterrissage, de transport, de logistique, de zone militaire, de champ de culture agricole, de zone maritime, de chemin pédestre, de piste de ski, de voie d’escalade, etc. La formule de la résolution intervectorielle, le code logiciel numérique, la vision, la détection, l’application, l’activation d’ordre, de consigne de sécurité ou d’alarme sont revendiqués au brevet.


46.  Le Système Legros™ des objets interconnectés, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment pour les objets interconnectés, la Synchronisation universelle, le signal Sigma-L synchronisé, programmé, codé, sécurisé, les montres, la boussole, le GPS, les écrans, la caméra thermique, la navigation, le rendez-vous, le thermomètre, la pollution sonore, la photographie, la visualisation, l’audiovisuel, etc.


47. Le Système Legros™ Cinéma ou Film, l’architecture, le design en intégralité ou en partie est exploité notamment les produits de l’industrie ou du grand public ci-dessus, l’information, les messages SMS, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques, le scénario (histoire, image, mobile, carte, tracé, tracking, matériel, équipement, instrument, etc.).


Le copyright doit figurer de manière très nette au générique du film comme il est d’usage en exemple ou comme les autres marques commerciales exploitées ou le droit d’auteur est revendiqué par la firme ou le propriétaire - la loi française du Code de la propriété intellectuelle sur le droit d’auteur et la Convention universelle sur le droit d’auteur.


48. Le Système Legros™ et les Mesures techniques efficaces destinées notamment à empêcher ou à limiter toute exploitation ou représentation ou reproduction ou diffusion, télédiffusion illégale ou non autorisée par le titulaire M. Bernard Legros du droit d’auteur de l’œuvre d’art en intervenant sur l’un des huit (8) circuits électroniques, de réseaux, d’antennes, d’architecture ou de design de son brevet français FR 2 586 845 sont protégées.


« Les mesures techniques efficaces destinées à empêcher ou à limiter les utilisations non autorisées par les titulaires d'un droit d'auteur ou d'un droit voisin du droit d'auteur d'une oeuvre, autre qu'un logiciel, d'une interprétation, d'un phonogramme, d'un vidéogramme ou d'un programme sont protégées dans les conditions prévues au présent titre.


On entend par mesure technique au sens du premier alinéa toute technologie, dispositif, composant qui, dans le cadre normal de son fonctionnement, accomplit la fonction prévue par cet alinéa. Ces mesures techniques sont réputées efficaces lorsqu'une utilisation visée au même alinéa est contrôlée par les titulaires de droits grâce à l'application d'un code d'accès, d'un procédé de protection tel que le cryptage, le brouillage ou toute autre transformation de l'objet de la protection ou d'un mécanisme de contrôle de la copie qui atteint cet objectif de protection » - Articles L331-5 et L332-1 du Code de la propriété intellectuelle, articles 53 et suivants, Des crimes et délits flagrants du Code de procédure pénale.


Le SYSTEME LEGROS™ qui n’existait absolument pas au jour du dépôt légal ou le néant a une puissance de calcul inégalée, est immense du nombre d‘applications citées. Toute exploitation intégrale ou partielle par tout moyen, sous toute forme qu’elle soit fonctionne dans le plan ou l’espace telle qu’exposée, ou sur la zone de navigation ou sur l’écran plat actif de navigation. Le SYSTEME LEGROS™ est directement reconnaissable par n’importe qui au regard de l’état de l’art antérieur des produits fabriqués, exploités, pratiqués ou enseignés.


Le site consultant-legros.net expose l’invention entièrement nouvelle* notamment le Système d’exploitation électronique intégré compact Intervecteur, le télémultipointeurs ou pad ou tactile de l’écran plat, la science Métamathématique physique, la Synchronisation Universelle, la résolution intervectorielle, la détection, l’application, le code logiciel numérique, la géolocalisation spatiale, la vision, l’activation d’ensembles ou éléments vectoriels liés, mobiles ve sur l’écran en pixel, l’environnement codé, programmé, la modélisation unitaire multiple, le pilote manuel, semi-automatique ou automatique, le véhicule autonome, la navigation sur la planche de bord ou sur la zone, l’exploration, l’anticollision, l’approche, l’accostage les temps Tn, les quantités Qn, l’information, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, le coefficient d’accélération gamma oméga de puissancen (Système International SI, accélération de Galilée de puissance2), le signal Sigma codé, le modem, la télécommunication interne, bus, Electrobus, wi-fi, externe réseaux tdma, cdma, fdma, mixte mdma, des systèmes, des robots, des capteurs codés, programmés, des montres, des horloges ou des objets interconnectés, l’architecture du système, de la systémique des systèmes, la géo-localisation de la boîte noire, le simulateur, la téléexpetise, la Télémaintenance, expose les applications du brevet et des droits d’auteur, l’affaire technico-économique, industrielle, judiciaire ainsi que l’absence d’antériorité ou d’opposition d’un tiers, un individu ou un Etat.


(*) L’invention est nouvelle ou n’est pas comprise dans l’état de la technique, implique une activité inventive, est exécutée avec le brevet français de M. Bernard Legros FR 2 586 845 et est exploitée avec avantage dans l’industrie. Le brevet de droit exclusif d’exploitation qui a été annulé a été l’objet en justice au droit de son propriétaire d’un recours en restauration pour son inscription au registre national des brevets de l’INPI Paris France.


Si le brevet français FR 2 586 845 et les droits d’auteur de M. Legros n’étaient pas exploités par la RATP, MATRA (démissionnaire au procès) et le cessionnaire SIEMENS STS ; ces sociétés n’avaient pas lieu de demander de l’annuler ou pour se procurer avec préméditation, circonstances aggravantes, en bande organisée l’avantage d’un jugement.  


Nous avons la valeur du brevet de M. Legros FR 2 586 845 et de ses droits d’auteur aux § ci-dessus. Sur les décisions judiciaires rendues publiques la rébellion à l’Institution, l’abus de la qualité, l’escroquerie au jugement est constituée.


49. La protection des droits de la propriété intellectuelle

Toute représentation ou reproduction ou récitation ou diffusion, télédiffusion du SYSTEME LEGROS™ intégrale ou partielle, industrielle, journalistique, audiovisuelle cinéma-tographique au public, et vers les satellites, sans le consentement de l’auteur est illicite, constitue au sens de la loi une contrefaçon. Le droit d’auteur ou le nom de l’auteur et la source doit être clairement indiqué. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral, ainsi que des attributs d’ordre patrimonial - articles L111-1, L121-1, L122-1 à L122-6 du Code de la propriété intellectuelle et Convention universelle sur le droit d’auteur.


De la publicité nationale, internationale, la paternité de Monsieur Bernard René Paul Legros de l’invention, avec ou sans le brevet d’invention FR 2 586 845, comprenant l’œuvre de l’esprit du SYSTEME LEGROS™ est perpétuelle, inaliénable, imprescriptible, au 27-08-1985, à 15 heures.


Monsieur Bernard Legros n’a de ses écritures, de sa vie au jour de sa naissance, d’un casier judiciaire vierge, de sa carrière, de son honnêteté, aucun problème de son industrie ou de sa réussite professionnelle. L’invention, l’œuvre de l’esprit en synergie ou indépendamment fonctionne très bien telle qu’il l’a exposée ou décrite de la publication de son brevet d’invention pour les produits et les applications.


Il n’a pas à supporter les échecs connus, évidents des projets ou des produits des autres personnes ou entreprises ou entités en difficulté. Par ailleurs, ce sont les auteurs des infractions quels que soit leur appartenance ou leur statut qui ont des problèmes en société. Ils doivent respecter, se conformer au sens strict de la loi française.


L’auteur inventeur ne demande pas de défendre ses droits, par ailleurs il demande de ne pas exploiter en intégralité ou en partie le SYSTEME LEGROS™ sans son consentement personnel obligatoire donné par écrit. C’est tout aussi une interprétation de l’auteur inventeur qui est partagée du fait de la loi d’un droit acquis entier et légitime.


En outre, la liberté est donnée à toute personne ou public d’adhérer ou de ne pas adhérer à l’invention ou à l’œuvre de l’esprit dite l’œuvre d’art, ou de créer, d’exploiter un bien de la propriété intellectuelle différent ou autre.  


De la loi de la République française, du Code de la propriété intellectuelle sur les brevets d’invention, sur le droit d’auteur, de la Convention universelle sur le droit d’auteur, toute exploitation du Système Legros™, du brevet efficace ou de l’œuvre de l’esprit intégrale ou partielle donne droit à des redevances en rémunération à payer à M. Bernard Legros dès la première exploitation des droits.


Le SYSTEME LEGROS™ électronique d’exploitation, d’identification, de vision, de QR- Code-L, de navigation dans le système, les xn-systèmes, de télécommunication locale, distante, spatiale, d’information, de géolocalisation, de navigation sur la zone, sur l’écran plat, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou le pilote autonome, de sécurité anticollision pour les mobiles dans le plan ou l’espace est exploité sur les 100% des systèmes interconnectés de l’économie numérique.  


Le SYSTEME LEGROS™ est représenté ou reproduit ou diffusé, télédiffusé ou édité pour les œuvres scientifiques ou de recherche, les œuvres littéraires ou de romans, les œuvres artistiques, cinématographiques ou de film. Le symbole du copyright accompagné du nom de l’auteur inventeur Bernard Legros et de l’année de première publication doit figurer conformément de manière très nette sur l’ensemble de telles œuvres au public.


La propriété intellectuelle du SYSTEME LEGROS™ est à titre payant tout comme l’a été précédemment la propriété intellectuelle(*) du pneumatique, du moteur Diesel, du télégraphe, du téléphone, du téléviseur, du RADAR, du GSM, du mini et du micro-ordinateur ou autres produits exploités dans le monde. (*) La loi sur le droit d’auteur, sur les brevets d’invention, les dessins et modèles du Code de la propriété intellectuelle et la Convention universelle sur le droit d’auteur.


En conclusion, pour une économie numérique qui représente en moyenne les 30% de l’économie des pays du monde, les redevances des droits d’auteur fixées à 3% représentent les 0,6% du PIB mondial. Pour un PIB de 100 mille milliards de dollars aux années de 2020-2021, les redevances du SYSTEME LEGROS™ sont calculées pour 600 milliards de dollars.


Le SYSTEME LEGROS™ avec ses performances, ses applications efficaces, fiables poursuit son chemin, depuis plus de 37 années, dans l’économie numérique, l’industrie, l’éducation, les sciences et la culture.


Le SYTEME LEGROS™, sa fabrication, son exploitation est pour la quasi totalité des systèmes de la nouvelle économie numérique, soit plus de 30% du PIB de la France et des nations. Le secteur tertiaire, des services, de l’économie numérique de ces systèmes représentera les 50% de l’économie mondiale en 2035 .  


Système Intervecteur Produit Application Ecran © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays



SYSTEME LEGROS™ MARQUE COMMERCIALE 1985

SYSTEME LEGROS © COPYRIGHT BERNARD LEGROS 1985

TOUS DROITS DE PROPRIETE RESERVES POUR TOUS PAYS

©Copyright Réalisations

REALISATIONS DU SYSTEME LEGROS™


AUTEUR NORMES RECOMMANDATIONS DIRECTIVES INTERNATIONALES PUBLICITE 27-08-1985 15h.


M. Legros auteur a écrit dans l’œuvre l’utilisation de règles, de normes qu’il savait nécessaires pour son emploi, ce qui se précisera ensuite. Son œuvre est exploitée dans le monde entier avec l’application de sa résolution intervectorielle scientifique Métamathématique physique quantique spatiale universelle. Sn caractère est unique, de sa qualité, de sa formation, de son expérience, de sa carrière dans les grands groupes de l’industrie France export.


Diplômé de l’enseignement supérieur, il est qualifié, expérimenté, reconnu, aguerri des techniques. Il totalisait plus de 30000 heures de travail à son actif, au jour de sa première publication, en 1985. Sa publicité nationale et internationale révèle de nombreuses créations, des originalités en sa génèse depuis les années de 1958 à 1971. Il est indiscutable que l’avance technologique de l’auteur inventeur, prise sur son temps, était très importante, considérable au regard des techniques. Son monde nouveau aura un siècle d’avance sur son temps.  


L’œuvre d’art qu’il a su imposer est exploitée de la représentation, de la reproduction, de la diffusion, télédiffusion par des normes, directives, recommandations internationales pour résoudre les difficultés. L’originalité, écritures, instructions, code logiciel numérique, données et plan est reproduite du dépôt de priorité le 27-08-1985, 15h.


En 2015, les applications ne sont pas encore en totalité exploitées, particulièrement dans l’aéronautique pour la gestion du trafic aérien, le contrôle des avions, le pilotage automatique, l’anticollision intervectoriels. Le système Intervecteur est embarqué à bord des avions, localisé dans les couloirs aériens, dans les aéroports.



SYSTEME LEGROS™ RESOLUTION INTERVECTORIELLE SCIENTIFIQUE METAMATHEMATIQUE PHYSIQUE

QUANTIQUE SPATIALE UNIVERSELLE TRAIN PENDULAIRE METRO NAVETTE TRAMWAY AUTONOME 3D  

CONSULTANT TECHNOLOGUE HIGH-TECH INTERVENTION PROJETS INTERNATIONAUX (1970-2015)


C’est à 17 ans que Bernard Legros a réalisé, seul et entièrement, ses premiers équipements et installations industriels. Aux années de 1970, il a été amené à produire dans l’industrie métallurgique, aéronautique et navale jusqu’à 240 heures de travail et plus par mois, tout en poursuivant ses études dans le domaine des sciences de l’automatique, de l’électronique, il reçut des félicitations publiques du professeur.


M. Legros est intervenu en astreinte professionnelle, 24 heures sur 24, sur des sites en exploitation, dans des environnements à risques et amiantés. Il a exercé dans la métallurgie automobile, ferroviaire, navale, aéronautique, dans le nucléaire, la sidérurgie, l’armement aux arsenaux, le commerce maritime, la production agricole et les services.


En 1971-1973, il était responsable en 3x8, aux usines de Saint-Nazaire, des équipements des ateliers de production aéronautique des avions Concorde et Airbus. Il intervenait sur des machines de haute technologie, une bonification lui était gratifiée et une note de 9,9/10. Il eut aussi la responsabilité en ¼, à 21 ans, des équipements des ateliers de production mécanique, navale des moteurs Pielstick, de turbines, de machines de grandes capacités de type CNC, de la production et distribution en énergie. Deux ans plus tard, il dirigeait des chantiers d’armement de plusieurs navires, en valeur constante de 25 M€. Il réalisait le planning, la coordination, les relations techniques, commerciales avec l’armateur, les chantiers et les organismes de certification, tout en voyageant en France et à l’étranger, sur d’autres sites maritimes, se prédisposant au commerce et à l’export.


Dans la navale, il a travaillé sur des équipements situés en altitude ou sur nacelle, ouvrant sur les fonds de cales de navires. Il travailla en mer ou en situation climatique difficilement supportable, sous le vent hivernal d’estuaire, à des températures glaciales de -15°C ou caniculaires de +60°C, sous le rouf brûlant de navires. Au pied levé, il sut toujours résoudre de manière durable les difficultés qui lui étaient posées sur les installations, sans autre intervention. C’est en 48 heures, au 15 août 1978, sur un navire de commerce en escale aux chantiers navals de Bremerhaven, qu’il installa, livra à un armateur des apparaux de bord, grue de 25 tonnes et mât de charge de 150 tonnes, avec la certification du Germanischer Lloyd. La valeur globale réelle du marché export des matériels installés et mâture est d’environ 4 M€. En escale au Havre, deux mois après, il contrôlait le fonctionnement des matériels en exploitation à bord du navire.


M. Legros est intervenu dans les plus grands ports européens. Il a réceptionné des équipements de bord aux Astilleros de Sevilla, il est intervenu sur un cargo en exploitation au port d’Alméria Espagne. Il a navigué en méditérranée, fait des interventions, des essais en mer Marseille, Toulon, Livourne, La Spezia. Il navigua sur la baltique, sur un minéralier avec un armement BLM, pour procéder à des visites de contrôle technique aux chantiers navals de Gdynia, de Gdansk en Pologne. Le navire était en provenance des chantiers navals de Kobé au Japon. En intervention dans la région de Voronej, en Russie, dans la métallurgie sur une machine équipée d’un CNC de fabrication Elsag Gênes Italie, il fut appelé par le constructeur soviétique aéronautique Illouchine pour résoudre des défauts de composants électroniques sur un second calculateur. Ces calculateurs Elsag équipaient des machines de grande capacité produites en France pour l’export.


A Manchester, en Angleterre, il se déplaça aux usines de General Electric, en semaine y compris le week end, pour résoudre les dysfonctionnements d’un calculateur, des difficultés techniques durables depuis plusieurs mois et non résolues sur une aléseuse de très grande capacité en production mécanique. Après des mesures, des tests, il ordonna de faire refaire tout le câblage de connexion électronique sur les racks de l’interface. Les problèmes ne provenaient pas du calculateur, mais de défauts électroniques venant de l’installation. Ensuite, la machine fonctionna sans qu’une autre intervention sur le calculateur ne fut nécessaire. Il résolut également seul de nuit aux ateliers Sulzer de Mantes-la-Ville des défauts de synchronisation de position sur une machine à portique gantry CNC/DNC pour la fabrication de bâtis, de 10 cylindres et plus, des gros moteurs diesel. Ces défauts de complexité mécanique, électronique et de puissance électrotechnique sont traités, résolus habituellement en faisant intervenir plusieurs ingénieurs et techniciens spécialisés. Pourtant, c’est à 5 heures du matin que la machine était présentée au responsable du service et entrait en production.

   

De 1971 à 1981, ses quatre industriels, employeurs successifs, de l’aéronautique, de la navale, du maritime, des calculateurs et robotique lui accordèrent des augmentations de salaire de 38,5% à 69,5% par poste. Fournisseur d’équipements, d’installations, en contact avec les clients français, étrangers, il investit sa carrière dans le commerce et les affaires. Ceci lui permit d’exploiter de nouvelles compétences, ses qualités relationnelles, techniques, commerciales étaient appréciées. Son employeur estima valoriser ses prétentions salariales qui furent négociées à 120% d’augmentation de son dernier emploi de 1981, à ceci s’ajoutait à son management de cadres et d’ingénieurs, un pourcentage sur le chiffre d’affaires.


Polyvalent, il fut consulté pour intervenir dans les plus grands comptes aussi diversifiés de l’industrie. Ayant toujours maximisé ses potentialités, ses interventions furent toujours couronnées de succès.



L’ŒUVRE D’ART DU SYSTEME INTERVECTEUR ET LES BREVETS NATIONAUX


Suite à sa demande pour un brevet d’invention enregistrée au numéro 85 12780 le 27 août 1985, M. Legros a présenté les jours suivants les plans techniques de l’application ferroviaire de son invention directement exécutable. Le plan de l’application ferroviaire ci-dessous daté au cartouche le 04-09-1985 présente les capteurs, l’initialisation, le code des voies, la distance, la transmission, le décodage et la visualisation en cabine.


Le brevet, les revendications, les plans d’application routière, ferroviaire, maritime, aérienne et spatiale ont été transmis auprès des ministères, auprès de la Commission Européenne et de la Direction Générale des Transports.



Le brevet FR 2 586 845 et les revendications d’application pour les mobiles

de la route, du rail, du maritime, de l’aérien et de l’espace

INDUSTRIE ET INVESTISSEMENT (1958-1985)


LA LOI DE LEGROS DE L’INTERVECTEUR ET LES APPLICATIONS

- Brevet français FR 2 586 845 au 27-08-1985


L’auteur inventeur a bien mis en évidence la loi de Legros Métamathématique physique au début des années de 1970 dans l’industrie. Il l’a ensuite étudiée pour l’appliquer à tous les systèmes embarqués ou localisés en n’importe quel lieu du plan ou de l’espace e.


M. Legros a créé le Premier système d’exploitation Métamathématique électronique (1969-1985). C’est son système d’exploitation, de télécommunication ou operating and network system avec ses instructions intervectorielles qui est installé, exploité sur les 99,99% des systèmes dans le monde pour intervectoriser, détecter, activer, basculer ou le «click».


La technologie numérique est développée avec les applications Métamathématiques électroniques du SYSTEME LEGROS™ d’exploitation informatique, de télécom-munication, de téléphonie mobile. Elle est exploitée pour le pilote de transport mixte, manuel, semi-automatique ou automatique, la navigation, le contrôle des machines industrielles, la robotique, l’énergie, l’armement, le médical et la communication. La navigation, la recherche, l’activation à l’écran dans le système, les réseaux, le bus, la wi-fi, les bases de données exploitent également le Système Intervecteur, le télémultipointeurs, tactile ou pad. Voir le schéma ci-dessous et les pages du site consultant-legros.net.


Le SYSTEME LEGROS™ d’exploitation a pour antériorité normalisée en informatique les couches de logiciel du système d’exploitation, les couches de l’application, les couches du protocole de communication, le compilateur, le clavier avec le déplacement à l’écran des quatre flèches, les fenêtres avec un lien arborescent et un choix numéroté. En télécommunication nous avions le combiné téléphonique avec le réseau analogique fixe, le réseau mobile cellulaire GSM (les antennes, les stations, le central), et les satellites.


Le SYSTEME LEGROS™ est directement reconnaissable et exploite la technologie de la résolution intervectorielle. Les couches énumérées ci-dessus ne sont plus utilisées.


La branche mathématique du calcul intervectoriel :

Cette branche mathématique est originale, nouvelle. Les groupes d’équations inter-vectorielles intégrales ou partielles la composent. La physique, l’électronique, le gamma Legros (g, wL) de puissance n, les instructions, le logiciel sont sur tout support matériel.



NAVETTE RAPIDE ET METRO SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR  

Navette entre aéroport et centre ville
Automatique, numérique, réversible
Réseau de puissance électrique
Contrôle de la trajectoire en 3D/T
Anticollision, ABS, anti-patinage
Visionique, supervision en poste central
Information et séquence audiovisuelles
Ecran graphique à multipointeurs
Réseaux, bus, tdma, cdma, fdma et mdma
Coefficient gamma Legros (gL), etc.

Brevets Legros FR 2 586 845 27-08-1985
©Métro navette d’aéroport bidirectionnel automatique mixte numérique 3D/T, bus,tdma,cdma,fdma et mdma

De la loi de Legros, la Métamathématique physique du schéma est décrite au brevet incluant l’œuvre d’art. La théorie intellectuelle de l’intersection vectorielle ou du vecteur intersection ou de l’Intervecteur est également construite avec ses propres moyens matériels techniques originaux nouveaux intégrés, le noyau, le cœur électronique du système, le modem, les capteurs, écran, connecteurs, bus et télécommunication.


De la publicité, des brevets nationaux FR 2 586 845, la résolution intervectorielle existe pour tous les systèmes (Ɐxn), pour tous les mobiles, en mode embarqué ou localisé. De même, les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma, mixte mdma existent pour tous les systèmes quelle que soit la fréquence, quelle que soit la distance. Sur le support physique, la liaison est soit filaire, résistive, électromagnétique, sonore ou optique.


Le bus et les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma, mixte mdma emploient les techniques de modulation d’amplitude, de phase ou de fréquence. L’exploitation de la résolution intervectorielle et la portée sont pour les systèmes distants, proches, connectés ou intégrés. Le signal Legros Sigma L (sL) est codé, synchronisé. En l’état des connaissances scientifiques, techniques ce signal électronique n’existe pas au jour du dépôt légal ou le néant. Depuis sa création, il est appliqué dans l’industrie.


Pour le codage, le cryptage en particulier de messages ou d’information sensible ou de navigation ou de mouvement, il s’agit également de la machine électronique Sigma L (sL). L’antériorité est la machine électromécanique allemande Enigma, environ (1918-1944).


Dix ans après la publicité du SYSTEME LEGROS™, les réseaux de courte portée ont été développés dans les années 2000 pour lier les systèmes, les périphériques, en local ou en embarqué. Ces réseaux désignés wi-fi, Bluetooth sont normalisés ISO.


Le bus avec le signal d’horloge clk de synchronisation a été mis en évidence par M. Legros en 1970 sur des câblages électriques. Cette technologie, à l’étude en 1975, a ensuite été exploitée sur les calculateurs CNC. M. Legros est intervenu pour remplacer des composants électroniques, des transistors de ce bus sur des machines. Le bus, le signal Sigma L (sL) de droit d’auteur sont sculptés, revendiqués au système, aux réseaux, aux circuits électroniques - Figure 5 planche III/III du brevet français FR 2 586 845.


Cette technologie de bus est depuis les années de 1995-2000 exploitée dans le secteur de l’automobile sous la dénomination de CAN Controller Area Network. Ce bus Legros est embarqué sur les mobiles de la route, du rail, de la mer, de l’air et de l’espace, ou il est localisé pour la domotique. Il présente un avantage technique, économique et financier.   


L’Intervecteur, de son groupe d’équations, définit particulièrement l’ensemble vide [f] être égal à 1 en fonctionnement normal d’équilibre, sinon il est égal au chaos 0 ou au néant (n). La détection de n erreurs (ne) est produite au schéma électronique circuits des composants et fonctions (1985). Le système Intervecteur code le signal (sL : 0, 1, n,...) produit aux groupes de la résolution intervectorielle ou pour sa transmission. Les signaux de télécommunication intervectorielle d’information sont codés, décodés au système ou au modulateur-démodulateur du modem (L) - brevet FR 2 586 845 le 27-08-1985.


L’Intervecteur résout, sur la zone géographique, le mouvement spatial de tous les xn-mobiles (Ɐxn) représenté aussi sur la visionique de l’écran graphique par des ensembles ayant une règle de composition interne. Le système d’exploitation Intervecteur résout avec son groupe d’instructions, son multipointeurs, télé multipointeurs Wi-Fi, n-pointeurs souris, pad ou tactile, le mouvement des ensembles x1, x2, …, xn ou digital sur l’écran graphique, l’intervectorisation, la détection, le basculement, l’activation d’ordres de pratique courante en informatique (1980-1985), ouverture, fermeture, lecture, écriture, enregistrement, impression, etc. M. Legros a créé l’unique système d’exploitation Métamathématique 3D.


Le système électronique original avec son Calculateur Intervecteur CI, ses circuits comparateur, de coïncidence ou de décodage, son bus, ses réseaux  résout là où on le dispose. Il est intégré à un mobile portable ou à un boîtier, il est utilisé de sa résolution comme guide, ou en aveugle, ou en enregistreur de mouvement. Le système Intervecteur de ses groupes d’équations mathématiques physiques dialogue, résout, s’applique au marcheur, au voyageur, quel que soit l’individu, le mobile ou le robot qui le transporte.


Son générateur de code génère de nouveau, de ses instructions, de son logiciel intervectoriels, les données électroniques numériques, voire analogiques, pour les trajets identiques, tout en intégrant les données nouvelles spatio-temporelles. L’Intervecteur résout les rencontres, les rendez-vous et informe de sa résolution intervectorielle spatiale. Le système mobile, portable, amovible ou fixe, intègre sa propre résolution intervectorielle, l’identification, la reconnaissance de forme plane ou spatiale.


Le GSM Global System Mobile (1980-2000) n’exploite que des fréquences objet de la norme aux USA, en Europe, au Japon. Ce combiné téléphonique ne produit pas les fonctions d’écran, la résolution intervectorielle, le système d’exploitation Méta-mathématique physique, l’activation, le basculement, les messages, la géolocalisation, la navigation, le rendez-vous sur la zone géographique, topographique ou sur l’écran plat.


Le Système Intervecteur, ses réseaux, ses résolutions sont devenus des standards. Ils sont personnalisés en fonction de l’application. Cette personnalisation est exprimée dans la description des applications de l’invention, de l’œuvre de l’esprit scientifique, électronique aux groupes d’instructions, de code logiciel numérique, de données, de schémas et d’architecture -  Figures 1, 3 et 5 des Planches I/III, II/III et III/III.


L'Institut national de la propriété industrielle assure la publication, dans les conditions définies par décret en Conseil d'Etat, par mention au Bulletin officiel de la propriété industrielle BOPI, par mise à la disposition du public du texte intégral comprenant l’œuvre de l’esprit protégée par le droit d’auteur indépendamment de l’invention ou par diffusion grâce à une banque de données ou à la distribution du support informatique du dossier de la demande de brevet, de toute délivrance de titre avec l’indication du brevet.


En date de priorité le 27 août 1985, la publicité de l’INPI pour tierce opposition est datée le 06 mars 1987, la délivrance du titre officiel de brevet d’invention est datée le 23 octobre 1987. De la publicité, il n’y a pas de tierce opposition d’un individu ou d’un Etat en revendication de l’invention et de l’œuvre de l’esprit de Legros du Système Intervecteur depuis plus de trente cinq années (1985-2021).


Toute exploitation de l’œuvre d’art de Legros est payante. Le consentement personnel donné par écrit est obligatoire pour exploiter l’œuvre de l’esprit dite l’œuvre d’art ou l’invention en la date du dépôt prioritaire. Sans l’accord ou la licence, toute exploitation du SYSTEME LEGROS™ est une contrefaçon et que toute contrefaçon est un délit.  



LA CONSTELLATION DU SYSTEME LEGROS™ BREVETEE AVEC LES SATELLITES DE GEOLOCALISATION - FAMILLE DES BREVETS NATIONAUX FR 2 586 845


La réalisation de la constellation Legros intervectorielle de satellites servant de référence ou de balise spatiale est construite à partir de la branche mathématique du calcul intervectoriel pour le système d’exploitation, d’information, d’identification, de géolocalisation différentielle infinitésimale en continu, de reconnaissance de forme, de navigation et de sécurité anticollision.


Le signal 2A (sL) est codé, synchronisé pour tous les Ɐxn mobiles, satellites ou stations. Le système Legros Intervecteur exploite son propre modem L, son bus, sa wi-fi, ses réseaux tdma, cdma, fdma, mixte mdma, en fonction du coefficient gamma L rectiligne, circulaire (g, wL) de puissance n. Sa résolution intervectorielle est appliquée pour le contrôle, l’asservissement de puissance des lanceurs, des satellites, des mobiles, des stations et des centraux.


L’exploitation de la constellation Legros brevetée s’applique aux télécommunications, aux mobiles terrestres (route, fer), maritimes (océan, mer, lac, fleuve), aériens et spatiaux. L’identification des satellites produit les éphémérides de la constellation rapportée à une géodésie WGS84/ETRS89/RGF93, à une référence terrestre localisée x1. Au signal Legros (sL), le codage 3D est sécurisé. L’originalité de l’œuvre d’art de la branche Métamathématique du calcul intervectoriel et l’invention du Système Intervecteur ne sont l’objet d’aucune antériorité de brevet, de publication ou de plans années de 1960 à 1985.


La constellation de satellites Galiléo a été initialisée en 1999 par l’Union Européenne UE, 15 années après que soit étudiée la publicité internationale du brevet et de l’œuvre d’art de Legros décrivant en continu ou en boucle le signal Sigma L (sL), le bus, la référence intervectorielle, différentielle, terrestre, spatiale, synchronisée, codée, programmée, la télé-communication, la géolocalisation, la navigation, la gestion du trafic, la sécurité anti-collision de mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt dans le plan ou l’espace e.


La constellation européenne de satellites baptisée Galiléo est une copie ou une reproduction de contrefaçon qui exploite la publicité internationale du brevet FR 2 586 845 et l’œuvre d’art du SYSTEME LEGROS™ avec ses instructions originales, nouvelles, intégrales ou partielles, son système d’exploitation, de contrôle, d’autocontrôle embarqué à bord des satellites, des lanceurs et localisé dans le centre de lancement et de contrôle.  


Pour les 30 satellites, la valeur communiquée de Galiléo serait de 3,4 milliards d’euros. Les coûts comprennent les études, la recherche,  le développement, le lancement, les essais, la validation, les installations au sol, l’exploitation et la maintenance. Le service de la télécommunication, de la géolocalisation, et sécurisées, proportionnel au nombre d’utilisateurs se chiffrera en des centaines de milliards d’euros.


Les revendications de la demande pour un brevet d’invention FR 2 586 845 ont été l’objet d’un dépôt auprès de l’INPI Institut National de la Propriété Intellectuelle - Paris France, de l’OEB Office Européen des Brevets - Munich Allemagne, de l’USPTO United States Patent and Trade Mark Office - Washington USA, de l’OMPI Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle - Genève Suisse, en la date de priorité le 27-08-1985.


M. Legros a transmis, le 30 septembre 1993, le dossier technico-économique avec les plans techniques du Projet Archos au Chef de l’Etat, à son Premier ministre, au Président de la Région des Pays de la Loire, au Président de la Commission Européenne.


La Direction Générale du Transport DG-VII / Transport Energie DG-TREN de la CE de Bruxelles et les entreprises industrielles ont également reçu des courriers successifs d’offres de licence de M. Legros pour exploiter son brevet et son œuvre d’art du Système Intervecteur alors sous la désignation de Projet Archos en 1986-1988, aux années 2000.   


En résumé, le SYSTEME LEGROS™ est développé dans le plan ou l’espace e pour le fonctionnement de la constellation de satellites. La revendication spatiale des xn-satellites s’applique pour le système électronique de télécommunication et d’exploitation, pour les données de géolocalisation, la diffusion de l’information synchronisée, codée, sécurisée.


Le SYSTEME LEGROS™ est exploité pour la position intervectorielle différentielle, infinitésimale spatiale ou inertielle en continu, le contrôle, l’autocontrôle, la géolocalisation, l’identification, la navigation, la diffusion de messages, la sécurité anticollision des mobiles terrestres, maritimes, aériens, spatiaux, le GMDSS Global Maritime Distress Safety System, l’expertise de la boîte noire, le VDR Voyage Data Recorder, la téléexpertise, le simulateur sur la zone et sur l’écran.



Publicité nationale internationale du SYSTEME LEGROS™ l’invention du brevet

FR 2 586 845 et l’œuvre de l’esprit de droit d’auteur le 27-08-1985 à 15 heures

LA CONSTELLATION DU SYSTEME LEGROS™ BREVETEE
APPLIQUEE AUX MOBILES DE LA TERRE ET DE L’ESPACE

En 1971-1973, M. Legros intervenait dans l’aéronautique sur des machines-outils de positionnement tridimensionnel, à 3 et n axes. A cette époque, il avait la connaissance de la mesure physique depuis un satellite de l’espace. La résolution de la mesure du vecteur électromagnétique est traitée aux groupes d’équations intervectorielles par xn-satellites, une référence terrestre x1, le temps (T0) de synchronisation des systèmes. La valeur temps (TD) et la valeur distance (dD) intègrent la correction des erreurs de mesure pour une précision infinitésimale du système électronique de sécurité. Le signal Sigma L (sL) est synchronisé, codé. La publicité du brevet français FR 2 586 845 au 27-08-1985.

Le schéma ci-contre de la constellation présente les huit (8) circuits électroniques du Système Intervecteur ; les satellites ou les balises spatiales ; la référence ou les balises terrestres ; les mobiles géolocalisés du plan ou de l’espace e ; les liaisons originales, nouvelles de bus, de wi-fI, de réseaux de télécommunication ; la résolution sur la planche de bord ou sur l’écran des groupes d’équations mathématiques spatiales intervectorielles.


LA COMMUNICATION ET L’OFFRE DE LICENCE DU SYSTEME LEGROS™

M. Legros a, dès son dépôt le 27 août 1985, rencontré, produit une communication auprès des Présidents, des directions générales de la SNCF, des industriels pour l’application ferroviaire de son invention. Il a réalisé des dossiers techniques avec les plans exposant le problème à résoudre, la faisabilité immédiate de sa résolution. Il a consulté les fournisseurs en équipements électroniques, ferroviaires, de télécommunication, en câbles électriques et antennes pour chiffrer l’application de son projet ferroviaire évalué à 1,5 milliard de francs, soit 470 millions d’euros actuels.

M. Legros a toujours assuré, dès 1985, une communication constante auprès des plus hautes autorités de l’Etat, des ministères, des régions, des entreprises pour l’exploitation de son brevet. Il a réalisé des dossiers technico-économiques avec les plans illustrant son intérêt et les applications dans le transport routier, ferroviaire, maritime, aérien et spatial.  

De la publicité, M. Legros a imposé son invention brevetée ainsi que son œuvre d’art de l’Intervecteur pour la surveillance, l’information, la navigation maritime et l’anticollision. L’Organisation Maritime Internationale OMI de Londres, des Nations Unies de Washington, a adopté, le 29 novembre 2001, en assemblée - Résolution A.917(22), Directives pour l’exploitation, à bord des navires, des systèmes d’identification automatique (AIS).

Les plans, les schémas de cette page Réalisations du site consultant-legros.net présentent en partie les éléments remis aux plus hautes autorités. Les applications, notamment maritime spatiale des AIS des brevets nationaux et de l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur, sont sous la protection des inventions et des connaissances techniques et du droit d’auteur ou du copyright.

Toute exploitation, représentation, reproduction ou diffusion de l’invention et de l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur, intégrale ou partielle, de son système d’information électronique automatique numérique ou de photographies ou de récitations ou de séquences audiovisuelles ou du film est interdite sans l’accord écrit obligatoire du propriétaire des droits énoncés au Code de la propriété intellectuelle.         

Telles qu’elles sont décrites dans le détail au dépôt de l’invention technique, de l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur ; les applications originales, nouvelles de la position, de la télécommunication, de données ou data, de la résolution intervectorielle, de l’anticollision, de l’automatique, de la diffusion montrant les mobiles décrits, identifiés évoluant les uns par rapport aux autres dans le plan ou l’espace e sont soumises au droit d’auteur.

Ces mêmes applications routières, ferroviaires, terrestres, maritimes, aériennes et spatiales diffusées avec la position, l’identification, le temps, le mouvement et/ou l’arrêt en automatique et portant des copyrights frauduleux ne sont alors que des copies serviles de contrefaçon, des reproductions illégales d’une œuvre d’art ou le droit est réservé depuis le dépôt officiel à l’INPI, depuis la publicité nationale, européenne, PCT et internationale à Paris, Munich, Washington et Genève.  


LES APPLICATIONS ELECTRONIQUES ET LE CODE LOGICIEL NUMERIQUE

Le brevet, les instructions, le logiciel comportent des revendications pour le pilotage manuel, semi-automatique ou automatique. Le système d’exploitation à télémultipointeurs sur l’écran graphique diffuse l’information électronique automatique numérique, des séquences audiovisuelles ou le film, sur l’Internet, et vers les satellites. Cette information publique aux voyageurs, le temps T Alpha (Ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche est originale, nouvelle dans le transport terrestre (route, fer), maritime, aérien et spatial.

L’application intégrale ou partielle terrestre, maritime, aérienne et spatiale est ci-après décrite. En rémunération, dans le domaine de l’électronique, de l’automatique, de la sécurité, des télécommunications et du transport les redevances sont de 15%. L’invention comporte de plus l’œuvre d’art de la résolution intervectorielle, le code logiciel numérique, les données, les plans, les dessins, l’architecture sous le droit d’auteur ou le copyright.

L’auteur inventeur a précisé les caractéristiques pour la navigation, l’anticollision de la voiture, pour son contrôle électronique infinitésimal de position, le gamma rectiligne, circulaire (g, wL) de puissance n, la vitesse V, la vitesse moyenne Vm, la trajectoire avec ses instructions d’anti-blocage ABS et d’anti-patinage. Le pilote automatique comprend le programme numérique de la voiture avec l’asservissement, le contrôle de sa motorisation thermique, électrique ou hybride.

De plus, le bus Legros lie les commandes de la planche de bord aux accessoires de la voiture du schéma de principe. Le système dispose d’un programme, d’un générateur de programme, d’un simulateur. Les voitures dialoguent entre elles avec les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma, mixte mdma. L’assistance technique est embarquée pour l’expertise, la téléexpertise ou la Télémaintenance. Le système est appliqué aux voitures, aux flottes de véhicules, aux bus et lignes de bus. Les places de parking sont autorisées ou interdites. Les véhicules disposent du système de navigation sur l’écran plat de bord. C’est le faisceau de câbles électriques et le téléphone GSM Global System Mobile qui équipaient les voitures à conduite manuelle de 1980 à 1995.

Dans le monde, les PRT Personal Rapid Transit et des véhicules en déplacement sur une voie, en France le métro ARAMIS(1969-1987) ont été étudiés et abandonnés. Le métro automatique Legros numérique mixte bidirectionnel en 3D/T est un système novateur directement exécutable sur une ligne nouvelle ou rénovée. L’électronique et le code logiciel numérique sont développés pour un cycle complet de commande, de puissance des moteurs de la rame sur la ligne. Les xn-systèmes sont liés par les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma, mixte mdma. Le Système Intervecteur résout l’anticollision, diffuse les séquences audiovisuelles de l’exploitation, il est embarqué sur la rame, localisé en station ou en poste central. Le système électronique d’exploitation à multpointeurs active les ordres, les données sur l’écran plat. La technologie permet d’exploiter des navettes de liaison rapide entre les centres villes et les aéroports, ainsi que les tramways. Le coût global d’une ligne de métro est de deux à trois milliards d’euros.

L’industrie ferroviaire déployait le réseau GSM dans les années de 1980. Les cantons étaient équipés d’un sémaphore, d’un block automatique pour la régulation des trains. Les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma et mdma sont aujourd’hui exploités. Les principes de régulation ferroviaire sont redéfinis avec l’électronique, le code logiciel numérique normalisé ISO. La résolution intervectorielle ferroviaire, spatiale est utilisée pour l’anticollision, la régulation, la navigation, l’information et le management du trafic. Le système est embarqué sur la locomotive, localisé en poste central, d’aiguillage et au passage à niveau. L’information électronique automatique audiovisuelle des voyageurs est diffusée. Mr Legros a fait des recommandations, du conseil et une offre de licence auprès de la SNCF dès le mois d’août 1985. Il a présenté, aux années de 1990, son brevet à l’UIC de Paris, et auprès du GIEE ERTMS de Bruxelles.

Le train pendulaire à contrôle cinétique, mécanique était exploité lorsque Mr Legros a présenté le train pendulaire à électronique active avec le contrôle de trajectoire, le circuit d’asservissement, de puissance ou actionneurs du mouvement intervectoriel spatial 3D. Le train pendulaire du SYSTEME LEGROS™ intègre le gabarit du train et la modélisation ferroviaire. Le Système généralisé aux xn-trains s’applique aux projets européens ERTMS/ETCS datés de 1992. L’auteur inventeur a étudié les antériorités de brevets du train pendulaire. La licence du train pendulaire électronique et de son code logiciel numérique a été présentée à la SNCF et aux industriels pour son exploitation.
 © Gestion de cas mouvement arrêt sur rail     navigation satellitaire de trains Legros 1985
 © Système Intervecteur électronique sur rail     circuits composants fonctions Legros 1985

Intervention de M. Legros dans l’aéronautique aux usines avioneur motoriste

équipementier Aérospatiale Airbus, Dassault, AIA, Turboméca, Hispano-Suiza

Snecma Safran, Jaeger, Forest Line, Rollix Defontaine, etc., aux sous-traitants



L’INGENIERIE DE TRANSPORT ET MISSIONS D’ETUDES


M. Legros a été missionné pour encadrer des équipes de montage et de câblage à bord d’un paquebot. Il a fait certifier des installations électriques avec l’organisme agréé. Il a aussi repris les dossiers techniques d’ingénieurs d’affaires pour le service achat et la construction d’un paquebot de croisières aux Chantiers de l’Atlantique Alstom de Saint-Nazaire. Il imposera auprès de l’OMI l’exploitation à bord des navires de son brevet de l’AIS Automatique Identification Système intégrant son œuvre d’art de l’Intervecteur (2002).


En mission informatique pour la société Permanence Européenne, il a réalisé la validation d’un logiciel de logistique industrielle développé par des informaticiens de l’entreprise Soflog-Telis. Il a développé des interfaces homme machine IHM, des requêtes SQL sous Visual Basic et Access. Il a procédé au debugging, à la compatibilité des programmes, à la mise en exploitation. Il est intervenu sur le site d’emmagasinage et de distribution.


M. Legros a fait des études techniques, financières, économiques de ses projets pour leur développement. Son ingénierie de transport couvre souvent d’importants projets en valeur financière, chiffrés ci-dessus. De ses applications, de son brevet et de son logiciel, des offres de licence, pour des projets de transport public, ont été soumises auprès des Ministères, de l’INRETS, de la SNCF, de la RATP, du CETMEF, du CNES, de l’ONERA, auprès de la Direction générale transport énergie, DG-TREN de Bruxelles.



LA PROPRIETE INTELLECTUELLE INDUSTRIELLE ET LA LICENCE


Rappelons que dès le dépôt de sa demande pour un brevet d’invention, M. Legros a fait la promotion de son système d’information ferroviaire et de sécurité anticollision. Il a fait les développements techniques, la consultation de fournisseurs, le chiffrage du projet et des offres de licence auprès des industriels et exploitants.


Il a ensuite demandé d’étudier attentivement l’étendue de la protection recherchée aux revendications, afin d’éviter tout risque de contrefaçon en ce qui concerne les systèmes développés qui pourraient, par inadvertance, se heurter à ses droits de propriété intellectuelle.


Informant aussi que toute exploitation de son brevet et de son œuvre d’art de l’Intervecteur sans son accord constituait une contrefaçon et que l’achat de la licence était obligatoire.


Homme du métier, consultant en automatique, électronicien, électrotechnicien, expert en informatique et en télécommunication, il a effectué une expertise technique, juridique de produits provenant de délits de la contrefaçon. Il a réalisé l’étude de l’état de la technique. Il a également établi la preuve judiciaire irréfutable par le tableau des ressemblances entre le modèle ou la matrice et entre les produits incriminés de contrefaçon ou de copies illégales. Il a rédigé les documents, fait le suivi de procédures pour faire valoir son droit.


M. Legros a passé au cours de sa vie autant de temps pour produire sa création intellectuelle industrielle du système de l’Intervecteur (1953-1985) que pour la défendre, son invention, son œuvre d’art et ses titres officiels, en sa qualité d’auteur et d’inventeur (1985-2021). Le brevet et l’œuvre d’art constituent de la loi un monopole industriel, les redevances en rémunération sont dues de toute exploitation.

 © Aéronautique avionique télécommunication   spatiale système Legros Intervecteur 1985
 © Drone  avionique  télécommunication  spatiale    visionique  système  Legros  Intervecteur  1985

LE SAVOIR-FAIRE DE L’AUTEUR INVENTEUR DE L’INTERVECTEUR


M. Legros a ainsi exercé son activité sur des systèmes complexes dans l’industrie. Ces systèmes exploitaient plusieurs technologies pour aboutir au fonctionnement et au résultat. La mise en œuvre de ces systèmes nécessitait le savoir-faire de plusieurs entreprises, de plusieurs ingénieurs, techniciens et une maîtrise en ingénierie industrielle.


Il intervenait seul sur les installations, sur les matériels de puissance de moteurs, en mécanique, électrotechnique, automatique. Il intervenait également sur l’électronique, la particule du signal, le contrôle, le réglage, le paramétrage, le remplacement de composants ou de circuits intégrés de Central Process Unit CPU, d’interface, sur le bus et le réseau. Il est aussi intervenu sur des défauts de conception de matériel hardware, de connectique, de câblage ou de logiciel software intégré au système. Il se munissait d’un nombre de composants électroniques qu’il sélectionnait lors de ses interventions. Il a produit de la certification d’équipements ou d’installations avec le client exploitant et les organismes agréés en France et à l’étranger.


L’électronique voyait ses premières applications entre 1960 et 1970 dans l’industrie, l’automatique avec des soucis de conception ou d’exploitation à résoudre d’une technologie nouvelle à intégrer aux machines, aux équipements, aux formations ou aux habitudes de travail. De sa recherche, il connectait notamment le témoin lumineux ou led sur les circuits électroniques, le micro switch pour forcer le chemin ou l’activation, la mémoire sur circuit intégré pour détecter le signal. Tout ceci n’était pas encore implanté pour faciliter le diagnostic des systèmes, machines, installations ou son autocontrôle électronique renvoyant au message d’erreur. Aux brevets nationaux Legros viendra ensuite le concept nouveau de la boucle ou de l’injection électronique 2A de son signal original, nouveau Sigma L (sL) intervectoriel.


M. Bernard Legros est technologue, il a une formation, une connaissance de spécialiste, de généraliste des sciences et des techniques industrielles, il maîtrise les systèmes sous tous leurs aspects alors que les métiers tendent à se spécialiser de la complexité. Pour atteindre un tel niveau de compétence, de management des hommes dans le domaine de la haute technologie, il faut consacrer un nombre considérable d’heures de travail, d’études et de réflexion. C’est son invention, son œuvre d’art de l’Intervecteur qu’il imposera dans l’industrie de l’électronique, de l’informatique, des télécommunications et du transport.


En 1985, le système complexe comportant son œuvre d’art scientifique de l’Intervecteur qu’il a déposé à l’INPI et qu’il a fait breveter n’existe pas dans l’industrie. Il le savait très bien la nouveauté, il savait aussi que ce potentiel humain n’existait pas en un même individu dans l’industrie ou en laboratoire pour résoudre toutes les difficultés qu’il a rencontrées, qu’il a résolues dans sa demande pour le brevet d’invention.  


Son invention du système complexe est nouvelle, nécessite une activité inventive, est susceptible d’application dans l’industrie y compris l’agriculture. L’invention Legros avec l’œuvre d’art de l’Intervecteur est datée, signée, brevetée et exploitée sous le copyright.



LES AVANTAGES DE L’INVENTION ET DE L’ŒUVRE D’ART DE LEGROS


M. Legros, très expérimenté et organisé, a exercé dans l’industrie avec le souci de la rentabilité de ses équipes, de ses réalisations et de ses projets professionnels. De ses écritures, c’est de cette constance qu’il propose sa solution technique qualifiée d’être moins coûteuse, plus fiable que ce qui se pratique dans l’industrie.


Sa science mathématique physique et technique est avantageuse, largement appliquée dans le monde pour son efficacité, sa fiabilité. De leur originalité, de leur nouveauté, tous les produits Legros fonctionnent, sont rentables. Son système, sa télécommunication et son information sont uniques. Son alimentation solaire installée est appliquée aux mobiles en mouvement du plan ou de l’espace ou aux stations localisées (illustration ci-dessous).


De la loi, les redevances sont dues de toute exploitation ou représentation

ou reproduction ou diffusion, télédiffusion en date du jour de dépôt.



LE SYSTEME LEGROS™ D’UNE RAME SUR RAIL (écran plat de bord)

L’ingénierie ferroviaire du Système Intervecteur embarqué sur une rame avec l’écran plat

Les brevets nationaux FR 2 586 845 le 27-08-1985, à 15 heures

LA SPECIFICITE DES CONNAISSANCES DE L’AUTEUR INVENTEUR


Dans la haute technologie de l’époque, années de 1970, faisant souvent preuve d’adresse, d’ingéniosité et de création pour résoudre, M. Legros avait fait part à un collègue, lors de l’intervention sur un système de commande numérique équipant des machines de grande capacité : - « si je poursuis ainsi mes études et mes recherches, j’atteindrai très vite le plus haut niveau de la technique ».


Ayant l’aptitude à anticiper les événements ou à résoudre la difficulté technique, il atteignit le niveau fixé quelques années plus tard. Il construisit ensuite sa propre résolution scientifique mathématique physique appliquée à sa propre technologie. De ses écritures, de ses plans, sans autre artifice, le système Intervecteur plusieurs fois breveté surpasse la technique existante, s’applique directement et fonctionne sans aucun problème.



LE SCHEMA DE LA CONSTELLATION DU SYSTEME LEGROS™ BREVETEE

- Application de télécommunication, de navigation et de sécurité anticollision

Depuis les années de 1958, 1985 à aujourd’hui, Mr Legros est le seul à avoir l’étendue, la spécificité en science Métamathématique physique, en technique, en informatique, télé-communication, la connaissance approfondie des technologies appliquées dans l’industrie en Europe, en Amérique, en Asie, l’expérience des grands comptes de réputation mondiale, la faculté à résoudre des problèmes pointus, pluriculturels qu’il a su par ailleurs tout aussi résoudre en intégralité de ses écritures, de ses résolutions, de ses plans et schémas. Il a imposé au monde sa technologie du SYSTEME LEGROS™.



LA RECHERCHE ET L’ETAT DE LA TECHNIQUE (1960-1985)


En France, en 1963 était créée la DATAR Délégation à l'aménagement du territoire et à l'action régionale pour développer particulièrement l’activité du transport. Sur l’impulsion ministérielle, des réunions inter entreprises avec des organismes de recherche spécifiques étaient organisées pour les projets d’automatisation. Aux congrès sur le transport et aux rencontres internationales les projets étaient présentés, les axes de recherche utilisaient la technologie disponible.


Le ferroviaire étudiait, en 1965, l’automatisation du transport ou les projets PRT Personal Rapid Transit. La technologie du métro automatique VAL MATRA était exploitée à Lille en 1984. Le SACEM était à l’étude par MATRA, ALSTOM, SNCF et RATP. Son exploitation deviendra effective sur la ligne A du RER à Paris en 1988. Le prototype de métro ARAMIS était expérimenté par MATRA, RATP et l’INRETS, sur le site d’Orly, puis sur le quai d’Issy-les-Moulineaux, Pont du Garigliano Paris 75015. L’échec, l’abandon, la destruction du prototype fut constatés au 30 novembre 1987, sans rien retenir de la conception et technologie ARAMIS pour exécuter le métro automatique METEOR de la ligne-14 RATP.


Tous ces systèmes de transport ne disposent pas de l’information sous le droit d’auteur, notamment le temps T Alpha (Ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche des mobiles, ainsi que du système d’information électronique automatique numérique ou de séquences audiovisuelles cinématographiques ou de film, sur l’Internet, et vers les satellites. Dans notre économie, le SYSTEME LEGROS™ d’exploitation, de télécommunication et d’information présente un avantage indéniable de très grande valeur (1960-1985).


Dans le transport, d’autres systèmes ayant longtemps été exploités auparavant (affiche, messages manuscrits, panneau coulissant d’information, rouleau à manivelle mécanique, tableau électrique, électromécanique) mettent en évidence cette innovation technologique de diffusion publique de l’information. Ce SYSTEME LEGROS™ procure un avantage économique à l’exploitant et aux voyageurs. Cette information a un coût financier, le système est de plus en plus exploité qu’il en devient indispensable aux installations.


De 1960 à 1995, sur plus de 30 années, à raison de plusieurs réunions de professionnels par semaine, de techniciens, d’ingénieurs et scientifiques, étaient de plus organisés des confrontations d’idées, des démonstrations, des congrès entre  différentes spécialisations. Ainsi, des milliers de rencontres auraient été consacrées à ces échanges d’idées entre des plus diverses expériences, au plus haut niveau, tout en sachant qu’à l’étranger les recherches étaient tout aussi vives, sans que ne soit apportée la solution scientifique, technique de la conception, de la concrétisation d’une réalisation.

 

Des systèmes de transport étaient publiés par Siemens, par SEL Standard ElektroniK Lorentz repris par le Groupe Thales (anciennement Thomson). Les systèmes PRT de Boeing, Otis et Bendix étaient étudiés, en 1972 aux Etats-Unis. Des systèmes de transports, de navettes d’aéroports, des PRT étaient donc étudiés, publiés par les industriels. Des conférences internationales rendaient compte de la technologie du rail.  


En l’absence d’une innovation majeure, d’un résultat probant, ils furent quasiment abandonnés ou inexploités. Néanmoins, la technologie de l’époque était suffisante pour de tels projets,. D’importants moyens leur étaient consacrés pour les voir aboutir vers des exploitations. C’est ainsi que des centaines de millions de francs ont été investis, des milliers de scientifiques, ingénieurs, techniciens ont été employés sur ces projets français, voire étrangers, sur plus d’une vingtaine d’années, avec la publication, la conception, la fabrication et l’exploitation d’autres systèmes ferroviaires.


Il est bien obligé de constater qu’au jour de la demande du brevet d’invention de M. Legros, le système de navigation sur la planche de bord du mobile ou en station localisée, l’information électronique, automatique, numérique, audiovisuelle, terrestre, spatiale, sur la zone, sur l’écran plat, le télémultipointeurs, l’activation, le basculement n’existaient pas. Et, que le SYSTEME LEGROS™ produisant les informations intervectorielles spatio-temporelles avec le pilotage, le contrôle, l’anticollision (1,2,3,nD) des mobiles évoluant les uns par rapport aux autres dans le plan ou l’espace e n’existait également pas.



LA TECHNIQUE INFORMATIQUE ET DE TELECOMMUNICATION  EN 1984-1985


M. Legros a pratiqué l’électronique, l’informatique industrielle, le développement de programmes sur commande numérique CN, sur calculateur CNC. Il a fait en 1980-1981 une étude sectorielle sur les GRANDS SYSTEMES INFORMATIQUES. Il a étudié l’état de la technique des composants, des processeurs, des ordinateurs et logiciels. Expert en informatique en 1984, il connaissait l’état de la technique de l’électronique, de l’informatique et du logiciel. Ses recherches ont porté sur les systèmes expert et l’intelligence artificielle. Il a créé l’instruction de branchement CAS, CAS-1, CAS-N ou CASE utilisée sur les systèmes d’exploitation, les langages des data bases et de logiciel.


Dans le secteur de l’informatique les constructeurs de machines utilisaient des systèmes d’exploitation ou operating systems. Chaque système d’exploitation était développé pour une machine ou pour un constructeur. Une uniformisation des systèmes d’exploitation émergeait avec UNIX, DOS, etc. Une fenêtre de l’écran, le choix numéroté d’un menu arborescent, les touches fléchées du clavier étaient exploités par les operating systems avec les logiciels système, les logiciels d’application écrits par couche, subschell Unix, subdivision Cobol, subroutine, et en langage informatique. Ensuite ont été développées les bases de données relationnelles ou data-bases avec le langage de base de données SQL Structured Query Language.   


Le brevet US 3,541,541, 21 juin 1967 - « X-Y POSITION INDICATOR FOR A DISPLAY SYSTEM », Nov.17,1970 Inventeur D.C. Engelbart (1925-2013). Les roues des curseurs x,y en mouvement manuel sur la surface sont dans un appareil câblé au système de visualisation d’écran CRT. Le changement de la visualisation en la position du curseur[ _ ] sur l’écran est revendiqué. Ce pointeur était un trait de position sur l’écran. Il n’a jamais été utilisé, commercialisé de 1967 à 1995 par les constructeurs d’ordinateurs et de PC pour le système d’exploitation, pour les applications aux USA, en Europe, au Japon.


Les réseaux Wi-Fi et Bluetooth n’existaient pas sur les machines. La liaison était principalement filaire avec un câblage à un modem, à un multiplexeur et à des périphériques. Des protocoles de communication permettaient les échanges de données. Le réseau Transpac™ (1978) était exploité. Des satellites de communication étaient intégrés aux circuits de transmission. Les liaisons en fibre optique se développaient. Les constructeurs développaient les systèmes d’exploitation MVS Multiple Virtual Storage, VMS Virtual Memory System, DOS Disk Operating System, CP/M Control Program / Monitor or Microcomputer, UNIX Multi task / Multi user, GCOS General Comprehensive Operating System, etc.



LE BREVET D’INVENTION ET L’ŒUVRE DE L’ESPRIT DU SYSTEME LEGROS™ (27-08-1985, 15h.)


C’est donc dans ce contexte que Mr Legros résolut les problèmes posés au monde du transport pour l’exploitation, l’automatisation, la communication et la sécurité. Il déposa sa demande de brevet d’invention, puis il obtint plusieurs titres de brevet d’invention en France, à l’étranger. Mr Legros sut saisir les bons interlocuteurs, qui le reçurent en étant à son entière écoute, pour promouvoir sa technologie. De son savoir-faire, de ses connaissances, de son œuvre d’art, de la clarté de sa description, son invention et ses applications sont efficaces et fonctionnelles. Il informa du fait de capacités techniques originales nouvelles de son invention directement exécutable et opérationnelle dans l’industrie.


L’auteur inventeur de la construction scientifique et technique de l’Intervecteur a défini le système électronique, les instructions informatiques de sa résolution, le logiciel, les données numériques, le bus et les réseaux intégrés pour la systémique et l’évolution de mobiles, les uns par rapport aux autres, dans le plan ou l’espace. Il a publié seul de sa propre initiative son innovation technologique.


La présentation du Système Intervecteur à l’exploitant SNCF et aux industriels

Fin août, début septembre 1985, M. Legros a proposé la licence pour l’exploitation, intégrale ou partielle, du pilote manuel, semi- automatique, automatique ou le train autonome. Le titre de brevet d’invention de l’INPI ne lui ayant pas encore été délivré, ainsi que ceux de brevets nationaux demandés à l’étranger.


Aux revendications, les instructions scientifiques de la résolution intervectorielle (rail, route) résolvent en embarqué à bord du train et en local d’un passage à niveau PN l’automatique et la sécurité anticollision. Le circuit électronique d’asservissement de puissance et de logique de fonctionnement du Système Intervecteur contrôle, pilote les deux systèmes x1 et x2 localisé ou embarqué. - brevet Legros FR 2 586 845 figure 4 Planche II/III.



LE BREVET LEGROS DES MESSAGES SMS NAVIGATION EXPLOITATION GESTION TRANSPORT ROUTE

RAIL MER AIR ESPACE CONNEXION TELEPHONE PUBLIC DES PTT ET TELEPHONE PRIVE SNCF


Le SYSTEME LEGROS™ avec ses propres réseaux d’Electrobus, de bus, de télécommunication tdma, cdma, fdma, mixte mdma et de wifi transmet les messages alphanumériques d’exploitation, de service, de navigation ferroviaire audiovisuelle au mécanicien, aux personnes transportées, voyageurs et exploitant.


Les offres de licence aux directions SNCF datées le 12 septembre 1985, le 29 novembre 1985 disent que :

- « La syntaxe des messages sera souple, simple, compréhensive, adaptée au langage. Un glossaire des messages sera constitué bien que ceux-ci soient clairs et précis. Le système s’applique sans bouleverser les installations existantes et l’exploitation». L’inventeur faisait part de son dévouement pour la sécurité ferroviaire.


De sa technologie, de son système d‘exploitation, d’information électronique automatique numérique, de sa télécommunication mobile, de ses réseaux originaux, nouveaux, M. Legros a développé, dès 1985, sur son schéma l’envoi des messages SMS, en de brefs mots, et de messages audiovisuels enregistrés pour les voyageurs. Le Système Intervecteur transmets les messages SMS d’exploitation, de sécurité sur le visualisateur en cabine de la locomotive ou sur l’écran plat de vision de l’ordinateur, sur les adresses activées ou du numéro de portable informatique ou du téléphone de design BLI-phone Mobile1985.


C’est la technologie du SYSTEME LEGROS™ électronique automatique numérique qui est exploitée aujourd’hui dans le transport public aux réseaux de télécommunication de la SNCF - Société Nationale des Chemins de Fer, aux réseaux de télécommunication des PTT - Postes Télégraphes Téléphones et de la téléphonie mobile et de GSM Global System Mobile(1980-2000) avec ses propres réseaux de télécommunication, son télémultipointeurs-wifi, pad, ou tactile. Brevets nationaux de la famille FR 2 586 845 et l’œuvre d’art de Legros le 27-08-1985 à 15h.


En 1985, cette technologie du SYSTEME LEGROS™ d’exploitation, d’information, de télécommunication, de réseaux, de messages SMS n’existait pas sur le combiné de téléphone analogique des PTT sur le mobile analogique GSM Global System Mobile et aux normes internationales de l’UIT Union Internationale des Télécommunications de Genève Suisse.


M. Legros a désigné «visualisateur» le produit original nouveau du tableau ci-dessous, la langue française utilisant le mot visualisation. Cette technologie de A à Z électronique automatique numérique a été présentée aux directions de la SNCF, aux industriels. La box des opérateurs de la téléphonie mobile intègre le numéro du combiné de téléphone fixe, l’adresse IP Internet Protocole, le PC portable, l’Internet, la télévision TV, la wifi, le BLI-phone Mobile, les SMS, les courriers électroniques e.mails, les caméras de surveillance, les applications, etc.


Les SMS du BLI-phone Mobile sont facturés en centimes par les opérateurs de la téléphonie mobiles. Ils produisent un avantage économique et pour la sécurité. Ils sont aussi exploités aux jeux d’argent et loteries. Le SMS exploite de sa vision les photos, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou film. Le BLI-phone Mobile* envoie 200 mille SMS par seconde dans le monde sur les réseaux de la téléphonie mobile, et vers les satellites, au prix de 0,05 € / SMS. (*) Architecture Design Ergonome Bernard Legros Intervecteur BLI-phone Mobile


Le chiffre d’affaires annuel des SMS serait de cette approximation de 315 milliards d’euros. Le total des redevances et des rémunérations de M. Legros de son invention du SYSTEME LEGROS™ électronique, de ses droits d’auteur de l’œuvre d’art des SMS, des séquences et applications au taux forfaitaire de 3% est de dix milliards euros / an.


Le téléphone public des PTT, le téléphone privé de la SNCF est cité au brevet français FR 2 586 845, au cartouche du plan et aux courriers de M. Legros, août, novembre 1985. La technologique du SYSTEME LEGROS™ de téléphone mobile* en avance sur son temps couvrait les besoins des PTT et de la SNCF année de 1985.

(*) Combiné de téléphone 1871, PTT~1909, GSM 1980, Minitel 1980,2012, France Télécom 1988, Orange 1996



L’INVENTION ET LES DROITS D’AUTEUR DE LEGROS DES MESSAGES SMS LE 27 AOUT 1985 A 15H.

L’envoi de 20 messages SMS, les 6 visualisateurs, l’enregistreur magnétique, le lecteur des brefs messages

10 asservissements du système est authentique de la publication de l’auteur inventeur, août, novembre 1985.


TABLEAU STANDARD  /  OPTIONS - Brevet français FR 2 586 845 et œuvre d’art du message SMS

Short Messages Services public privé et de ses applications sous la licence des droits d’auteur


SMS Short Messages Service © Bernard Legros1985

Dépôt légal  Tous droits de propriété réservés pour tous pays

En résumé, la propriété intellectuelle industrielle couvre :

. en premier lieu, l’œuvre d’art scientifique Métamathématique physique, la loi de Legros ;

. en second lieu, l’originalité du système d’exploitation Intervecteur intégrant le modem L avec écran, la résolution, le télémultipointeurs bidirectionnel ou le navigateur ;

. en troisième lieu, les réseaux de télécommunication tdma (T0), cdma (sL), fdma (nf), mixte mdma (mL) avec le coefficient gamma oméga rectiligne circulaire  (g, wL) ;

. en quatrième lieu, l’électronique, les instructions, les données, les résolutions intervectorielles originales et le logiciel sur tout support matériel ;

. en cinquième lieu, l’information électronique automatique numérique, les messages, les séquences audiovisuelles de navigation ou le film sur l’écran informatique, le synoptique ou l’Internet, et en liaison montante descendante vers les satellites ;

. en sixième lieu, les applications de gestion, de management, de pilotage, d’anticollision et de navigation des mobiles sur une zone dite de travail dans le plan ou l’espace e.



LA DIFFUSION INADMISSIBLE DE FAUSSES INFORMATIONS SUR L’INVENTION

ET SUR L’ŒUVRE D’ART DE L’INTERVECTEUR APPLIQUEES ET EXPLOITEES


Il y a 30 ans, les directions, les ingénieurs et les techniciens n’avaient pas l’expérience, la compétence, la connaissance et le savoir-faire de M. Legros pour maîtriser, exécuter un projet de A à Z dans les activités aussi variées des sciences mathématique physique, de l’électronique, de l’électrotechnique, de la mécanique, de l’automatique, du numérique, des télécommunications, de l’informatique, des systèmes, du logiciel, des langages et de l’instruction.


De l’état de la technique, des échecs, des abandons étaient constatés. Et, aucune demande de brevet d’invention n’a été déposée, aucun investissement n’a été réalisé d’un problème toujours posé de l’anticollision avec la résolution originale, nouvelle de Legros intervectorielle, son automatique, son information pour des applications aussi différentes, terrestres, routières, ferroviaires, maritimes, fluviales, aériennes et spatiales.


Dans le contrôle de la navigation, la prédominance des systèmes était principalement basée sur la détection électromagnétique, la technologie du radar avec le traitement d’un calculateur des données acquises. L’officier navigateur de bord relevait les instruments, corrigeait les coordonnées, le cap, la route, l’horaire, la position (le principe de la navigation maritime et aérienne).


En exploitation en 1985-1995, les systèmes aériens de navigation, d’anticollision utilisés étaient le Radar Radio detecting and ranging (1904-1942), l’ACAS Airborne collision avoidance system - brevet allemand N° 2 652 489 le 18-11-1976 - diffusion de l’altitude de l’avion sur la zone de 6 MN, la VHF Very high frequency, le réseau d’antennes Oméga, les balises VOR VHF Omnidirectional range, l’ILS Instrument landing system, etc.


La constellation de satellites, le système de positionnement différentiel spatial, le bus, les réseaux de télécommunication synchronisés, codés pour l’information électronique automatique numérique de navigation 3D, l’identification, la résolution du vecteur intersection ou de l’intersection intervectorielle ou de l’Intervecteur n’existaient pas en 1985. - brevets nationaux Legros FR 2 586 845 le 27-08-1985.


Faute d’un brevet d’invention à présenter, faute de compétence ou d’une incompréhension manifeste des écritures, des dessins, les titres officiels de propriété intellectuelle de brevets d’invention nationaux délivrés par l’autorité compétente en France, à l’étranger à M. Legros ont été difficiles à admettre d’énergumènes sans avoir à présenter une solution au problème posé.


La clarté de la description de M. Legros présente une invention qui est nouvelle, pas évidente, appliquée dans l’industrie, ainsi qu’une œuvre d’art originale, nouvelle, scientifique, d’instructions, de données numériques, de logiciel, de plans, de dessins et d’architecture.  


Les applications écrites aux brevets nationaux ont été incomprises : 1) l’existence du central ; 2) les groupes d’équations de la résolution intervectorielle, intégrale ou partielle, immédiatement reconnaissable aux paragraphes de la description ; 3) la résolution localisée ou généralisée, en embarquée ou en local ; 4) les schémas d’application de l’invention, de ses instructions, de ses données, de son logiciel ; 5) le choix de types de capteurs de précision infinitésimale, continue, différentielle ; 6) les télécommunications, le modem (le modulateur, le démodulateur), le signal Sigma L (sL) ; 7) l’emploi des huit circuits électroniques, l’architecture système, systémique ; 8) la vision du système, de l’application sur l’écran ; 9) la terminologie des sciences de l’ingénieur ; 10) l’état des sciences, des techniques au jour du dépôt.


Ne pas avoir la compétence ou ne pas être capable d’exécuter une invention nouvelle, complexe, susceptible d’application industrielle ou appliquée dans l’industrie ne rend pas pour cela le brevet nul si son inventeur sait l’exécuter ou si l’homme du métier ou le Collège d’hommes du métier savent l’exécuter avec leur seule connaissance.


Des écritures, paroles mensongères ont été écrites, dites, de fausses informations ont été diffusées, des négations de faits réels ou dénis de la publicité sont constatés. L’invention du système électronique de sécurité est caractérisée aux revendications être exploitée en embarqué ou en local. La résolution intervectorielle aux groupes d’instructions, au signal 2A, aux schémas existe en mode centralisé pour tous les mobiles (Ɐxn), en mode décentralisé pour les mobiles (x1) et (x2) dans le plan ou l’espace e.


Ce concept d’automatique synchronisé, codé, généralisé au monde, imaginé par M. Legros aux années de 1970, difficile à accepter de sa publicité en 1985, est depuis largement exploité, avec l’industrialisation de standards, la performance des systèmes et des réseaux de télécommunication intervectoriels, avec l’application de normes, de directives et de recommandations internationales.


L’invention et l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur ont été dénaturées, vidées de leur substance (les instructions et les symboles de la résolution intervectorielle, le central, les capteurs, les réseaux, les applications, les schémas). Ces dénis de la publicité sont des atteintes portées aux biens privés de la propriété intellectuelle industrielle, au potentiel scientifique et économique et au patrimoine culturel de la France.


La propriété intellectuelle de l’Intervecteur est en force l’objet illégal de l’exploitation, de la représentation, de la reproduction ou de la diffusion avec avantage, profit sans l’accord de M. Legros, sans le paiement des redevances  L’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur et son invention génèrent de la richesse dans l’industrie, y compris l’agriculture.



LA PUBLICITE NATIONALE INTERNATIONALE LE 27-08-1985


De la publicité nationale, internationale, toute copie ou publication ou appropriation dans la presse spécialisée du système Intervecteur de transport manuel, semi automatique ou automatique original, nouveau, de son mode de résolutions scientifiques intervectorielles sans le consentement de l’auteur inventeur Legros est interdite.


Le document n’est que consultable. D’autres systèmes et théories de transport ayant été auparavant publiés, expérimentés, exploités, abandonnés ou détruits.


De la publicité internationale du brevet français Legros FR 2 586 845, sans la licence obligatoire, le Système Intervecteur est une œuvre d’art protégée non autorisée.


Le système est autonome et sécurisé. Il est constitué de huit cartes électroniques qui ont été développées. Le système d’alimentation fournit de l’énergie électrique, du réseau, de batterie, de capacité, ou de capteur solaire (électromagnétique, optique, thermique) aux circuits électroniques. La puissance totale est adaptée aux besoins en énergie du mobile en mouvement dans le plan ou l’espace. Le système est présenté compact sur le schéma de principe des brevets nationaux Legros.


Ses instructions, ses données, sa résolution au logiciel sont originales sur tout support de sa technologie. La sculpture électronique de son système, l’architecture systémique pour tous les systèmes sont définies et signées.


Son télé multipointeurs à résolution intervectorielle variable, par exemple à capteur résistif, inductif, capacitif, optique, etc., est la souris de l’écran mouse filaire, sans fil wireless, bidirectionnelle ou le mouvement sur le pad intégré.


Son système Intervecteur sous le droit d’auteur est complet, directement exploitable. Il précisa tout cela à ses interlocuteurs, sans tarder, ce qui est présenté aux pages et aux illustrations de ce site. Le télé multipointeurs Legros est pluriel ou mice, il utilise sa résolution intervectorielle, ses propres télé réseaux bidirectionnels ou Wi-Fi, son activation, son basculement, ses switchs, sa molette, son mouvement quelle que soit la technologie.


Les problèmes posés au jour du dépôt de la demande d’un brevet d’invention étaient nombreux sans aucune publication de résolution, de solution ou d’antériorité malgré des recherches importantes, une vive concurrence dans le secteur informatique, des ordinateurs et périphériques, des télécoms, du transport, de l’industrie et de la défense.


De sa publicité, la loi de Legros de l’Intervecteur a fondé son œuvre, a bien ancré son invention dans les esprits des ingénieurs pour des applications industrielles, intégrales ou partielles, aux années de 1990 à 2000. Répétons que son œuvre d’art est originale, son invention est nouvelle, elle résout des problèmes complexes posés sans solution, elle est appliquée dans l’industrie.


La suppression des emplois liée au tout automatique lui a bien sûr été opposée. M. Legros précisa les mutations technologiques, le commerce à l’exportation et la vitrine d’un savoir-faire français. De ses prédictions, l’invention de Legros de l’Intervecteur est effectivement la source de nouveaux métiers, de nouvelles spécialisations, de nouveaux langages, d’un nouvel enseignement et de nouvelles normes.


Il est indiscutable que de la publicité Legros, de son œuvre d’art et de son invention, les applications intervectorielles exploitées sont de plus en plus nombreuses, elles sauvent chaque jour des milliers de vies humaines, protègent l’humanité, l’environnement de la planète. Des économies en matières premières, en ressources énergétiques sont réalisées dans le transport, l’industrie, l’agriculture, les services, la défense, les télécommunications, les technologies de l’information et de la communication.


De ses écritures, la création Legros est un succès qui est confirmé dans le transport, l’industrie, les télécommunications et les services. L’Intervecteur, de son emploi, est l’objet de la certification et d’un label. De la publicité, les nouveaux produits et logiciels Legros ont été déposés conformément d’abord dans le pays d’origine en France, puis à l’étranger.


Les revendications des brevets nationaux FR 2 586 845 et le schéma de principe figure 5 planche III/III pour la constellation Legros intervectorielle de navigation ci-dessus n’ont pas d’existence antérieure. Copyright © Constellation Legros de navigation brevetée 1985


De droit, la mention de l’auteur inventeur doit être apposée ainsi sur toute exploitation de l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur ou son copyright.



UNE ŒUVRE D’ART PROTEGEE PAR LE DROIT D’AUTEUR OU LE COPYRIGHT


De la loi du Code de la propriété intellectuelle, l’œuvre d’art du schéma de principe, du dessin ou du plan d’exécution de l’invention ci-dessous est considérée être une œuvre de l’esprit originale, nouvelle protégée par le droit d’auteur ou le copyright.


De la publicité nationale, internationale de M. Legros, le Système Intervecteur, les huit circuits électroniques (8) du schéma de principe, résout dans le plan ou l’espace e le signal synchronisé, codé, la liaison du circuit bus du système, la liaison ou la télé liaison, locale ou distante, des réseaux de télécommunication de tous les systèmes, des satellites, de la systémique, les modes de fonctionnement, d’exploitation, d’application manuelle, automatique, de sécurité, de navigation, de détection, d’activation, d’anticollision, les modes de diffusion de l’information, les messages, le dialogue, les séquences audiovisuelles, cinématographiques ou le film déterminés aux écritures scientifiques, techniques, d’instructions et de données de la description de l’invention par l’auteur inventeur au jour du dépôt de sa demande pour un brevet d’invention le 27-08-1985.



Schéma de principe ou le plan de la Figure 5 Planche III/III du brevet FR 2 586 845

Copyright © Bernard Legros 1985

Dépôt de priorité ou le dépôt légal  Tous droits de propriété réservés pour tous pays


LA PROPRIETE INTELLECTUELLE DU SYSTEME LEGROS™1985


De la publicité nationale internationale de M. Bernard René Paul Legros, la demande a été publiée en la date de priorité auprès de Institut National de la Propriété Intellectuelle INPI de Paris France ; Office Espagnol de Patents et de Marques OEPM de Madrid Espagne ; Office Européen des Brevets OEB de Munich Allemagne ; Office de la Propriété Intellectuelle du Canada OPIC de Gatineau Québec ; Patent Cooperation Traity PCT de Washington USA ; Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle OMPI de Genève Suisse, le 27 août 1985.



Pays désignés au Patent cooperation treaty PCT

Autriche(AT*brevet européen), Australie(AU), Belgique(BE*), Bulgarie(BG), Brésil(BR), Suisse(CH*), Allemagne(DE*), Danemark(DK), Finlande(FI), France(FR*), Royaume Uni(GB*), Hongrie(HU), Italie(IT*), Japon(JP), Corée du Nord(KP), Corée du Sud(KR), Luxembourg(LU*), Principauté de Monaco(MC), Pays-Bas(NL*), Norvège(NO), Roumanie(RO), Suède(SE*), Etats-Unis d’Amériques(US), Russie(SU), Pays(PAYS*) signataires de la Convention sur le brevet européen CBE, le 18 juillet 1986.



INVENTION TECHNIQUE ET ŒUVRE D’ART

Copyright Intervecteur © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays



L’INDUSTRIE DE L’AUTEUR INVENTEUR (1971-2021)


LA LICENCE DU SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR ET LA CANDIDATURE A PROJET


Professeur consultant, en cessation d’activité des travailleurs de l’amiante en 2012, puis en retraite en 2014, il est possible à M. Bernard Legros, conformément au droit, d’exercer aujourd’hui son art sur des grands projets nécessitant la licence de sa propriété intellectuelle, industrielle de droit exclusif ou son expertise.


Le Code des marchés publics stipule que les marchés peuvent être négociés sans publicité préalable et sans mise en concurrence lorsqu’ils ne peuvent être confiés qu'à un opérateur économique déterminé pour des raisons techniques, artistiques ou tenant à la protection de droits d'exclusivité.


De nombreux projets dans le transport terrestre (ferroviaire, routier), maritime (mer, ports, fleuves et canaux), aérien, spatiaux, dans les télécommunications, la défense, l’équipement et l’industrie sont soumis aux procédures du Code des marchés publics et aux droits d’exclusivité. Il n’y a qu'un opérateur économique M. Bernard Legros pour le système d’exploitation, d’information, de navigation maritime satellitaire du dispositif des AIS protégé par les droits d'exclusivité du SYSTEME LEGROS™.


Les AIS sont exploités à bord des navires civils, militaires, à bord des bateaux pilote, des navires de la SNSM, dans les stations CROSS, les ports de commerce, sur les phares et balises, à bord de l’aéronef de sauvetage en mer. M. Bernard Legros a un droit exclusif d’exploitation de son brevet et de ses droit d’auteur. La directive Rés. A.917(22) de l’OMI d’application mondiale au 1er juillet 2002 est une contrefaçon de la propriété intellectuelle.


La constellation du SYSTEME LEGROS™ de satellites notamment pour la position 3D différentielle, infinitésimale en continu est brevetée de sa Métamathématique physique, de ses groupes de résolution intervectorielle spatiale, de son système électronique automatique numérique d’exploitation, d’identification et de télécommunication.


Le SYSTEME LEGROS™ se positionne, est autocontrôlé, les données numériques de la constellation sont contrôlées, corrigées en permanence. De la publicité nationale internationale du brevet français FR 2 586 845, la constellation européenne Galliléo, initialisée en 1998, est en construction depuis 2011 pour une exploitation en 2020.


Le  SYSTEME LEGROS™ de navigation terrestre, maritime, aérienne et spatiale sur l’écran de la planche de bord, de la station est original nouveau. Il n’y a pas d’antériorité, de publication ou de plan de ce système complet de navigation.


M. Bernard Legros a demandé un brevet pour son système de sécurité anticollision, de navigation spatiale avec toutes les caractéristiques scientifiques, techniques de l’invention déposée le 27 août 1985,  brevetée le 23 octobre 1987 en France, et de brevets nationaux.


De la publicité, le 06 mars 1987, de la Métamathématique physique universelle, du système électronique automatique numérique d’exploitation, d’information, d’identification, de son codage, de son signal Sigma (sL) codé, synchronisé, de son coefficient d’accélération (g, wL)n, de ses réseaux de télécommunication, de ses données originales, nouvelles, de ses plans, dessins et architecture, il n’y a pas d’opposition de tiers.


Les antériorités spatiales du SYSTEME LEGROS™ sont la balise Argos™, projet commun du CNES et de la NASA, un centre de traitement recueille les données des satellites (1978). Le projet d’Initiative de Défense Stratégique IDS Star Wars est militaire (1983). Le GPS militaire américain (1978) est en exploitation commerciale civile (1995). Le GLONASS russe (1980) a été déployé pour être opérationnel (2000). (dates approximatives des projets en construction, en exploitation).  


De la Métamathématique physique du SYSTEME LEGROS™, l’identification, la position intervectorielle spatiale sont exploitées pour la géolocalisation, la surveillance, la navigation, l’anticollision des mobiles terrestres, maritimes, aériens et spatiaux. Les antériorités sont le radar anticollision de bord ACAS breveté avec l’émission et l’affichage du niveau de vol des avions, le radar de moyenne et longue portée, la centrale inertielle, le système d’antennes Oméga (démantélé), le phare, les balises VOR, ILS, etc.


Du Code de la propriété intellectuelle, du Code des marchés publics l’invention, les droits d’auteur du SYSTEME LEGROS™ s’imposent au projet du Grand Paris Express, aux intervenants, aux responsables politiques de la ville de Paris, de la Région Ile-de-France et de l’Etat. De la loi de la République, le consentement personnel de l’auteur donné par écrit est obligatoire, ainsi que la licence et les redevances en rémunération. Depuis, le transport public exploite les télécommunications, la diffusion, télédiffusion de l’information audio-visuelle cinématographique aux voyageurs, et en émission-réception vers les satellites.


Le SYSTEME LEGROS™, l’invention, les droits d’auteur, l’achat de la licence sont nécessaires au projet du Grand Paris Express automatique, de train, de métro, de navette d’aéroport et d’information des voyageurs.


La technologie électronique automatique numérique brevetée de brevets nationaux comprenant les droits d’auteur se compose du système d’exploitation à télémultipointeurs, tactile ou digital, du bus interne, de la wi-fi locale, du central, des réseaux de télécommunication tdma, cdma, fdma, mixte mdma, des écrans plats de diffusion, de télédiffusion et de postes en énergie électrique.


Du SYSTEME LEGROS™, la science Métamathématique physique, les instructions intervectorielles, le code logiciel numérique, les télécommunications, la fourniture des puissances sont utilisés pour le système d’exploitation du train, de la rame, de la navette. Le pilote est mixte manuel, semi automatique, automatique ou autonome. Le SYSTEME LEGROS™ d’information électronique automatique numérique est original nouveau, ainsi que l’information, les séquences audiovisuelles cinématographiques ou le film.


Dans la ville de Paris, sur le réseau Ile-de-France, les usagers, les touristes bénéficient du SYSTEME LEGROS™ au quotidient, dans la gare, la station, le bus, le métro, le tramway, le train RER. Cette information est originale, nouvelle, pratique, économique, largement diffusée, payante au ticket de transport, soit la destination, le temps T Alpha (Ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche, les messages de service, touristiques, etc.


Le SYSTEME LEGROS™ est muni des mesures techniques efficaces permettant le contrôle de la diffusion de l’information originale, nouvelle aux usagers, sur l’écran de l’Internet. L’exploitation de cette technologie électronique automatique numérique et de télécommunication terrestre, routière, ferroviaire et spatiale dans la ville de Paris, en Région Ile-de-France est exclusive. Copyright © Bernard Legros 1985


Cette information électronique automatique numérique, le dialogue, les messages sms, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, sur l’Internet, en émission-réception vers les satellites est revendiquée pour la diffusion, la télédiffusion dans tous les types de transport, en mode localisé ou embarqué à bord, pour la géolocalisation, la navigation, l’anticollision spatiale des mobiles. L’information est produite pour les mobiles, les robots, les automobiles, les individus, les animaux équipés du système. L’antériorité est la balise Argos™ avec le centre de réception et de traitement.


Les équipements d’information exploités en 1985 dans les transports publics sont connus des voyageurs (affiche, imprimé, pancarte de bus, rouleau à manivelle sur pare-brise, voyant électrique sur synoptique de rame, panneau à points lumineux, horaire fixe, saisie manuelle des messages, flotte de véhicules pour la mise à jour des messages, etc.).


L’invention ou le brevet du SYSTEME LEGROS™ de sécurité anticollision pour les mobiles porte sur toute la partie matérielle ou le hardware, les huit (8) circuits électroniques, le bus du système, la wi-fi, les réseaux de télécommunication originaux, nouveaux tdma, cdma, fdma, mixte mdma, les antennes et la connectique.


Les droits d’auteur portent sur l’exploitation, intégrale ou partielle, de l’œuvre de l’esprit, la science Métamathématique physique, les groupes d’instructions de la résolution intervectorielle, les données originales, nouvelles, le code logiciel numérique ou le software sur tout support, les plans, les dessins, l’architecture du système, de la systémique des systèmes synchronisés, codés, interconnectés.


Aucun brevet, droit d’auteur ou plan d’architecture système n’existe de cette génération de produit de haute nano pico technologie électronique automatique numérique et d’ingénierie. Le SYSTEME LEGROS™ de droit exclusif d’exploitation est le même système breveté, exploité par des entreprises d’activité différente, de raison sociale différente. Il s’agit d’un monopole, d’une technique industrielle originale nouvelle, d’une œuvre d’art de très grande valeur protégée par des droits d’auteur ou le copyright. La licence d’exploitation d’usage courant dans l’industrie est obligatoire, les redevances de M. Legros sont dues.


Le  SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR est rentable, génère du profit. L’ingénierie marketing définit la fabrication de l’unité produite ou la série en grand nombre ou la standardisation. Il s’agit toujours de sommes considérables en milliards d’euros ou de dollars. Ces exemples de projets en production, en exploitation sont chiffrés.


L’œuvre de l’esprit scientifique Métamathématique physique, électronique, du code logiciel numérique, de l’information, des télécommunications, du modem intégré, de la Synchronisation Universelle, des plans et dessins, de l’architecture du système, de la systémique des systèmes est indispensable, incontournable pour construire, exploiter.


Le SYSTEME LEGROS™, l’origine, la publicité internationale des brevets nationaux FR 2 586 845 est enregistré en la date de priorité ou le dépôt légal le 27-08-1985.



LA PROPRIETE INTELLECTUELLE DU SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR


Sans que l’auteur inventeur ne soit présent,  le SYSTEME LEGROS™ est à son propriétaire une rente*, il aurait dû produire dès sa première exploitation de l’argent là où il est exploité dans le monde. (*) les redevances d’exploitation de la concession du brevet et les redevances de la cession des droits d’auteur


Le brevet et les droits d’auteur en intégralité ou en partie portent sur l’originalité, la nouveauté du Système Intervecteur électronique d’exploitation, de télécom-munication, d’information ou de séquences animées d’images audiovisuelles, cinématographiques ou de film, de pilote autonome, de navigation, d’exploration ou d’application sur l’écran plat ou sur la zone pour tous les mobiles ou stations interconnectés du plan ou de l’espace.


Le SYSTEME LEGROS™ s’intègre à l’économie, au PIB Produit Intérieur Brut de la France, ainsi qu’aux PIB des pays dans le monde. Il est exploité dans tous les secteurs d’activités. L’économie numérique du SYSTEME INTERVECTEUR en permanente croissance représente aux produits finis les 25 à 30 % du PIB mondial, pour environ 20 000 milliards de dollars.


Il n’y a pas de collision ou de confusion de titre de propriété intellectuelle sur l’origine du SYSTEME INTERVECTEUR © et du SYSTEME LEGROS™ le 27-08-1985.



De la loi du Code de la propriété intellectuelle, de la pratique et des règles de l’Organisation mondiale du commerce OMC les produits et les applications doivent être exploités sous licence du brevet ou des droits d’auteur et sous la marque commerciale SYSTEME LEGROS™.

Intervecteur de

liaison type résistif,

électromagnétique,

optique, réseau,

télé-réseau tdma, cdma,fdma et mdma
























Bus, réseau, trame

bidirectionnels,

gamma(g,wL)Legros




 RESEAU TELECOMS


 COPYRIGHT 1985

Intervecteur sur écran graphique,

comparateur électronique,détection, basculement,activation,ordre, etc.

avec le multipointeurs bidirectionnel,   

mouvement,g,vecteurs x1,x2, vitesseV

fig. 1 planche I/III, groupe d’instructions

x1

x2

x2

x1      x2  =              1 ; sinon égal 0 ;


x2  =  x2  ;  x1, x2, …,    xn(x, y, z, t) ;

(...) ; reconnaissance de forme, etc.


DETECTION VISIONIQUE ECRAN


ELECTRONIQUE LEGROS

Intervecteur sur tablette, souris, pad, ..., multipointeurs d’écran bidirectionnel,

Intervecteur sur zone terrestre, maritime,aérienne,spatiale,comparateur

électronique,asservissement spatial du

mouvement, g, des xn,position,vitesse V,…

x1

x2

x2

x1      x2  =              1 ; sinon égal 0 ;


x2  =  x2  ;  x1, x2, …,    xn(x, y, z, t) ;

(...) ; reconnaissance de forme, etc.


DETECTION VISIONIQUE ZONE

©Publicité internationale famille brevets Legros

  nationaux  FR 2 586 845  date le 27-08-1985

AUTOBIOGRAPHIE DE BERNARD LEGROS


Bernard René Paul Legros né en France le 15 septembre 1953, au 1 Place de l’Eglise, à Besné 44160 dans le département de Loire Atlantique est un savant auteur inventeur de la publicité nationale et internationale de sa formule de la Résolution intervectorielle scientifique Métamathématique physique quantique spatiale universelle numérique synchronisée programmée codée sécurisée du Système Intervecteur et de la systémique protégée par la loi du Code de la Propriété intellectuelle et par la Convention universelle sur le droit d’auteur.


L’expert a des connaissances dans tous les secteurs d’activités de la nouvelle économie numérique, d’un monde nouveau exclusif mondial qu’il a créé seul ou un monopole. Son droit d’ordre moral, d’ordre patrimonial d’auteur inventeur est perpétuel, inaliénable et imprescriptible au 27 août 1985, à 15 heures.


SYSTEME LEGROS™ Technologie Electronique Spatiale Science Résolution Intervecteur

Copyright  © Bernard Legros 1985  Dépôt légal  Tous droits de propriété réservés pour tous pays



Le SYSTEME LEGROS™ couvre un large domaine d’application reproduit en totalité ou en partie sur les produits nouveaux de l’industrie. En outre de la loi, le consentement personnel obligatoire de l’auteur inventeur propriétaire M. Legros n’a pas été donné et par écrit - articles L111-1, L132-7 et L615-12 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Ingénieur d’études, consultant, il est l’expert de sa propre technologie électronique complexe d’exploitation, de télécommunication et d’ingénierie. Il a créé le Système Intervecteur entièrement nouveau qui transcende l’art antérieur pour en devenir la norme, le standard de la nouvelle économie numérique mondiale. L’auteur inventeur puise ses origines dans le département de la Loire Atlantique, le Val de Loire, le Perche, le Gâtinais, en limite de la Bretagne, de la Normandie et de l’Ile-de-France.


Ses grands-parents paternels Arthur Camille (prénom usuel) Jules Legros et Juliette Elise Rose Rivet ont eu cinq enfants dont le cinquième Arthur Bernard (prénom usuel) Auguste Legros. Le grand-père éleveur de bovins au fermage sera ensuite employé de la SNCF. Bernard père est né le 05 octobre 1931 dans la gare maisonnette de passage à niveau de la SNCF à Authon-du-Perche en Eure-et-Loir 28. Le grand père sera chef de canton principal, son épouse garde barrière au Gavre en Loire Inférieure. Bernard fils connaîtra ses grands-parents en retraite dans la maisonnette, là où il y avait les barrières roulantes, la voie de chemin de fer, le jardin attenant, le puits, le château d’eau et la gare.


Ses grands-parents maternels Gabriel François Marie Chicaud et Noémie Marie Rose Violain ont eu cinq enfants, l’un des jumeaux ne vivra pas. La sixième Claire Odile Marie-Thérèse Chicaud est née le 11 octobre 1922 à Plessé 44 dans une ferme du bocage en Loire Inférieure*. Le grand-père sera mobilisé sur le front pendant la guerre de 1914-1918. Agriculteur d’une ferme de 35 à 40 hectares à Plessé, le foyer cultivait les céréales, blé, orge, avoine, l’herbage, élevait bovins, porcins, fabriquait le pain, vendait le beurre de la crèmerie attenante. Bernard se souvient des travaux de la ferme, en bas âge peu de son grand-père. (*) Loire Inférieure, Loire Atlantique 1957


De l’histoire de la guerre de 1939-1945, Claire la mère de Bernard d’un déplacement à Nantes entra dans une librairie et vit la photographie de Jean Moulin avec son chapeau qu’elle reconnu aussitôt. Interrogative, empressée, elle acheta le livre. Claire dit que ce Monsieur mystérieux était de passage dans la ferme de Le baizy en Loire Inférieure durant la guerre. Se dénommant Jean, son nom de résistant connu était Max. Le marcheur solitaire affirma qu’il avait une parfaite connaissance de l’élevage des chevaux (Eure et Loir) et qu’il désirait louer ses services. Il travailla, resta discret quelques jours dans la ferme isolée. Il portait toujours son foulard cachant la cicatrice de sa tentative de suicide. Porteur du chapeau, la jeune Claire (20 ans) le nomma Jean du Chapeau à son père Gabriel, sa maman Noémie décéda l’année de la déclaration de guerre. Il est évident que de telles similitudes sont à vérifier pour compléter les mouvements, les activités de Jean Moulin ayant eu mission de constituer, d’organiser un réseau de résistants en France. Ayant été Préfet de Chartres en 1939, Jean Moulin, aux pseudonymes Max, Rex, pouvait bien être de passage dans la région à Plessé, Saffré, la forêt du Gâvre, Chateaubriand ou dans le maquis de la résistance aux années de guerre entre 1940 et 1943 avant de regagner la région de Lyon, en prévision de rejoindre le maquis du Vercors. Jean Moulin Homme politique, résistant français (1899-1943).


Ses parents Bernard Legros (1931-1980), Claire (1922-2015), retraitée en 1997 à 75 ans, se sont mariés à Beslé-sur-Vilaine. Ils ont créé un salon de coiffure à Besné 44 Loire Inférieure. Avant d’avoir une clientèle, le papa aura fait l’entretien de la place principale de la commune et des espaces verts. Les premiers clients ont été les besnéens, les agriculteurs, les cheminots SNCF de la région qui connaissaient le grand-père du Gâvre, les ouvriers des Chantiers navals de Penhoët, du camp militaire américain de Gron aérodrome, de Sud Aviation l’actuelle usine Airbus. Coiffeur, coiffeuse artisan, employeur, la maman a donné naissance au domicile à cinq enfants, Martine (1950), Patrick (1952), Bernard, Line jumeaux (1953) et Claire (1961).  

     

Martine, Patrick ont travaillé au salon des parents, artisan ont exploité chacun un salon de coiffure avec apprentis et ouvriers. Bernard passera son BEPC, choisira de faire des études à Saint-Nazaire en électrotechnique, option électromécanique, puis en électronique, informatique, ingénierie, commerce (Ingénieur d’affaires, produit, Projet export, Directeur). Line, étudiante à Nantes en faculté de droit, faculté de lettres langue anglais a été expert en investissement industriel, agence de l’ONUDI de Paris, et en Afrique. Claire, faculté de géographie, aménagement du territoire de Nantes, Institut d’administration des entreprises de Rennes est dans le service du développement industriel de la métropole nantaise.


Natif de cette campagne, Bernard a fait le jardinage, le désherbage, l’ensemencement, le ramassage des pommes, la récolte de fruits, de légumes, la fane, l’élevage d’animaux de basse-cour, l’élevage de chiens, la fabrique de cidre bouché, le bouilleur d’eau-de-vie (droit) calva breton, le bois de chauffage, la chasse, la pêche. Sportif, il aura pratiqué le cyclisme et autres disciplines.


Dévoué, il fera les courses du Café-Tabac De la Paix, et bureau de Poste de personnes âgées (équipé d’un combiné de téléphone à manivelle) des PTT Postes Télégrammes Téléphones, commune de Besné. Il fera la distribution des télégrammes à domicile. Il portera au bureau de Poste les mandats de l’épicière du bourg aussi âgée. Il aidera au déchargement de camions d’ardoises du couvreur et au pressoir du village. A 11 ans, de son honnêteté, trouvant sur la place un billet de 10 francs, il le remettra au secrétaire de Mairie, mis sous enveloppe, sans oublier son argent, il en prit possession un an passé.


De cette filiation, Bernard sera imprégné d’un monde rural de proximité, l’agriculture, le chemin de fer, le commerce, les clients, l’activité aéronautique, navale, portuaire, de raffinage, de transport maritime, pétrolier de Donges, de Nantes Saint-Nazaire.


La scolarité

Bernard étudiera à l’école primaire publique de Besné. Il sera admis en 1964, à 10 ans, en classe de 6ème  au Collège d’Enseignement Général de Pontchâteau 44160.


Il est certain que l’élève avait une faculté innée pour dessiner sur papier, inventer la forme de voiture, bateau, avion. En 1958, il interrogeait le chauffeur et son passager sur l’éclairage des phares d’un chemin de terre sinueux lié avec la direction des roues de l’automobile dans les virages. En 1964, dans l’attente du car scolaire, il imaginait le moyen d’obtenir l’heure de son arrivée, soit le temps T alpha de son brevet d’invention. En 1965, sur son train électrique modèle réduit JEP, il imagina scier l’attache des wagons, former le bloc de la rame de type TGV.


Par la suite, il mettra bien à profit son goût pour la technologie, l’organisation, la rentabilité, la créativité, le design aux objets, aux industries qu’il pratiquera en production, en maintenance, le cycle, l’automobile, le ferroviaire, la navale, l’aéro-nautique, l’énergie, l’armement, l’informatique, les télécommunications et l’espace.


Tel son Système électronique de sécurité anticollision incluant la formule de la résolution intervectorielle* et le code logiciel numérique qu’il a développé et déposé pour les mobiles en mouvement dans le plan ou l’espace e au brevet d’invention français FR 2 586 845, le 27 août 1985, 15h. (*) Œuvre de l’esprit de droit d’auteur


De l’avis du conseil de classe à ses parents, la séparation des jumeaux fera redoubler Bernard sa classe de 5ème pour être dans la classe de sa sœur jumelle, Line en CM2 à l’école primaire privée ayant échoué à l’examen de passage en 6ème.


Bernard se souvient avoir été initié en classe de 5ème à la théorie des ensembles par un professeur qui avait assisté à une formation sur cette discipline mathématique. De son commentaire à un élève sur le résultat, il dit le lien avec les mathématiques. En classe de 4ème, il suivra des cours de physique, chimie, de technologie et de dessin industriel.


En 1968, il résolvait les équations de mobiles trains en mouvement ou sur papier millimétré et pensait au transport automatique. Il écrivait sur l’élève Jupiter atterrissant avec une nuée de libellules volantes dans la cour du collège, après avoir pris sa pillule au petit-déjeuner et suivi un cours d’anglais répétitif nocturne sur bande magnétique.


Cycliste cadet, Bernard lors d’un entraînement en 1969 mit en évidence l’appui des coudes sur le guidon. Les nouvelles forces amélioraient le rendement, la puissance. Il dit à son équipier présent que cette posture qu’il présentait devra être homologuée. Les cyclistes des courses du contre la montre utiliseront cette position en 1989, puis les triathlètes.    


Bernard réussira son Brevet Elémentaire du Premier Cycle BEPC lors du premier examen avec de très bonnes notes. Sa sœur Line, élève au Lycée Guist’hau de Nantes échouera, sera reçue aux épreuves de rattrapage à l’examen et poursuivra ses études en seconde.


Lors du conseil d’orientation professionnelle, Bernard choisira de suivre une formation en Electrotechnique, option Electromécanique au Collège Jean Brossaud, annexé au Lycée technique de Saint-Nazaire 44600.


Suite à ses rencontres, à ses conversations en vacances d’été de 1969, il regretta son choix d’orientation professionnelle. Au mois d’août, il décidera de s’inscrire en classe de seconde dans un Lycée de Saint-Nazaire ou de Nantes. Malheureusement, il n’y avait plus de place dans les établissements techniques. On lui fit remarquer qu’il pourra poursuivre ses études après cette formation.


De cette rentrée, déçu, il regagna son domicile avec sa mère qui vint le chercher, souffrant, absent quelques jours, ne se sentant pas dans son meilleur élément au Collège d’Enseignement Technique de Saint-Nazaire. Il appréciera par la suite cette formation. Volontaire, il s’exercera à perfectionner la mesure physique en cours du soir, sera reçu au BEP d’Electrotechnique, et à l’examen facultatif de CAP d’Electromécanique en 1971.


Sur sa maquette, il concevait son Electrobus des circuits. Lors de la radio des poumons dans le camion, et de rayons x nocifs, il concevait rendre possible l’imagerie médicale électromagnétique.


En 1971, travaillant dans les ateliers de la SNIAS, Aérospatiale sur le positionnement tridimensionnel 3D de machines GSP, Forest, Liné, Berthiez, Waldrich, Droop et Rein, Keller, de CN Bendix, Ferranti, il pensa à la Synchronisation Universelle des machines numériques, la connexion, l’automatisation, la géolocalisation spatiale par satellite.


Son choix pour les sciences, la technique était réfléchi, bien qu’il avait des prédispositions pour la création littéraire, la narration, la poésie. Il sera reçu avec succès à tous ses examens et tests professionnels d’embauche.


Il obtiendra le Certificat Supérieur Technico-Commercial de l’Académie Commerciale Internationale CCI-Paris en 1982. Et, il obtiendra le diplôme d’Expert en informatique de gestion de l’université Paris-Dauphine en 1984.


En France, à l’export, il sera agent technique, chef de chantiers, directeur commercial, ingénieur d’études et professeur.


Bernard obtiendra un brevet d’invention en électronique et télécommunication spatiale au titre de Système de sécurité anticollision pour les mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt dans le plan ou l’espace.


L’invention est en rupture très nette avec la technologie. Tous les systèmes existants au monde en 1984 deviendront obsolètes, périmés, seront abandonnés.


Le brevet FR 2 586 845 au dépôt de priorité le 27 août 1985 reçoit de plus la certification de l’organisme agréé, tel le Bureau Veritas, la Lloyd’s Register ou la Det Norske Veritas pour son exploitation mondiale. - voir les § suivants sur le brevet


Son brevet est l’objet de normes, de décrets, d’arrêtés en France, de normes, de recommandations, de directives européennes, internationales dans tous les secteurs de l’industrie et de l’économie numérique. - consultant-legros.net


1. Le début de carrière

Bernard sera recruté, en 1971, dès sa sortie du collège, à son domicile par la SNIAS, après le succès de tests techniques dans les ateliers de Méan-Penhoët Saint-Nazaire. L’Aérospatiale connaissait les difficultés en 1969-1975, de l’échec commercial du Concorde et d’un début en production du nouvel avion Airbus. D’un plan de charge réduit, l’usine faisait de la sous-traitance de pièces automobiles de Peugeot, Renault, Berliet, Saviem, etc. que Bernard pratiquait sur les machines de production.


Les embauches bloquées, il sera employé en qualité d’intérim de Thiriet-SNC en renfort du service électromécanique de l’atelier de commande numérique électronique hydraulique de production aéronautique. Il produira plus de 240 heures/mois, horaire 3x8h. ou de quart, plus ses études de cours en électronique industrielle.


Il sera félicité en présence de ses collègues, devant les directeurs par son professeur de ses réussites en électronique. Il effectuait jusqu’à 10 fiches de dépannage par jour et il eu un boni de 9,9/10. De tests professionnels théoriques, pratiques organisés par l’Aérospatiale, il obtiendra la qualification supérieure.


Un accident de travail et une plaie toujours visible traumatisante douloureuse

Les jours passés Bernard avait fait la rénovation d’une fraiseuse Graffenstaden. Le samedi 03 juin 1972, en poste de quart, 05h-13h, il fit la pose de l’armoire de commande passant en très basse tension. Il recalibra lui-même le faible ampérage des fusibles qui fondaient, laissant penser a priori à un câblage défectueux, mais il l’avait bien testé de fonctionnel.


Les essais de la machine terminés, il aura un accident de travail à 11h45. Le lubrifiant de la fraise aspergeant la table, son collègue cria, vociférant de déplacer le tuyau d’arrosage. Le tuyau bloqué, vif avec force Bernard l’écarta, il céda sous l’outil coupant en rotation. Son bras fut malheureusement happé du dessus de la main droite jusqu’au coude. Se tenant le bras ouvert sanguinolent, il alla à l’infirmerie d’où il fut hospitalisé à Saint-Nazaire.


C’est trente points de suture qui refermèrent la plaie béante. Il aura deux mois d’arrêt de travail, dont un mois qu’il décidera de passer sur son temps de congés payés. Seul, il n’y aurait pas eu d’accident, sans s’empresser, il aurait coupé le contacteur de pompe. Exposé aux intempéries, au vide, aux machines de grande dimension, aux engins de manutention, au management d’équipes, en intervention sur des navires, des supertankers, il n’aura pas autre accident de travail au cours de sa carrière.


Il est évident que sur le plan médical, une telle plaie, les tissus affaiblis, il s’en est suivi une appréhension, une douleur physique, psychique, aussi lors de la pratique du sport, encore aujourd’hui. Bernard, mineur à 18 ans, ne sera pas entendu sur les circonstances de l’accident de travail. Il n’y aura pas de procès verbal, ni l’assistance des syndicats ou de la direction du service pour obtenir une pension de l’Assurance Maladie, d’invalidité et en réparation du préjudice moral physique. Le bras fragilisé, il ne sera pas exempté le 1er octobre 1973 du service militaire.


Bernard quittera l’Aérospatiale au 30 septembre 1973 pour faire les classes de son Service National à Fontainebleau. Il sera affecté à Rennes GMR3, Service Technique des véhicules militaires du Train. De retour dans la vie civile, il sera recommandé par le Directeur du Service entretien et travaux neufs de l’Aérospatiale auprès du Directeur des Chantiers de l’Atlantique de Penhoët. Les tests concrétiseront son embauche, il travaillera sur les équipements de production mécanique, diesel, navale, d’énergie et en centrale à Saint-Nazaire aux Chantiers de l’Atlantique, puis Chantiers de l’Atlantique ALSTOM.


Il sera engagé pour intervenir 24h./24 en France, à l’export dans les chantiers navals, les ports de commerce, les arsenaux sur les apparaux d’armement de navires, de plateformes offshore en construction, recette, certification ou en exploitation commerciale à quai ou en mer par BLM Jeumont-Schneider Nantes Carquefou.


Appelé, incorporé au 120ème RT de Fontainebleau Régiment du Train, affecté au GMR3 Groupement des Moyens Régionaux de la Troisième Région Militaire, basé à Rennes (classe 10), il sera libéré le 1er octobre 1974. Réserviste, il sera classé en 1976 dans l’affectation collective de défense du Ministère du développement industriel et scientifique.


Aussi, en France, à l’export, il exercera en fabrication pour les industries de la sidérurgie, de la métallurgie, de l’énergie thermique, nucléaire, du transport automobile, ferroviaire, btp, navale, aéronautique et militaire, armement, engins terrestres, sur les computers CNC Elettronica San Giorgio ELSAG Gênes Italie bureau parisien de Châtillon, et de Vanves.


Il est intervenu auprès des plus grands comptes leaders de l’industrie de pointe de haute technologie, dans presque tous les plus grands ports de commerce européens. Il a travaillé dans les chantiers navals, arsenaux, navigué à bord de navires, océan Atlantique, Méditerranée, Manche, Mer du nord, Baltique. Pour une meilleure rémunération, une évolution de carrière, il choisira de reprendre des études, d’obtenir des diplômes en informatique, commerce, affaires et management.


Bernard, demeurant 58 rue Michel Ange 75016 Paris, en voyage dans l’Ile de la Réunion en 1980, invité de sa jumelle, il rencontrera Catherine Gabrielle Marie Baloukjy, licenciée és lettres, capésienne, professeur d’espagnol née à Saint-André de la Réunion du mariage de Gabriel Baloukjy et de Simone Cazal originaire de la région Bretagne, propriétaire du Journal de l’Ile, de l’imprimerie-librairie et de magasins. Les arrières grands-parents auront fait la culture de la vanille dans l’Ile. Le grand-père Fernand Cazal école des Arts et Métiers, ingénieur des travaux publics sera fondateur de l’Imprimerie-Cazal et du JIR.


Sur les conseils de Bernard ayant carrière dans l’industrie et le commerce, Catherine fera en 1982 des études de secrétariat d’entreprises à Paris et obtiendra les deux bts de commerce international trilingue français anglais et français espagnol.


Le mariage civil sera célébré en la mairie du 16ème arrondissement de Paris le 27 juillet 1984, la cérémonie religieuse a eu lieu à Orgeval-en-Yvelines. Ils ont eu deux enfants, Johanna Claire Simone Amélie Legros née prématurée à cause de la listéria, le 06 avril 1986 chirurgien-dentiste, son frère Chris Gabriel Bernard Legros né le 21 février 1988, architecture, programme de construction, commerce en immobilier. Johanna et Rafaël ont donné naissance à trois garçons Yann né le 08 juin 2017, Tim né le 09 octobre 2019 et Matt né le 19 novembre 2021 dans l’Ile de la Réunion.


2. Le brevet d’invention FR 2 586 845 et le droit d’auteur

De son habitude à intervenir seul instantanément en permanence sur des problèmes industriels en France et à l’export, il répondra à la SNCF en proposant une technologie, un système entièrement nouveau pour résoudre les problèmes de collision ferroviaire survenue l’année de 1985 à un passage à niveau à Saint-Pierre-du-Vauvray faisant 9 morts, à Flaujac la collision fit 35 morts, 120 blessés, à Argenton-sur-Creuse le déraillement causa la mort de 43 voyageurs, fit 34 blessés.


Le titre de la demande du brevet d’invention enregistrée au N° 85 12780 est bien pour le Système de sécurité anticollision pour les mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt.


De la demande de brevet sans l’opposition de tiers, l’avis documentaire avec le fascicule du brevet d’invention publié au N° 2 586 845 (FR) sera délivré à son titulaire Monsieur Bernard Legros par l’autorité compétente de l’Etat pour un droit exclusif d’exploitation.


L’auteur inventeur du Système de très haute technologie électronique a de sa compétence industrielle étendu les applications à l’exploitation des télécommunications, au transport en général, routier, ferroviaire de métro, au maritime, à l’aérien, à l’espace.


Son brevet est le prolongement de sa carrière, le Système électronique d’exploitation ferroviaire, de télécommunication mobile, d’information, d’identification, de géolocalisation, de signalisation, de navigation, de sécurité anticollision est un succès planétaire.


Le SYSTEME LEGROS™ électronique, et d’exploitation à télémultipointeurs-wi-fi, pad, ou tactile d’écran plat, s’applique à l’ordinateur à écran plat, la tablette, le téléphone mobile, le véhicule, le train, le métro, le navire, l’avion, l’engin volant, le drone, la fusée, le lanceur, le missile, le satellite, les matériels de défense et de commandement, la sonde, l’espace, le mobile autonome ou planétaire, les réseaux de télécommunication spatiale, la téléphonie mobile cellulaire, le central, les stations, les antennes, le 27 août 1985, à 15 heures.


Les Chefs d’Etat de l’antiquité, et sous l’ancien régime, l’Empire, la République, jusqu’à notre temps protégeaient les personnages phare de l’évolution de la société, de son épanouissement, de son bonheur, son renom, de sa sécurité. Ces personnages étaient mis à l’abri du besoin, recevaient rente et propriété pour une vie paisible ou de recherche. Exposés, vulnérables, ils étaient protégés des incivilités et des crimes contre les biens.


3. Le manquement au devoir, la rébellion contre l’Institution de l’Etat et le brevet

Bernard avait tout pour avoir une vie heureuse, comblée, des diplômes, des titres de propriété intellectuelle, une carrière, une famille, des enfants. Il a habité l’Ile de la Réunion de 1988 à 1992, a travaillé sans trouver un prolongement de carrière en adéquation, sans pouvoir licencier ses titres de brevet et de droit d’auteur de grande valeur.


En grande difficulté financière, souhaitant poursuivre son projet de carrière consacré à l’exploitation de ses titres, M. Legros décidera de divorcer, les devoirs et obligations du mariage rendant intolérable le maintien de la vie commune. Le divorce d’un consentement mutuel sera prononcé rapidement d’un Jugement rendu le 16 octobre 1992.


M. Legros ayant regagné la maison familiale de sa mère en juin 1992, il fera l’entretien de la propriété, bâtiments, terrains de 3 500 m2. Il se consacrera aux recherches d’emploi, à un CES contrat emploi solidarité de la commune, à des missions d’intérim, à de l’enseignement et à des consultations. Il fera la promotion technique, commerciale, économique de la licence de son brevet et de ses droits d’auteur.


Ayant une parfaite connaissance de l’industrie, il poursuivra sa carrière en défendant ses droits face à un crime manifeste ayant pour but évident de mettre en œuvre les moyens pour s’approprier sa technologie, de la voler, de nuire à son entreprise initiée de son propre chef au jour du dépôt de sa demande pour un brevet d’invention le 27 août 1985, 15h.


Des atteintes ont été portées aux biens, aux moyens de subsistance du savant qui avait des prétentions de salaire légitime en qualité d’auteur inventeur dans le domaine des hautes technologies. La décision délibérée de couper les vivres a été ordonnée pour empêcher toute industrie ou promotion de l’entreprise. Les sommes d’argent reçues des ASSEDIC par M. Legros en recherche d’emploi étaient les Allocations Spécifiques de Solidarité au montant de 2400 Frs, jusqu’à 460 € pendant la période de chômage.


Cette indemnité était incomparable avec les redevances d’exploitation des droits d’auteur, du brevet portées respectivement à 3%, 15% du chiffre d’affaires pour des projets de métro automatique d’une valeur globale de 3 milliards d’euros l’unité. Ces projets ont été initiés suite à la publicité nationale et internationale de M. Legros le 27 août 1985.


De la publicité, de rendez-vous, de lettres commerciales de M. Legros, son brevet, ses droits d’auteur, sa technologie, sa formule, ses applications, sa valeur financière ont bien été étudiés, exploités dans l’industrie, sans aucun investissement au nom de directions d’entreprises ou de cabinets de consultants pendant les périodes de chômage de 1985.


Nous savons que tous les projets présentés par M. Legros en application de son brevet FR 2 586 845, de ses droits d’auteur se chiffrent en des milliards d’euros l’unité dans les différents secteurs économiques de l’électronique, de l’industrie, du transport, de la défense, des télécommunications et de l’espace.


M. Legros est retraité des travailleurs de l’amiante Caisse Régionale d’Assurance Maladie d’Ile-de-France depuis le 1er juin 2012, retraité de l’industrie, régime général de la Caisse National d’Assurance Vieillesse le 1er avril 2014.


Il exerce son activité de Consultant Expert Haute Technologie de l’industrie numérique sur les projets qu’il a initiés en sa qualité d’auteur inventeur et propriétaire de titres de la propriété intellectuelle de publicité nationale et internationale. Enregistrement du n° siret 352 826 804 00044 Code ape 71112


Les infractions de crimes et délits

Sur décisions judiciaires datées, signées de leurs auteurs, sur les preuves déposées au greffe du tribunal, des infractions pénales de crimes et délits avec préméditation, circonstances aggravantes ont été commises, notamment la discrimination, l’extorsion, la menace, le vandalisme, la violence, la torture, les atteintes à l’intégrité physique, psychique, les atteintes volontaire à la vie, les atteintes visant à entraver les naissances, la réduction à l’esclavage, la dénonciation calomnieuse, l’escroquerie, la falsification d’expertise, les entraves à la justice, le faux matériel intellectuel, le faux en écriture publique, la contrefaçon du brevet français FR 2 586 845, la contrefaçon de l’œuvre de l’esprit, le sabotage de l’invention du système d’information automatisée et d’anticollision, l’apport de malfaçons, la fourniture de fausses informations civiles, militaires, la trahison, le déni de l’invention, de l’œuvre de l’esprit, la destruction d’un titre de droit exclusif d’exploitation délivré par l’autorité compétente de l’Etat, la rébellion contre l’Institution, le déni de rendre la justice d’un arrêt rendu par la plus haute juridiction de la République, la Chambre criminelle de la Cour de cassation pour obtenir la renonciation, détourner les fonds des redevances de l‘auteur inventeur, pour préparer, faciliter la consommation d’un vol en bande organisée du brevet (20 ans), de l’invention, de l’œuvre de l’esprit (vie plus 70 ans), l’usurpation de la qualité d’auteur, l’usurpation de la qualité d’inventeur.


Le droit d’auteur, le droit d’inventeur de Monsieur Bernard Legros est perpétuel, inaliénable, imprescriptible. Pour les auteurs, les inventeurs, il n’y a pas de prescription au même titre que les crimes contre l’humanité.


Il ne s’agit plus, pour faire valoir le droit, de l’assignation en référé de la RATP le 05 juin 2000 en contrefaçon du brevet français FR 2 586 845, en contrefaçon de l’œuvre de l’esprit des titres de propriété intellectuelle délivrés par l’autorité compétente de l’Etat conférant à M. Legros un droit exclusif d’exploitation. Mais, il s’agit aujourd’hui d’un nombre d’infractions pénales qui ont été commises, comme auteurs ou comme complices, dont le mobile est la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui, la consommation d’un vol en bande organisée du brevet, de l’invention et de l’œuvre de l’esprit de grande valeur, éternelle, universelle, consacrée par l’auteur inventeur de la Synchronisation Universelle.


Toutes ces infractions de crimes et délits prouvées sur les pièces judiciaires déposées au greffe du tribunal troublent l’ordre public, sont punies de peines d’emprisonnement, d’interdiction des droits civiques, de lourdes amendes, de confiscation du produit du vol, des recettes, des valeurs, des fonds détournés. De la publicité nationale internationale, l’exploitation fonctionnelle, efficace du brevet, de l’invention ou des droits d’auteur est prouvée dans le public. Toute représentation ou reproduction, diffusion, télédiffusion, édition ou importation, exportation dans le monde est illicite, ainsi que d’un bien culturel.


4. L’enseignement de la méthode Ingénierie Marketing

M. Bernard Legros est l’auteur de recherche, de prospective et du concept Ingénierie Marketing - juin 1986, de la plaquette commerciale imprimée - août 1986 Reproduction interdite imp. Cazal-23756 La Réunion. Le dépôt légal de la plaquette est poinçonné aux dessins et modèles le 19 septembre 1986 par INPI Paris France. Le schéma d’ingénierie est construit de modules M00-M30 intitulés, interactifs, en synergie. L’œuvre de l’esprit est littéraire, scientifique, artistique, d’écrits, de plans, de croquis, d’architecture informatique, d’écrans. La méthode intégrale ou partielle consacrée à l’entreprise, au projet, au produit de l’industrie, des affaires et des consommateurs est protégée par le droit d’auteur.


M. Legros professeur a fait l’enseignement de la méthode, la diffusion au public d’un cours supérieur en école de commerce et d’ingénieur. L’application de la méthode avec son système d’exploitation à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile, de télécommunication, d’information est diffusée sur le tableau ou l’écran plat. Le livre Ingénierie Marketing de 250 pages ou écrans comprend des études de cas et de marchés. La représentation de la méthode Ingénierie Marketing est scientifique, industrielle, commerciale, économique. La méthode est en vente, négociable pour la cession des droits d’une licence d’exploitation.


Les qualificatifs marketing ont longtemps été utilisés tels le marketing management, industriel, international, stratégique, mix, etc. Le titre de l’œuvre de l’esprit Ingénierie Marketing est protégé par le droit d’auteur comme l’œuvre elle-même. Nul ne peut utiliser le titre original attaché à un droit pour individualiser une œuvre du même genre en violation du droit moral, du droit patrimonial de l’auteur. - consultant-legros.net pages marketing


Ingénierie Marketing © Bernard Legros 1986

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5. Une carrière dans la haute technologie

M. Legros exposé sur les marchés concurrentiels sensibles de l’industrie à l’exportation avait 31 ans lorsqu’il a déposé sa demande pour un brevet d’invention à l’INPI de Paris, en période de guerre froide, de guerre technologique, économique (1945-1991).


Lorsqu’il a débuté, en 1971, il y avait dans la métallurgie, l’aéronautique, la construction navale, la mécanique peu de commandes numériques 2D et peu de compétences. L’asservissement de mouvement était hydraulique. Un groupe convertisseur de fréquence permettait de sélectionner la vitesse de rotation de broche. Les asservissements sont devenus électroniques de dimension 3D intégrant un  calculateur CNC.


Il avait, en 1985, la connaissance des éléments, de la structure, de l’énergie (centrale), de la motorisation, des avions, navires (armement), trains (rail), automobiles, machines, manutention, robots et ordinateurs pour être intervenu en études développement, dépannage, fabrication, production ou montage sur ces équipements en France, à l’export.


M. Legros est intervenu auprès des plus grands comptes et leaders de l’industrie civile, militaire. Le domaine de l’invention déposée concerne l’apport de la nouveauté, de l’originalité pour équiper ces industries. L’invention technique comporte la science fondamentale, appliquée Métamathématique physique de la résolution intervectorielle quantique spatiale universelle. Le concept inventif général est entièrement nouveau.


La haute technologie électronique numérique est développée pour le système d’ex-ploitation, de télécommunication, d’information, de géolocalisation, de vision, d’exploration, de navigation sur la zone, de navigation sur l’écran plat à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile, pour le pilote mixte manuel, automatique ou le véhicule autonome et la sécurité anticollision spatiale. Son action individuelle bouleversera sa vie, révolutionnera le monde.


Auteur inventeur indépendant, il a financé son projet sur fonds propres d’investissement et d’un travail strictement personnel. Il n’a reçu aucune aide de conseil ou de consultant. Dès 1985, il exercera ses droits, la promotion de sa technologie en vue du commerce de la licence au plus haut niveau auprès de la SNCF, du Ministère des Transports et de l’Etat.


Pour licencier son brevet, M. Legros a bien rencontré les bons interlocuteurs. Il sera reçu, écouté, suivi par les directions exploitants, industriels du ferroviaire. Il rencontrera plus d’une centaine de personnes, ses propos seront utilisés, repris, écrits ou recopiés.


THOMSON-CSF Branche Equipements et Systèmes, le 21 juillet 1986, écrivait à M. Legros se porter candidat pour assurer la fabrication du produit, la qualité suivant les exigences de vos clients et la pérennité de l’après-vente.


On lui fit remarquer que l’exploitation du brevet allait changer radicalement sa vie. Chacun sait ce que produisent les brevets, les droits d’auteur dans le domaine de la très haute technologie de l’électronique, du transport, des télécommunications et de l’espace.


Cette candidature sera suivi de rendez-vous, de présentation, d’offre technique commerciale de licence auprès de la SNCF, de la RATP, ou pour des projets communs. Malgré la notoriété de l’industriel THOMSON-CSF, l’absence d’industriel ou de concurrent pour ce nouveau produit, aucun ordre de commande ne viendra de la SNCF, de la RATP.


En outre, suite aux demandes de l’auteur inventeur, l’ANVAR Agence Nationale pour la Valorisation de la Recherche (OSEO) n’attribuera aucune aide, ni pour l’extension du brevet à l’étranger, ni pour son exploitation, ni pour la fabrication des produits.


Nous verrons que l’ANVAR rejettera aussi l’aide au droit exclusif d’exploitation mondiale du produit marin des AIS (Automatique Identification Système) installé en embarqué à bord des navires civils, militaires, en station STM de service du trafic maritime, en centre CROSS, à bord de l’hélicoptère de sauvetage en mer et dans les ports de commerce.


6. Un produit marin mondial

L’exploitation du SYSTEME LEGROS™ MARITIME des AIS sur fleuve, rivière, estuaire, canal, lac, mer, océan ou en port de commerce s’inscrit dans l’histoire de France en matière d’exploration, de navigation, de transport maritime et de construction navale. C’est M. Legros qui assure la protection mondiale des biens et des personnes, navires civils militaires, embarcations, plates-formes offshore et la protection de l’environnement marin.  


Le SYSTEME LEGROS™ c’est l’exploitation du navire autonome, la géolocalisation spatiale en mer produite des résolutions intervectorielles différentielles infinitésimales en boucle ou continues, l’anticollision, l’antiéchouage sur la zone ou sur les cartes SHOM numérisées de l’écran plat à bord, en station. Après le réseau mondial d’antennes Oméga, le GPS militaire et civil sera mis en exploitation commerciale l’année de 1995.


L’Organisation Maritime Internationale OMI reprend le terme de navire autonome sur son site Internet, commet une infraction de ne pas apposer sur les publications, les directives et la Convention SOLAS (Safety Of Life At Sea - 1960) la source de l’auteur inventeur M. Legros, de son brevet FR 2 586 845 du dispositif des AIS au dépôt légal le 27-08-1985 15h. L’exportation ou l’importation par OMI d’un bien culturel non autorisé est prohibée.


Une plainte avec constitution de partie civile en contrefaçon de l’œuvre de l’esprit des AIS a été déposée le 19 mai 2004 contre l’OMI 4 Albert Embankment Londres SE1 7SR Royaume Uni près le Doyen des Juges d’instruction du Pôle financier Tribunal de Grande Instance de Paris. La loi s’applique aux organisations des Nations Unies. L’OMI de Londres au Royaume Uni est l’auteur de plusieurs infractions pénales de crimes et délits.


L’OMI, les 177 pays membres ou associés n’opposent aucun document pour revendiquer la paternité des AIS de nature à détruire la nouveauté de l’invention, de l’œuvre de l’esprit scientifique, littéraire, artistique, culturelle. L’œuvre d’art, soit le système d’exploitation électronique, le fonctionnement, les plans, les dessins, le code logiciel numérique, les réseaux de télécommunication, l’architecture du système, de la systémique des AIS, le design en environnement terrestre, maritime aérien, spatial est reproduite.


De la publicité nationale internationale du brevet français FR 2 586 845 et de l’œuvre d’art des AIS, l’exploitation, la représentation, la reproduction, la diffusion, télédiffusion, l’édition et le commerce mondial de la directive Rés.A.917(22) imposée le 1er juillet 2002 par l’OMI est une contrefaçon. L’infraction de crimes et délits est prouvée, constituée.


Le droit d’auteur intégral ou partiel du produit marin des AIS, l’information, les messages SMS, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film à bord ou en station, sur l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites doit être exploité sous licence.


L’Organisation Maritime Internationale doit se conformer à la loi sur le droit d’auteur, à la Convention universelle sur le droit d’auteur et payer la facture des redevances de M. Bernard Legros en rémunération de l’exploitation de ses droits d’auteur.


AIS Automatique Identification Système © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays


7. Les crimes   et   délits de contrefaçon du brevet FR  2  586  845  et  des droits  d’auteur

Dans l’industrie aéronautique, navale, armement, électronique de calculateur et de télé-communication, Bernard Legros a eu des promotions, des augmentations constantes de 100% par poste sur bulletins de salaires de 1971 à 1980. Son salaire sera doublé après des études supérieures de commerce en 1982. Diplômé, ayant de l’expérience, un brevet et des droits d’auteur exclusifs à licencier en 1985, sans emploi ses ressources régresseront vers l’Allocation de solidarité spécifique et la demande d’aide sociale.


La situation de chômeur n’était véritablement pas ce qui puisse convenir dans une industrie électronique de haute technologie en recherche de compétence, de talent, eu égard au chef d’œuvre (a masterpiece)  produit, l’objet de la publicité nationale et internationale.


En recherche d’emploi, dans l’Ile de la Réunion, il transmettra de nouveau les 21 mars et 24 avril 1989 des offres de licence aux présidents de la SNCF, RATP, ALSTOM, MATRA et SEMALY. Il les informera de ne pas commettre par inadvertance une contrefaçon de son brevet, de ses droits d’auteur pour les systèmes TGV (1980), ASTREE (1986), ARAMIS (1969-1987), VAL (1984), SACEM (1988) et MAGGALY (1992).


Les lignes A, B et C du métro de Lyon sont essentiellement à commande manuelle avec conducteur. Le système de métro automatique MAGGALY Ligne-D fabriqué par MATRA, SEMALY, ALSTOM, avec la collaboration de INRETS, RATP, mis en exploitation commerciale le 31 août 1992 pour TCL Transports en Commun de Lyon exploite en intégralité ou en partie la technologie du brevet FR 2 586 845 au 27 août 1985, 15 heures.


Rassurée de cette expérience réussie, suite à l’échec du métro ARAMIS abandonné, détruit sur plus de 20 ans, avec les études d’un prototype, la RATP commandera pour le montant de 3 milliards d’euros actuels le métro automatique mixte METEOR de la nouvelle Ligne-14 revendiqué par M. Legros au brevet français FR 2 586 845. Le marché public sera attribué à MATRA, ALSTOM et aux sous-traitants. La mise en exploitation commerciale de METEOR sera inaugurée le 15 octobre 1998 par le Chef de l’Etat.


Après des tentatives amiables, l’avocat de M. Legros assignera en référé la RATP, l’exploitant de METEOR, le 06 juin 2000, accusée de contrefaçon du brevet FR 2 586 845, de contrefaçon de l’œuvre de l’esprit, en violation des droits d’auteur, et de publications illégales dans la presse. La RATP assignée, assignera le 19 juin 2000 la Société MATRA le fabricant du métro en contrefaçon, d’une procédure en intervention forcée.


L’Ordonnance de référé a été rendue le 27 juin 2000. Par ces motifs : «Ordonnons la jonction des procédures en référé engager d’une part par Monsieur Bernard Legros contre la R.A.T.P. et par la R.A.T.P. contre la Société MATRA ; […] ».


La société MATRA TRANSPORT INTERNATIONAL intervenant forcé démissionnaire au procès cédera son activité ferroviaire en 2002 à SIEMENS TRANSPORTATION SYSTEMS le cessionnaire, intervenant volontaire ayant des intérêts à défendre au procès.


La RATP et SIEMENS demanderont au tribunal d’annuler le brevet de M. Legros en déclarant ne pas être capables d’exécuter l’invention avec le brevet. Le titre de propriété délivré à son titulaire pour un droit exclusif d’exploitation par l’autorité compétente de l’Etat sera annulé par les Juges civils sans aucune expertise judiciaire du brevet et de METEOR.


Le brevet français FR 2 586 845 comprenant l’œuvre de l’esprit sera dénaturé, saboté, de l’apport de malfaçons, tronqué, vidé de sa substance fondamentale, essentielle par les Juges civils. Le titre de propriété sera détruit, le brevet déclaré nul sur les décisions judiciaires, publiées, datées, signées de leurs auteurs, en violation de la loi du Code de la propriété intellectuelle, du Code civil et du Code de procédure civile.


M. Bernard Legros a été la victime de dénonciation calomnieuse dans l’industrie en sa qualité d’auteur inventeur dans le domaine scientifique pluridisciplinaire multisectoriel de la très haute technologie de l’électronique, du système et des télécommunications spatiales.


L’arrêt le 05 avril 2006 prononce que le brevet de M. Legros FR 2 586 845 sera déclaré nul d’une insuffisance de description - article L625-13-b du Code de la propriété intellectuelle.


Si le brevet français n’était pas reproduit par RATP, SIEMENS TRANSPORTATION SYSTEMS anciennement MATRA TRANSPORT INTERNATIONAL ; ces sociétés n’avaient pas lieu de demander la nullité totale exceptionnelle du brevet ou pour se procurer en bande organisée, d’une décision de justice favorable, un avantage matériel financier dont le montant publié de METEOR est en des milliards d’euros, en France et à l’exportation.


Rappelons que le produit du brevet, de l’invention ou de l’œuvre de l’esprit est étudié pour équiper les lignes de métro METEOR Ligne-14, Vincennes - La-Défense Ligne-1 de un à trois milliards d’euros l’unité. La propriété intellectuelle couvre également les applications ferroviaires de la SNCF, les trains RER, TER, TGV, le train pendulaire 3D, le métro du Grand Paris, le système d’information voyageurs, avec des montants aussi significatifs.


Le SYSTEME LEGROS™ de métro a une valeur de 1 à 3 milliards d’euros, en France et à l’export. Toute exploitation ou représentation ou reproduction ou diffusion, télédiffusion à l’exportation ou à l’importation est interdite, ainsi que le nom inapproprié, faux, posdaté.


Métro numérique automatique manuel mixte 3D rame bidirectionnelle sécurité anticollision portes palières énergie voie station central système d’exploitation sur écran plat à télémultipointeurs-wi-fi pad ou tactile de télécommunication bus Electrobus d’information voyageurs de séquences audiovisuelles cinéma-tographiques ou le film téléphonie mobile Internet e.commerce liaison vers les satellites © Bernard Legros 1985 - Tous droits de propriété réservés pour tous pays


8. Les applications du SYSTEME LEGROS™ et les droits d’auteur

L’exploitation maritime du SYSTEME LEGROS™ des AIS portée en justice près des Juges répressifs produit un chiffre d’affaires mondial chiffré en des centaines de milliards d’euros. Il s’agit de la sécurité anticollision des navires, la gestion du trafic dans les ports de commerce, sur les fleuves, les mers, les océans, ainsi que du navire autonome produit sous licence du brevet FR 2 586 845 et des droits d’auteur.


Les véhicules automobiles exploitent en intégralité ou en partie la technologie du SYSTEME LEGROS™ produit en des millions d’exemplaires engageant des sommes d’argent équivalentes. Le SYSTEME LEGROS™ de la voiture autonome est breveté, protégé par le droit d’auteur. Sa fabrication dans l’industrie doit être sous licence.


Le phénomène est identique dans l’aéronautique, l’espace. Les aéronefs, les hélicoptères, les drones autonomes ou les avions gros porteurs, les lanceurs et leur récupération, les satellites en accostage, amarrage ou ancrage exploitent la technologie du SYSTEME LEGROS™ qui était bien inexistante en 1985. Le SYSTEME LEGROS™ c’est aussi la constellation de xn-satellites d’observation, de géolocalisation et de télécommunication.


La téléphonie mobile exploite le SYSTEME LEGROS™, la résolution d’écran, le système d’exploitation électronique, les réseaux, les applications sms, de navigation, de rendez-vous, etc. Le chiffre d’affaires des opérateurs de la téléphonie mobile est pour des milliards d’usagers du téléphone dans le monde. Le marché de la téléphonie mobile en France, au consommateur final, devrait atteindre ces prochaines années les 100 milliards d’euros.


Le SYSTEME LEGROS™ directement reconnaissable pour toutes ses applications comporte son système électronique d’exploitation à télémultipointeurs-wi-fi, pad ou tactile de navigation ou d’exploration sur la zone ou sur l’écran embarqué de la planche de bord du mobile, ou sur l’écran localisé en station, ou du téléphone porté par l’individu. Sans la résolution intervectorielle de détection, d’application, d’activation, de mouvement du SYSTEME LEGROS™ électronique et de télécommunication, il n’y a rien ou le néant.


Le SYSTEME LEGROS™ de sa science Métamathématique physique, de sa technique est incontournable. Depuis la création de sa résolution intervectorielle, il est reproduit, exploité en intégralité ou en partie en des milliers de milliards d’exemplaires - Figure 1 Planche I/III de la vision ou l’audiovisuel de l’écran, Figure 5 Planche III/III du Schéma de principe, Famille des brevets nationaux FR 2 586 845 le 27-08-1985, à 15 heures.


9. La nouvelle économie numérique (1995-2022)

L’économie numérique du SYSTEME LEGROS™ électronique, de télécommunication spatiale tend à représenter les 30% du PIB Produit Intérieur Brut dans la majeure partie des pays. Les produits nouveaux qui n’existaient absolument pas en 1984-1985 sur les marchés ou alors différemment utilisent pour leur production au consommateur final, suivant le cas, les 30%, les 85 % voire la totalité de cette nouvelle matière première numérique du SYSTEME LEGROS™, notamment dans les services.


En France, pour un PIB de 1225 milliards d’euros en 1995, de 2225 milliards d’euros en 2020, le PIB global sur 26 années est en ordre de grandeur de 48000 milliards d’euros. L’économie numérique du SYSTEME LEGROS™ en phase de pénétration, de croissance est évaluée pendant cette période à 9600 milliards d’euros. Les redevances au taux de 3% calculées sur les différents produits finis exploités sont de plus de 150 milliards d’euros.


Si le SYSTEME LEGROS™, l’invention et l’œuvre de l’esprit protégé par les droits de la propriété intellectuelle industrielle n’était pas franco-français, ces sommes d’argent de redevances seraient à payer par la France pour la fourniture d’importation venant d’un pays étranger. En commerce international, de tels produits sont exploités sous licence. Les chiffres ci-dessous sont une indication de la réalité de l’économie numérique mondiale.


Pour un PIB mondial de 80 mille milliards de dollars calculé sur une année, le chiffre d’affaires du SYSTEME LEGROS™ pondéré par type de produits vendus est de 16440 milliards de dollars. Les redevances à payer en rémunération des droits d’auteur et des droits d’inventeur sont proportionnelles aux recettes annuelles provenant de la vente ou de l’exploitation de chaque production, produit ou exemplaire à compter du droit effectif. D’un taux fixé à 3%, les redevances à payer en 2020 sont de 493,2 milliards de dollars.


Le SYSTEME LEGROS™, le brevet et les droits d’auteur est daté le 27 août 1985. L’économie numérique était en phase de pénétration sectorielle en 1995. Depuis les années 2000, elle se généralisera, sera véritablement en phase de croissance. Pondéré par produit au lissage de la courbe de progression, le SYSTEME LEGROS™ a généré de 1995 à 2020, 26 ans, un chiffre d’affaires de 340 mille milliards de dollars. Pour le taux à 3%, les redevances à payer de 1995 à 2021 sont calculées pour 6000 milliards de dollars.


Cette nouvelle économie numérique, qui n’existait pas du tout en 1985, représente en moyenne les 30% de l’économie des pays du monde. Les redevances des droits d’auteur fixées à 3% représentent les 0,6% du PIB mondial. Pour un PIB de 100 mille milliards de dollars en 2020, les redevances du SYSTEME LEGROS™ sont calculées pour 600 milliards de dollars.


10. La loi civile et la loi pénale de la chose jugée  

L'autorité de la chose jugée n'a lieu qu'à l'égard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandée soit la même ; que la demande soit fondée sur la même cause ; que la demande soit entre les mêmes parties, et formée par elles et contre elles en la même qualité - article 1355 du Code civil.


L’identité des actions suppose que les deux demandes portées devant le juge civil et le juge pénal opposent les mêmes parties, aient le même objet et la même cause - Crim. 26 Avr. 1983 : Bull crim. N°114 et article 5 du Code de procédure pénale.


C’est le brevet français FR 2 586 845 comprenant l’œuvre de l’esprit sur 12 pages d’écritures, de planches de plans, de dessins, dix (10) revendications, et indépendamment l’œuvre de l’esprit de droit d’auteur qui est l’objet principal en justice au jour du dépôt de priorité ou du dépôt légal le 27-08-1985, à 15 heures.


L’invention du SYSTEME LEGROS™ d’exploitation électronique quantique et de télécommunication spatiale est bien nouvelle, complexe. Le système fonctionne tel que décrit, exposé par l’auteur inventeur. Son exécution par l’homme du métier est immédiate. Des atteintes sont portées à M. Legros Bernard René Paul l’unique propriétaire des biens.


M. Legros a revendiqué au procès civil de la publicité de son brevet français FR 2 586 845 la paternité intégrale ou partielle du métro automatique numérique 3D METEOR mixte à rame manuelle automatique bidirectionnelle ou réversible MP89 de 722 voyageurs. MATRA et ALSTOM sont les fabricants, la RATP est le donneur d’ordre et l’exploitant.


Le groupe allemand SIEMENS n’a pas fabriqué ce métro METEOR l’objet d’un contentieux. Au procès civil, la RATP et SIEMENS STS Intervenant volontaire cessionnaire ne présenteront en justice aucun titre de propriété de brevet ou d’œuvre de l’esprit pour fabriquer et exploiter le métro METEOR.


La notoriété de SIEMENS apportée en cours de procès par la RATP pour couvrir ses carences notoires en matière de brevet d’invention et de droit d’auteur est une tromperie, un abus de qualité, en bande organisée ou une escroquerie au Jugement - article 313-3 du Code pénal.


11. L’acte attentatoire à la liberté individuelle de créer

Les Juges civils prononcent le Jugement le 05 novembre 2004 et déclarent « en l’absence d’un prototype dont le mode d’exécution serait décrit dans le brevet, la description ne permet pas de déterminer si l’invention est faisable». Condamne M. Legros à payer une indemnité à la RATP de 5000 euros.


Le prototype n’est pas l’objet de la loi : l’invention doit être exposée dans la demande de brevet de façon suffisamment claire et complète pour que l’homme du métier puisse l’exécuter - article L215-5 du Code de la propriété intellectuelle. (ou un collège d’hommes du métier)


En d’autres termes, M. Legros a été condamné à payer une amende pour avoir déposé la demande d’un brevet d’invention dont le titre de propriété intellectuelle a été délivré à son titulaire pour un droit exclusif d’exploitation par l’autorité compétente de l’Etat, l’INPI Institut National de la Propriété Industrielle de Paris France.


Le fait par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende - article 432-4 du Code pénal.


Rappelons qu’après la publicité du brevet de M. Legros le 23 octobre 1987, l’échec du prototype ARAMIS - véhicules de 10 passagers en doublet sur piste circulaire, unidirectionnel, un seul sens de marche, un bras mécanique d’aiguillage embarqué, sur le site quai d’Issy-les-Moulineaux de MATRA, RATP - avec les études sur plus de 20 années le prototype ARAMIS sera abandonné, détruit fin novembre 1987.


C’est un investissement de 400 millions d’euros actuels qui a été consacré de fonds public et de fonds privé au prototype de métro ARAMIS par l’intervention de MATRA, la Région Ile-de-France, la Ville de Paris, le ministère des Transports, l’INRETS et la RATP.  


Le prototype de métro ARAMIS détruit, caché, sans le système d’information aux voyageurs embarqué sur le véhicule ou localisé en station est une altération frauduleuse de la vérité. Il ne sera absolument pas exploité pour fabriquer le métro METEOR ; ce qui constitue un faux matériel intellectuel - article 441-4 du Code pénal.   


Les rames du métro METEOR réversibles bidirectionnelles transportent plus de 720 passagers. Le SYSTEME LEGROS™ embarqué sur la rame, localisé en station informe en permanence en temps réel les voyageurs. Les difficultés techniques majeures ont été contournées par MATRA et la RATP. Le prototype ARAMIS qui était simple a été abandonné, le métro METEOR qui est complexe a été exécuté. Ces deux projets de métro sont de niveau, d’ambition, de conception bien différents.


La RATP et MATRA n’ont pas tenu compte des offres de licence du propriétaire des droits. De l’exploitation en force du métro METEOR, M. Legros sera obligé d’assigner la RATP en contrefaçon du brevet FR 2 586 845 et en contrefaçon de l’œuvre de l’esprit. La RATP exploitant maître d’ouvrage ayant fait étudier le brevet français FR 2 586 845 assignera à son tour le maître d’œuvre MATRA TRANSPORT INTERNATIONAL.


Au moment du procès, le Groupe MATRA en difficulté sans aucun titre de propriété cédera son activité ferroviaire des métros ARAMIS, VAL, SACEM et METEOR au cessionnaire SIEMENS TRANPORTATION SYSTEMS STS.


La transaction portée à la connaissance des Juges civils au procès en contrefaçon du brevet, en contrefaçon du droit d’auteur ne relevait pas du secret des affaires, mais intéressait les Juges civils qui n’ont pas invoqué le prix qui était une indication économique du délit de contrefaçon. La propriété intellectuelle du métro METEOR et des autres métros automatiques de ce type dépendait de l’issue du procès.


L’incompétence peut être prononcée d’office en cas de violation d’une règle de compétence, d’attribution lorsque cette règle est d’ordre public ou lorsque le défendeur ne comparaît pas - article 92 du Code de procédure civile.


MATRA défaillant, les infractions pénales avec préméditation, circonstances aggravantes, de contrefaçon du brevet, de contrefaçon de l’œuvre de l’esprit en violation du droit d’auteur, d’entraves à la justice, de faux matériel intellectuel, d’abus de la qualité ou d’escroquerie et de vol en bande organisée relevaient d’une décision de renvoi aux Juges répressifs.


Les Juges civils comme auteur ou complice n’ont pas prononcé de leur incompétence à en connaître d’une décision de renvoi de l’affaire aux Juges répressifs ou pour faciliter d’un jugement favorable la consommation d’un vol en bande organisée de l’invention, du brevet et des droits d’auteur.


Le prix de l’ingénierie du métro automatique METEOR « clé en main » avec les extensions, l’interconnexion des lignes, le système d’information voyageurs, la liaison au réseau public de la téléphonie mobile, au commerce électronique, à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites revendiqué au brevet français de M. Legros FR 2 58 845 est de 1,5 milliard d’euros, avec le génie civil le coût est de 3 milliards d’euros.


Le marché des lignes de métro automatique numérique mixte avec le service de télécommunication, d’information, de téléphonie mobile et de commerce électronique aux voyageurs se chiffre en des milliards d’euros. Cette technologie du SYSTEME LEGROS™ est mondiale, selon la configuration le prix de la ligne de métro ou d’une navette d’aéroport est de un milliard d’euros l’unité.


Rappelons que le prototype qui a été demandé à M. Bernard Legros par les Juges civils ou l’application industrielle de son brevet est le métro METEOR exécuté directement grandeur nature par MATRA, ALSTOM, par les sous-traitants sur le lieu de son exploitation ligne-14 du métro parisien.


Sur Ordonnance signée du Président du Tribunal de Grande Instance de Paris la saisie-contrefaçon le 09 mars 2001 du métro METEOR n’a pas eu lieu, elle a été entravée volontairement par la RATP ; ce qui constitue une infraction d’entraves à la justice - article 434-4 du Code pénal.


La RATP a déclaré simplement à l’huissier instrumentaire « que le système SAET mis en œuvre dans le métro METEOR a été conçu et réalisé par MATRA et reste sa propriété, et que le brevet opposé par Bernard LEGROS était trop général pour conduire à une réalisation effective de quelque nature que ce soit », tout en demandant de l’annuler, en déclarant ne pas être capable d’exécuter l’invention avec le brevet FR 2 586 845 délivré par l’autorité compétente de l’Etat.   


Cette phrase judiciaire au procès prouve le niveau d’incompétence de RATP, MATRA de 1969 à 2006 (37 ans) à apprécier le brevet français FR 2 586 845 et les droits d’auteur nécessaire pour l’exécution et l’exploitation du métro automatique.


Au procès civil, RATP assignée en contrefaçon du brevet, en contrfaçon du droit d’auteur, MATRA assignée par RATP en intervention forcée attestent faire la renonciation du métro automatique numérique bidirectionnel deux sens de marche METEOR, rames mixtes de 722 passagers en mode manuel ou automatique, attestent céder l’activité ferroviaire des métros VAL, SACEM, ARAMIS et METEOR à STS SIEMENS TRANSPORTATION SYSTEMS le cessionnaire intervenant volontaire, le Jugement du 20 mai 2003.


12. Le Système d’information voyageurs revendiqué en justice

Ces métros VAL, SACEM, ARAMIS et METEOR n’ont pas le Système d’information voyageurs du brevet de M. Legros FR 2 586 845 revendiqué au titre des droits d’auteur. La production, la télédiffusionn sur les lignes du temps TAlpha de départ, d’arrivée ou d’attente des voyageurs, en embarqué à bord des bus, tramways, rames, trains ou en local aux arrêts de bus, dans les stations, les gares et dans le central.  


Le Système d’information voyageurs comprend les huit (8) circuits électroniques du brevet français FR 2 586 845, le modem-L, les réseaux de télécommunication, la wi-fi, les antennes, l’architecture des systèmes, de la systémique des systèmes interconnectés et le design. Il est exploité sur les lignes RATP, SNCF, en commun sur le RER.


Le Système d’information en intégralité ou en partie comprend l’information, les SMS short messages service, le QR-Code-L 1-4D, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, la liaison au réseau public de la téléphonie mobile, au commerce électronique, à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites.


Le Système d’information voyageurs, l’information localisée ou embarquée, les messages SMS, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, la liaison au réseau public de la téléphonie mobile, au commerce électronique, à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites est nouveau au regard de l’art antérieur pratiqué, exploité par la RATP en 1947, ou à Paris depuis 1901.


L’installation, la mise en exploitation, la diffusion et la télédiffusion publique illicite dans la Ville de Paris a été produite progressivement sans l’autorisation de l’auteur propriétaire, environ aux années de 2010 à 2022, suite au procès et à l’annulation du brevet français de M. Legros, de l’arrêt le 05 avril 2006 de la Cour d’appel de Paris.


Le Système d’information n’est pas l’objet aux écritures des décisions de l’arrêt civil le 05 avril 2006, de l’arrêt pénal le 03 mars 2011 de la Cour d’appel de Paris.


L'autorité de la chose jugée n'a lieu qu'à l'égard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandée soit la même ; que la demande soit fondée sur la même cause ; que la demande soit entre les mêmes parties, et formée par elles et contre elles en la même qualité - article 1355 du Code civil.


Preuve à l’appui, le public parisien, les étrangers de passage à Paris sont les témoins de cette information* originale nouvelle dans le transport public, au regard de l’art antérieur de l’affiche ou de la pancarte. Le Système d’information, les photographies couleurs, l’information, les messages SMS ou les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film sur les lignes du réseau de transport public parisien et en Ile-de-France est illicite.


(*) Il est incontestable que le transport public parisien utilisait sur les lignes en 1900, puis la RATP en 1947, 2010, les supports d’information suivants : L’affiche d’horaire, l’imprimé, le message manuscrit, la pancarte de bus, le rouleau à manivelle de pare-brise, le tableau d’horaire fixe, le voyant électrique, le plan synoptique de la ligne, le combiné téléphonique, le réseau GSM Global Service Mobile (1980-1985), la saisie manuelle d’horaire, le véhicule navette de service pour la diffusion de l’information voyageurs.


C’est de droit que M. Legros a demandé au Président de la RATP de régler sa facture de redevances des droits d’auteur exploité dans la Ville de Paris et en Région Ile-de-France.


L’autorité judiciaire veille à l’nformation et à la garantie des droits des victimes au cours de toute procédure pénale - article préliminaire, extrait du Code de procédure pénale.


L’exploitation du Système d’information dans la Ville de Paris et en Région Ile-de-France constitue un flagrant délit - article 53 et suivants - Des crimes et délits flagrants du Code de procédure pénale.


Les mesures techniques efficaces sont étudiées aux huit (8) circuits électroniques en agissant sur l’une d’elles pour faire cesser ou interrompte toute exploitation illicite intégrale ou partielle du Système d’information des voyageurs sur le réseau de la RATP, et commun à la SNCF - article 331-5 du Code de la propriété intellectuelle.


13. Le Système du métro automatique METEOR revendiqué en justice

Il doit être définitivement statué sur l’accusation dont cette personne fait l’objet dans un délai raisonnable.

Toute personne condamnée à le droit de faire examiner sa condamnation par une autre juridiction - Article préliminaire du Code de procédure pénale.


L’ingénierie ferroviaire “clé en main” du métro METEOR Ligne-14 est revendiquée par M. Bernard Legros auteur, inventeur, propriétaire de l’invention, du brevet et des droits d’auteur le 27 août 1985, à 15 heures. Le coût global actuel d’une seule ligne de métro installée en France ou à l’export est de 3 milliards d’euros.


Le métro METEOR aura transporté deux milliards de passagers sur plus de 20 ans, depuis sa mise en exploitation commerciale en 1998. Le groupe MATRA ayant disparu de l’activité de métro, la RATP passera le marché à SIEMENS pour l’automatisation de la Ligne-1 Vincennes - La Défense. Le système d’information qui n’est l’objet d’aucune décision de justice sera installé sans l’autorisation de M. Legros inventeur auteur propriétaire. La Ligne-1 a basculé en mode mixte manuel automatique sans le prototype, sans l’interruption de l’exploitation commerciale du trafic voyageurs.


Le métro parisien de 1901, le VAL, le SACEM, le prototype ARAMIS MATRA RATP détruit (1969-1987), voitures de 2 fois 10 places sont sans commune mesure avec la technologie présentée, portée par le SYSTEME LEGROS™ sur les rames de la Ligne-1, de la Ligne-14, de 722 passagers, et bientôt la Ligne du Grand Paris, sans le prototype.


Le réseau de transport du Grand Paris comprenant 200 kilomètres de voie, 68 gares ou stations en cours de construction exploitera le SYSTEME LEGROS™ des lignes automatiques interconnectées au réseau ferroviaire de la RATP, de la SNCF, aux réseaux de télécommunication de la téléphonie mobile, du e.commerce électronique, de l’Internet, de la liaison montante descendante vers les satellites.


Les redevances sur le brevet de M. Legros FR 2 586 845 sont portées à 15% de la masse globale du métro METEOR exploitée ; Les redevances des droits d’auteur sur l’oeuvre d’art intégrale ou partielle sont de 3%, y compris pour le Système d’information voyageurs interconnecté.


A ceci s’ajoutent les dommages et intérêts du préjudice moral, familial, physique, psychique, financier, et de la perte de l’activité commerciale exclusive normale des métros, tramways, trains, navettes, véhicules autonomes, télécommunications et du Système d’information voyageurs.


14. La publicité nationale internationale du brevet et des droits d’auteur

Le site consultant-legros.net présente notamment la science Méthamatématique physique quantique spatiale universelle de la résolution intervectorielle, le code logiciel numérique, le système électronique d’exploitation, de télécommunication, de géolocalisation spatiale, de navigation(1) sur l’écran plat à télé-multipointeurs-wi-fi, pad ou tactile, de navigation(2) sur la zone, de sécurité anticollision, de pilote mixte manuel, semi-automatique, automatique ou le métro autonome, d’information de voyage, de séquences animées d’images audio-visuelles cinématographiques ou le film, de télémaintenance, de QR Code-L 1-4D, de téléphonie mobile, de wi-fi à bord des rames, en station, dans le central, de liaison au réseau public, de l’Internet, de e.commerce électronique, de liaison montante descendante vers les satellites.  




SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR ELECTRONIQUE NUMERIQUE

Formule intervectorielle quantique spatiale universelle © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays  

Autobiographie de l’auteur inventeur

paragraphe bas de page

Le SYSTEME LEGROS™ de ses propres réseaux locaux de bus, Electrobus, wi-fi et de réseaux distants de télé-communication tdma, cdma, fdma, mixte mdma transmet les informations, les messages d’exploitation, de service.


La technologie du SYSTEME LEGROS™ d’exploitation de messages SMS électronique présentée dans l’industrie en 1985 envoie des milliards de SMS dans le monde entier au prix moyen de 0,05 € l’unité (Télécommunication plus de 10  000 milliards d’euros de chiffres d’affaires, environ 10% du PIB mondial).


Les SMS, photos, séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou film de navigation terrestre ferroviaire routière maritime aérienne spatiale sont diffusés à bord au conducteur, aux voyageurs ou en local.



SYSTEME LEGROS™1985 POSTE DE COMMANDE DE MOTRICE BB/CC/TGV INSTRUMENTATION DE BORD

Réseaux de télécommunication tdma-rail, wi-fi,signalisation embarquée, géolocalisation, navigation, identification, anticollision, messages sms télémaintenance, diffusion, télédiffusion sur écran plat de vision

© Système Intervecteur Rail signalisation embarquée

    vision régulation anticollision Bernard Legros1985

M. Legros est le seul auteur inventeur du dispositif AIS Automatique Identification Système, des réseaux tdma, …., mdma et du système d’exploitation maritime spatiale. Il a présenté en Europe à Bruxelles sa solution pour les navires, les stations, les ports et les aéronefs de sauvetage en mer. Il a imposé son système pour la surveillance, l’information maritime, l’anticollision et la navigation maritime mondiale. Le système intègre le GMDSS Global Maritime Data Safety System, le VDR Voyage Data Recorder, l’expertise ou la télé expertise. Le dispositif renforce les conventions SOLAS et MARPOL en intégrant la directive AIS rés. A.917(22). Les AIS sont enregistrés en France aux registres des Affaires maritimes, de l’ANFR. Les affaires maritimes des Etats, l’OMI de Londres et l’UIT de Genève tiennent le compte de l’effectif des AIS exploités dans le monde. Les AIS ont un label, ils sont certifiés par des organismes agréés, tels le Bureau Veritas, le Det Norske Veritas, la Lloyd’s Register, le Germanischer Lloyd. L’AIS est exploité pour la navigation (mer, estuaire, port, fleuve, canal et rivière). En 1985, c’est la navigation à vue ou à l’estime avec l’instrumentation, le relevé de la route sur carte marine qui étaient utilisée.

Le brevet et le code logiciel numérique du SYSTEME LEGROS™ est appliqué pour l’air et l’espace. Le Système contrôle l’intégrité, l’attitude, la position volumétrique autorisée, interdite de l’aéronef, la commande de pilotage, le contrôle de la trajectoire. L’électronique, le bus, les instructions intervectorielles , le circuit d’asservissement de puissance, contrôle la motorisation de type FADEC Full Authority Digital Electronic Control, les actionneurs d’inverseur de poussée, d’aile, de dérive, de train d’atterrissage, de roue et de liaison au sol. Les réseaux L, tdma, cdma, fdma et mdma sont exploités pour la navigation, le management du trafic aérien, l’anticollision des avions en vol, en zone aéroportuaire, l’expertise, la téléexpertise. Le système intègre les données intervectorielles satellitaires, et de radar des xn-avions, et le gamma, oméga L(g,wL)n. En 1985, les pilotes et le contrôle aérien utilisaient les informations de l’instrumentation de bord, le VOR, l’ILS, le radar, les cartes aériennes de relevé, et les liaisons de fréquence radio. Le SYSTEME LEGROS™ tel que de la publicité nationale internationale a été proposé à EADS et à Eurocontrol.

Les drones à signal Sigma L (sL) sont sécurisés, autonomes. Ils se composent d’un système d’alimentation et de capteur solaire nécessaire au fonctionnement des huit (8) circuits électroniques. Les instructions intervectorielles du pilote ou le code logiciel numérique est embarqué ou distant. Le bus, les réseaux de télécommunication L, tdma, cdma, fdma, mixte mdma sont utilisés pour l’anticollision spatiale, la visionique et le système d’information électronique automatique numérique. La diffusion de l’information, des séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, sur l’Internet, vers les satellites est sous le droit d’auteur ou le copyright - Schéma de Principe Figure 5 Planche III/III du brevet FR 2 586 845 au dépôt de priorité le 27 août 1985.


Science et Technologie Mondiales

World Technology and Science

©Bernard Legros 1985



SYSTEME LEGROS™ CONSTELLATION DE SATELLITES  

La résolution intervectorielle
Les satellites x1, x2, …, xn
Le système de huit circuits élecroniques
Le bus et les télécommunications
tdma cdma, fdma, mixte mdma
Le signal (sL) synchronisé, codé
Le coefficient gamma, omega (g,wL)
Les éphémérides et données numériques
L’anticollision de satellites
La vision, la reconnaissance de forme
Les erreurs Sigma (Se), la correction
du temps (TD), de la distance (dD), etc.

Brevets Legros FR 2 586 845 27-08-1985

 © Système Intervecreur constellation de satellites(1971-1985)

    brevet FR 2 586 845 le 27 août 1985 à Inpi de Paris France

Le SYSTEME LEGROS™inexistant en 1985 aux équipements marins (illustration

de 1 à 4) - brevet français FR 2 586 845 des AIS recette et certification maritime



1. Intervention de M. Legros au Cap d’Antifer à bord du  Batillus de la Schell (1977), de la classe des supertankers, le Bellamya, le Pierre Guillaumat, le Prairial, pétroliers géants de 550 000 t construits aux Chantiers de l’Atlantique de Saint-Nazaire.

2. Porte-conteneurs CGM série des impressionnistes Cézanne, Degas, Renoir chantiers de Saint-Nazaire, Gauguin, Monet, Utrillo chantiers de La Ciotat, armement BLM mis en service, certification par M. Legros et le Bureau Veritas, suivi en mer, en escale de maintenance, en exploitation, dans les ports de commerce (1977-1979).

3. BLM fournisseur d’apparaux d’armement offshore, intervention de M. Legros, plateforme de levage, d’ancrage.

4. Le SYSTEME LEGROS™ d’exploitation offshore d’un champ d’éoliennes, les télécommunications, le contrôle, la surveillance, la signalisation, la géolocalisation maritime spatiale, la navigation, l’anticollision sur la zone maritime, sur l’écran plat d’activation, de suivi des opérations de production d’énergie.



Intervention de M. Legros, construction navale et offshore, coque du navire

armement, électricité de bord, production d’énergie, propulsion diesel, turbine

chaufferie, ligne d’arbre, fabrication mécanique, essai en mer, certification

SYSTEME LEGROS™  AIS  électronique d’exploitation,  télécommunication

instrumentation, géolocalisation maritime spatiale 3D, sécurité anticollision

navigation, pilote manuel, semi automatique ou automatique, propulsion pod

Navire autonome AIS brevet FR 2 586 845 - Copyright © Bernard Legros1985



LA PRODUCTION ET LA CERTIFICATION FRANCE ET EXPORT (1971-1981)


M. Legros a exercé, dès 17 ans, son métier suite à ses examens et à ses tests professionnels réussis. Ayant une maturité d’esprit, une personnalité et des capacités reconnues, c’est à son domicile que l’on vint le recruter pour Sud-Aviation de Saint-Nazaire qui allait devenir Aérospatiale et EADS.


Sa formation, sa pratique le rendaient directement opérationnel pour des fonctions techniques, en électrotechnique, en mécanique, en automatique, en électronique et numérique. Les technologies de l’électronique faisaient des premiers pas dans l’industrie. L’émergence de cette nouvelle technologie fit naître des applications à solutionner et à exploiter. Il voyagea ensuite en France, à l’étranger pour résoudre des difficultés techniques, commerciales, pour former des ingénieurs et des techniciens.


Il a constaté que l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur, son invention, sa science, sa mathématique physique et sa technologie n’existaient pas sur les installations, sur les machines, sur les systèmes, dans l’industrie aéronautique, navale, de l’automobile, du ferroviaire, sur les équipements informatiques et de télécommunications. Il fit un constat identique des sciences, des technologies mondiales qu’il connaissait et pratiquait. Le terme de navigation n’était pas utilisé par les opérateurs pour exploiter les systèmes.


Rappelons que pour détecter des mobiles, des dangers ou obstacles, le ferroviaire utilisait des réseaux électriques, des dispositifs électromécaniques et la signalisation. Le maritime et l’aérien utilisaient la VHF, l’instrumentation de bord et le radar. C’est le champ visuel et la signalisation latérale, horizontale qui étaient utilisés pour le pilotage de l’automobile construite principalement à partir de composants mécaniques et électriques.


Pour éviter les collisions, ou dispositifs d’anticollision, les systèmes industriels exploitaient des circuits électriques, des fins de course électromécaniques, des capteurs électromagnétiques de proximité, des radars de portée métrique de ponts roulants, des automates, des systèmes de robotique et CNC Computer Numerical Control programmés. Il n’est pas connu d’autres systèmes, d’autres réseaux, d’autres résolutions ou données exploités, soit l’absence de solution ou le néant.


Le système qu’il a développé est unique, compact, dispose d’un modem L intégré, d’un bus, de réseaux de télécommunication, d’un circuit d’asservissement ou d’une logique de fonctionnement, de connecteurs intégrés pour l’alimentation, les périphériques de télé multipointeurs d’écran ou pad, de la mémoire, de la vision ou de la caméra audiovisuelle de l’écran, pour l’émission et la réception aux circuits électroniques de 1 à 8 de la figure 5 de la planche III/III de la publicité des brevets nationaux FR 2 586 845.

  

Ce schéma de principe présenté ci-contre des circuits électroniques intégrés est compact ou réduit sur les ordinateurs, les calculateurs en local ou en embarqué sur les satellites. Il est éclaté pour des applications distantes, conséquentes, pour le bus, l’asservissement, le fonctionnement à pilote manuel, semi ou automatique des voitures, des métros, des trains, des navires, des avions et des lanceurs de satellites.


Dans toute sa composition scientifique, technique, le système de Legros de l’Intervecteur revendiqué embarqué ou localisé est bien un système original, nouveau, sans une existence ou sans une exploitation antérieure. Le système de Legros de l’Intervecteur est protégé par la loi sur le droit d’auteur ou le copyright au jour du dépôt légal le 27-08-1985.


Convaincu de la nouveauté, de l’activité inventive, de l’application de son invention dans l’industrie où il est intervenu, il fit une demande pour un brevet d’invention auprès de l’INPI Institut National de la Propriété Industrielle de Paris. De sa recherche documentaire, de la publication de deux Rapports de recherche internationale en France, à l’étranger, ses vues affirmées étaient plus que vérifiées sur sa théorie et ses applications.  



LA CARRIERE INDUSTRIELLE HAUTE TECHNOLOGIE ETUDES RECHERCHE


Aux § suivants, le parcours professionnel de M. Legros dans l’industrie de la haute technologie de l’aéronautique, de la construction navale, mécanique et d’énergie, de l’armement de navires, des calculateurs, du matériel de défense est unique tant par son ampleur, par sa connaissance de milliers d’installations, d’équipements étudiés, visités que par sa maîtrise des sciences, des techniques et des systèmes exploités.


De sa recherche en qualité d’inventeur indépendant d’un problème de circonstance, d’actualité qu’il a su posé différemment, sa solution complète scientifique, technique est tout aussi unique. La science, la technique et l’industrie concernée n’ont pas apporté de solution à l’actualité du moment, la sécurité dans les transports, l’automatique et la détection pour éviter les collisions.


M. Legros a présenté son Système Intervecteur dans le ferroviaire comme un système d’information transcontinental, multi opérateurs résolvant aux groupes d’équations intervectorielles la navigation, l’asservissement électronique de la trajectoire spatiale 3D, le pendulaire, la détection du gabarit et la sécurité anticollision des volumes en mouvement.


Suite aux catastrophes ferroviaires particulièrement de l’année de 1985, les exploitants SNCF, RATP, les industriels ALSTOM, Jeumont-Schneider, Thomson, MATRA, CSEE, SOFRERAIL, SYSTRA, Westhinhouse, Bombardier, ASEA, Fiat Ferroviaria, Ansaldo, MIitsubishi, Hitachi, ABB, AEG, Siemens, et cetera  du ferroviaire n’ont présenté aucune solution technique innovante d’une invention ou d’un brevet pouvant être opposable à M. Legros, à son brevet français FR 2 586 845, à ses droits d’auteur.


Alors qu’il proposait d’équiper les trains d’un système nouveau, directement opérationnel, pas encore breveté, mais en avance technologique sur son temps ; les gouvernements successifs, les exploitants ont décidé le déploiement des systèmes existants éprouvés, le bloc automatique, le téléphone mobile cellulaire analogique GSM 400 en cabine et la suppression des passages à niveau à risque. Le constat est identique à l’étranger, et pour l’exploitation du rail international.


M. Legros a initié l’Europe de la publicité de son brevet et de son projet baptisé Archos. Il a fait, le 16 mai 1994, une offre commerciale de licence tout en informant la Commission Européenne CE, la Direction Générale des Transports et le GIEE de Bruxelles que les projets européens ferroviaires ERTMS Euopean Rail Traffic Management System, ETCS European Train Control System, le projet spatial de géolocalisation ou le projet Galiléo nécessiteront son système d’équations mathématiques universelles et ses brevets. De la publicité, le brevet français et le droit d’auteur produisaient leurs effets au 27 août 1985.


L’invention et l’œuvre d’art du Système Intervecteur révèlent ce parcours hors du commun dans l’industrie, la recherche scientifique et technique. Ses écritures, ses instructions, ses règles, ses plans pour résoudre le problème complexe posé dans le plan ou l’espace sont signés de sa capacité intellectuelle, de sa connaissance universelle, de son savoir-faire de l’industrie ne se trouvent nulle part ailleurs, sans antériorité ou le néant.  


Le Système Intervecteur entièrement original, nouveau par rapport à l’état des sciences et des techniques est en rupture avec la technologie habituellement exploitée ou empirique, il n’y a aucune opposition de tiers sur plus de trente années.


Ce qui se fait de mieux, ce qui est exploité, aujourd’hui en 2021, dans l’industrie, dans la société est ce que M. Legros a proposé, le 27 août 1985, dans sa demande pour un brevet d’invention. Il est bien compréhensible que son avance intellectuelle, scientifique, technologique n’a pu que laisser ses interlocuteurs dans la perplexité, l’incertitude et l’interrogation eu égard aux pratiques courantes, aux développements techniques, aux échecs notoires et aux exploitations de l’industrie.     


Le Système Intervecteur est un système intelligent décisionnel électronique. Le principe fondamental aux groupes d’instructions de l’œuvre d’art et des brevets d’invention nationaux est explicite ; il est qualifié d’Intelligence intervectorielle (2i).


L’Intelligence intervectorielle (2i) embarquée, localisée résout ce que l’homme ne peut résoudre, notamment le fonctionnement du système, la sécurité anticollision plane ou spatiale, l’erreur humaine, l’erreur technique - publicité du brevet FR 2 586 845 27-08-1985.


Rappelons les pages de ce site, M. Legros seul pouvait avoir ce constat de ses études, de sa recherche, de ses développements scientifiques, techniques et de sa propre initiative déposer une demande de brevet d’invention pour obtenir l’exclusivité de son exploitation.


Du Système Intervecteur, toute exploitation, reproduction ou représentation ou diffusion, télédiffusuin, intégrale ou partielle, sans l’accord de M. Legros est illégale, porte une atteinte au droit de l’inventeur, porte une atteinte au droit d’auteur.


Les copies du Système Intervecteur sont des produits de la contrefaçon, et la contrefaçon est un délit. L’œuvre d’art de Legros est protégée non autorisée, sous le droit d’auteur ou le copyright. Pour toute exploitation, le produit Système Intervecteur est à titre onéreux.  



LA CARRIERE LE SYSTEME LEGROS™ LE BREVET ET LE COPYRIGHT (1971-2021)


Propriété intellectuelle industrielle du Système Intervecteur

Expert des techniques industrielles, numériques, informatiques et scientifiques, M. Legros a su rendre intelligible son invention, son œuvre d’art pour son application immédiate par l’homme ou le Collège d’hommes de science et du métier dans l’industrie. L’invention et l’œuvre d’art sont bien l’objet d’une exploitation industrielle de son système d’information, de navigation, de régulation, d’anticollision plane ou spatiale de une, deux, trois et n dimensions (1,2,3,nD).


Années de 1970, le bus électronique sur les calculateurs de l’industrie n’existait pas, les cartes de composants électroniques étaient câblées sur le rack électronique. Les systèmes n’étaient pas synchronisés sur le temps T0. Le bit n’était pas codé (0,1,n, …). La vitesse de transmission d’information dans les télécoms était de 1200 à 2400 bauds. Cette technologie originale, nouvelle des réseaux de télécommunication a été pensée par M. Legros aux années de 1969 à 1971 ; elle est contenue au brevet français FR 2 586 845 au 27-08-1985.


Dans le domaine des commandes numériques CN, des calculateurs CNC, M. Legros a exercé dès l’année de 1971 dans l’aéronautique. Il est intervenu dans tous les secteurs économiques, industriels de la production en France, à l’export. Il avait l’expérience de l’évolution des techniques et de l’innovation.


En 1985, l’auteur inventeur avait la connaissance des systèmes de l’industrie, ainsi que de ceux de l’informatique, des composants électroniques et des télécommunications. A cette époque, on comptait plus d’une vingtaine de constructeurs de CN, CNC aux USA, en Europe et en Asie. En informatique, télécommunication, il y avait un nombre important de constructeurs d’ordinateurs, de matériels de télécommunication, de sociétés de services en informatique et ingénierie SS2I.


La concurrence était vive dans l’industrie de haute technologie. Dans le monde, il y avait des millions et des millions de techniciens, d’ingénieurs et de chercheurs qui travaillaient dans l’industrie de l’électronique, des systèmes, des télécommunications et du logiciel, plus les exploitants de ces systèmes dans tous les secteurs économiques.


Les paragraphes ci-après présentent l’historique et l’expérience scientifique polytechnique depuis les années de 1970 de l’auteur inventeur. Son dispositif électronique breveté est entièrement original, nouveau, en rupture avec la technologie exploitée et la pratique.


Sa théorie Métamathématique - la branche mathématique physique du calcul intervectoriel, la vectorisation, l’intervectorisation, la résolution, l’application - est concrète, efficace. Le dispositif électronique de sécurité porte sur le matériel ou le hardware, le bus, les instructions, le système d’exploitation, d’information, les données, le logiciel ou le software, les réseaux de télécommunication locale Wi-FI, les réseaux de télécommunication de la téléphonie mobile, de longue distance, et sur l’Internet. Le système transmet pour résoudre de sa résolution intervectorielle en émission-réception vers les mobiles, les ordinateurs, les centraux, les périphériques, les lanceurs, les satellites ou les sondes spatiales.


M. Legros est l’auteur inventeur indépendant du système électronique de sécurité comprenant l’invention et l’œuvre d’art qu’il a déposé en main propre dans une demande pour un brevet d’invention au numéro d’enregistrement 85 12780, le 27 août 1985 à 15 heures, à l’INPI de Paris France (publicité nationale et internationale du brevet).



LE DOSSIER DU SYSTEME LEGROS™ ET LA COUVERTURE 1996


Propriété intellectuelle industrielle du Système Intervecteur

La reliure du dossier technique commercial de SYSTEME LEGROS™ illustre en page de couverture par des photographies l’exploitation du brevet français FR 2 586 845 le 27-08-1985. Le système et les applications sont revendiqués dans le ferroviaire et les télécommunications, le métro, le maritime, l’aérien, l’espace, le lanceur et la navette.


Les photographies ci-dessous ont été publiées dans la presse, elles sont ici floutées pour ne pas être reproduites et respecter le droit à l’image.



BREVET FR 2 586 845 APPLICATION OBJET PRINCIPAL SYSTEME LEGROS™

Le SYSTEME LEGROS™ AIS du brevet français FR 2 586 845 recette certification

exploitation à bord du navire, en station ou dans les ports de commerce  



LE MANAGEMENT ET L’INGENIERIE DE PROJETS (1981-1992)


Dépôt d’une demande de brevet d’invention

Ingénieur en propriété industrielle, inventeur indépendant, il a rédigé une demande de brevet d’invention qu’il a déposé à l’INPI de Paris. Il a effectué la procédure administrative, technique et de traduction. Il a obtenu les titres officiels nationaux du brevet d’invention. Consultant en sécurité, gestion ferroviaire, télécommunication, signalisation, régulation numérique, il a eu des rendez-vous, fait des présentations dans le but de procéder à une cession de licence de son brevet, de son logiciel, aux constructeurs et aux exploitants du ferroviaire, à Paris et en province.


Etudes de projets La Réunion Océan Indien

Consultant d’un Cabinet régional, il a répondu à un appel d’offre de la DRIRE Réunion pour la logistique, la maintenance industrielle sur l’Ile, et il a fait des études pour des équipements industriels auprès de grands comptes, EDF, SRPP, CCI Réunion, etc.  


Responsable Technique et commercial de la Société de service informatique ISI pour la campagne sucrière de 1989, il a organisé la réception, la gestion de plus d’un million de tonnes de canne à sucre réparti sur les 10 sites informatiques et balances. Il a vérifié, remis en service les équipements informatiques, périphériques, bascules de pesage, réseau de lignes spécialisées LS des Télécommunications des centres de réception. Il a coordonné une dizaine d’entreprises pour le démarrage le jour J de la campagne sucrière. Il a étudié la GMAO des usines de raffinage du groupe ISB Industrielle Sucrière de Bourbon. Il a répondu à des appels d’offres pour la vente de matériels informatiques, de logiciel, de prestations intellectuelles, Réunion, Madagascar et Océan indien.

En énergie solaire, il a fait la vente de chauffe-eau solaire au particulier et une offre pour le stockage hydraulique, la production, la distribution d’eau chaude auprès du CHR de Saint-Paul de La Réunion.


Il a réalisé les études, les installations, courant fort, courant faible, de sécurité périmé-trique volumétrique, d’alarme de bâtiments, d’entreprises industrielles, de stockage et de production d’énergie. Il a fait le suivi de réunions de chantiers d’architecte.


Dans le domaine des loisirs, il a étudié, dessiné, chiffré, vendu une dizaine de spa, de piscines en béton armé avec enrochement, plage, débordement, déversoir, chauffage. Les piscines s’intégraient au projet de construction de la maison. Il a fait la rénovation de la piscine du terrain de Golf de Bourbon à L’Etang-Salé La Réunion.


Projet export de voie express Bangkok Thaillande

En qualité d’Ingénieur d’Etudes, il a répondu en 1987, 1988 à un appel d’offre à l’export pour les équipements de péage, de contrôle, de régulation du trafic, de télécommunication, d’éclairage, d’énergie d’une voie express à Bangkok en Thailande. Il a consulté les entreprises, rédigé les spécifications techniques, financières, étudié l’ingénierie du projet, son exploitation par phase de construction d’un total chiffré à plus de 650 M€ actuels. Suite à l’appel d’offre, il a étudié l’avant-projet de l’autoroute A 86, au sud de Paris, pour la société Scétauroute du Groupe CDD St-Quentin-en-Yvelines.


Commerce et formation à l’ingénierie marketing 1986 ©
Directeur Commercial de la société Halbronn SA à Nogent/Marne, il a réalisé la vente de machines outils, de CNC/DNC, de CAO et de robotique. Il a managé des cadres, ingénieurs d’affaires et commerciaux. Il gérait les offres, et support technique, il participait à la négociation entre le Japon et la CE. Le chiffre d’affaires réalisé était de 35 M€.

Professeur conférencier de sa méthode Ingénierie Marketing de niveau master, pour des produits de haute technologie, il a enseigné, fait des études de cas, des TP auprès des écoles supérieures de commerce et écoles d’ingénieurs CNAM, IESTO, CESI, ESDE et IDRAC Paris, Nantes. Il a écrit un ouvrage de 250 pages pour l’édition et transmettre sa méthode. Son livre, son système d’exploitation, ses réseaux et son logiciel d’application Ingénierie Marketing sont sous le droit d’auteur et la licence.

Le projet de 1986 à 2002 était baptisé Projet Archos par l’auteur inventeur auprès des exploitants et industriels, puis il a été publié de son concept scientifique SYSTEME INTERVECTEUR ou le SYSTEME LEGROS™ en la date du dépôt prioritaire ou légal.


Le SYSTEME LEGROS™ est un chef-d’œuvre publié, exploité, reconnu dans le monde entier sous le nom de l’auteur inventeur. Il n’existe pas d’autre système ou le néant.


Le SYSTEME LEGROS™ est l’objet de son exploitation, de sa représentation, de sa reproduction, de sa diffusion ou télédiffusion intégrale ou partielle effective en des centaines de milliards d’exemplaires.


Toute exploitation doit indiquer de manière très nette le nom de l’auteur inventeur ou la source - la loi française sur le droit d’auteur article L122-5 du Code de la propriété intellectuelle et la Convention universelle sur le droit d’auteur Article III - Copyright © Bernard Legros 1985   



LA CARRIERE INDUSTRIELLE HAUTE TECHNOLOGIE FRANCE EXPORT (1971-1981)


Calculateur de production industrielle (1979-1981) - 25 ans

M. Legros avait en charge en qualité de technicien service après ventes France export la responsabilité de commandes numériques, de calculateurs CNC/DNC de 10-axes et plus installés sur des machines-outils. Il procédait à l’interfaçage, à l’intégration du hardware, du software, au réglage, au dépannage, au remplacement de composants électroniques. Il faisait de la mesure physique, du contrôle laser, des essais en production. Il est intervenu dans la métallurgie, la sidérurgie, l’énergie, le nucléaire, l’armement, les arsenaux, les équipements de travaux publics, l’automobile, le ferroviaire, la navale, l’aéronautique et les équipementiers, etc. Les calculateurs recevaient la certification ISO de production. Il a fait de l’assistance technique, de la formation dans les industries des pays de la CE et en Russie. Il a fait les salons de la machine-outil robotique. Il était en permanence en intervention client dès sa prise de fonction au bureau de Vanves pour la filiale de la Société Elettronica San Giorgio Elsag, de Gênes en Italie.


Armement de navires et de plates-formes offshore (1976-1979) - 23 ans

Il avait en charge en qualité d’agent technique service après ventes, chef de chantiers navals France export, le management des équipes, l’armement de navires, de plates-formes offshore et les essais. Les apparaux électroniques de bord étaient des grues de 25/40t simples, jumelées ou duolift équipées de spreader, des mâts de charge de 150 t, des treuils d’amarrage automatique, des combinés guindeaux d‘ancrage, l’instrumentation de chaîne filée de mouillage et le contrôle en passerelle. Il est intervenu à quai, dans les ports, en mer sur les pétroliers de 550000t Batillus, les portes-conteneurs, les minéraliers, les paquebots, les ferries, les navires spécialisés, etc. Il a procédé aux certifications, aux recettes d’une centaine d’installations avec le Bureau Veritas, la Lloyd, le Germanischer Lloyd. En valeur réelle, c’est plus de 60 M€ de matériel embarqué qu’il a installé dans les chantiers à bord de navires de commerce des compagnies maritimes. Il était opérationnel dès son embauche, disponible 24 heures/24. Il était en permanence en intervention, en assistance client dans les ports sur les navires en opération commerciale de transbordement, dans les arsenaux et les chantiers navals en France, à l’étranger pour la société BLM Jeumont-Schneider Carquefou Nantes.


Chantiers navals production mécanique et énergie (1974-1976) - 21 ans

Il était responsable en qualité d’électricien de maintenance du site, et en poste de quart. Il travaillait 6 jours par semaine, en heures décalées, jusqu’à 250 heures/mois. Il faisait l’étude de plans, la traduction allemand, italien. Il intervenait en électronique sur les commandes numériques CN, les calculateurs CNC-3D, multi-axes, gantry, machines d’usinage à portique, production mécanique, navale, nucléaire, de grande capacité. Il concevait des méthodes d’intervention, mesure, dépannage, indicateur lampe (led), mémoire électronique du signal intempestif, tests d’équipements. Il a réceptionné des ponts roulants de levage à palonnier de 2 x 200 tonnes. Il a procédé en fabrication, usinage, production d’énergie, bancs d’essais, turbines, moteurs diesel Pielstick de 18 cylindres de 23 500 kw, cuve de chaudière. Il répara la perte du pas électrique d’écrou d’hélice d’un tour horizontal, 2 chariots, 15 m, où les arbres s’entassaient en attendant d’être montés à bord. Il est intervenu en centrale électrique, instrumentation, dispatching. Il a pratiqué le contrôle industriel aux Chantiers de l’atlantique Alstom Penhoët St-Nazaire.


Service national (1973-1974) - 20 ans

M. Legros appelé, a été incorporé au 120ème  RT de Fontainebleau Régiment du Train, puis affecté au GMR3 Groupement des Moyens Régionaux de la Troisième Région Militaire basé à Rennes (classe 10), et libéré le 1er  octobre 1974. Il a acquis au Service Technique la pratique des véhicules militaires, rechange, dépannage, maintenance. Il a été réserviste du service de défense jusqu’à l’âge de 50 ans. Employé qualifié de Brissonneau & Lotz Marine S.A., il était classé dans l’établissement en 1976, dans l’affectation collective de défense du Ministère du développement industriel et scientifique.


Industrie aéronautique (1971-1973) - 18 ans

Il a été responsable en qualité d’électromécanicien de maintenance en 3 x 8 aux ateliers d’usinage, de formage de fuselage, de cintrage de conduite hydraulique d’avion et de montage. Il travaillait 6 jours par semaine, en heures décalées, de nuit, jusqu’à 250 heures/mois, et étudiait l’électronique. Il procédait au préventif du parc de machines outils conventionnelles, à reproduire et à commande numérique. Il a mis en conformité avec l’Apave des équipements industriels, fait du contrôle technique sur des presses de 200 à 800 tonnes. Il est intervenu en électronique, dépannage, réception, certification de machines à portique équipées de CN-3D. Il a étudié des plans en anglais, en allemand, a planifié, réalisé le retrofit, le remplacement, la remise à niveau des matériels, des câblages en automatique, électromécanique pour les machines de production aéronautique des avions Concorde, Airbus, usines aérospatiale Airbus EADS Méan, Gron Saint-Nazaire.


Industrie du bâtiment (1970-1971) - 16 ans

Il a réalisé l’installation électrique d’un atelier, fait des interventions de dépannage tout en recherchant un poste dans l’industrie.


Demande d’un brevet d’invention le 27-08-1985 à 31 ans

M. Bernard Legros s’est perfectionné en permanence aux sciences mathématique physique, aux techniques de l’électronique, des systèmes complexes et d’ingénierie de 1971 à 1985. Il exerçait sa profession, étudiait, planifiait ses interventions aussi à domicile.


Les directions, les responsabilités, les représentations et les fonctions confiées à M. Legros, ainsi que ses interventions exécutées seul en France, à l’étranger relevaient du niveau et du métier d’ingénieur.


En qualité d’inventeur indépendant, il a déposé en main propre une demande pour un brevet d’invention le 27 août 1985 à 15 heures à l’Institut National de la Propriété Industrielle INPI. L’invention comprend une oeuvre de l’esprit notamment scientifique, de code logiciel numérique, de plans, de dessins et d’architecture protégée indépendamment du brevet par la loi sur le droit d’auteur (validité 70 ans).


La publicité au BOPI Bulletin Officiel de la Propriété Industrielle le 06 mars 1987 est la mise à disposition au public de la demande pour tierce opposition. L’avis documentaire a été délivré à  M. Legros le titulaire pour un droit exclusif d’exploitation (validité 20 ans) le 23 octobre 1987 par l’INPI Paris France. La publicité internationale a été faite par l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle OMPI Genève Suisse.  


Sur la demande de M. Bernard Legros auprès des mandataires, les brevets d’invention nationaux ont été délivrés le 1er juillet 1988 en Espagne, le 19 juin 1990 au Canada.


Le brevet français FR 2 586 845 a été annulé d’une décision de justice le 05 avril 2006 sur la demande de RATP et de MATRA n’ayant aucun brevet à opposer, suite à une assignation en référé du propriétaire M. Legros en contrefaçon du brevet, en contrefaçon du droit d’auteur de la fabrication et de l’exploitation du métro automatique METEOR Ligne-14 et de plusieurs publications illicites dans la presse.


Le recours en restauration du brevet français a été déposé en justice pour son inscription au registre national des brevets aux motifs que la description de l’invention permet son exécution par l’homme du métier. L’invention est nouvelle, nécessite une activité inventive, elle est exploitée dans l’industrie, le transport, les télécommunications et l’espace.


Conformément, le brevet FR 2 586 845 qui a été délivré par l’autorité de l’Etat est bien valide, son emploi est effectif. Le SYSTEME LEGROS™ est directement reconnaissable, presque 100% des systèmes électroniques exploitent l’invention ainsi que ses droits d’auteur générant des centaines de milliards d’euros ou de dollars dans le monde.


L’exploitation du SYSTEME LEGROS™ accroît le PIB de la France, génère de la haute valeur ajoutée, des emplois, des métiers nouveaux, contribue au développement économique, industriel.

 © Navires amarrés à quai schématisés AIS
  système de navigation sécurité Legros 1985
 © Méthanier GDF Suez  en  mer  schématisé AIS
  système de navigation sécurité Legros 1985

© Bernard Legros 1985

© Gestion du trafic aéroport avion réseaux
   signal système information Legros 1985

SystèmeIntervecteur

© Aéroport avion navigation aérien télécom-
  munication satellites mixte/mdmaLegros1985
 Résolutions Intervecteur
Système d’information électronique
automatique audiovisuelle
Pilote manuel, semi et automatique
© Ports navires télécommunication tdma wi-fi     navigation maritime satellites Legros 1985
 © Système information binaire sychronisé     programmé codé sécurisé  Legros 1985
© Système information binaire sychronisé     programmé codé sécurisé  Legros 1985
© Rame automatique réseau télécommunication tdma cdma  fdma
     mixte mdma Electrobus bus wi-fi Internet Bernard Legros 1985

VUE  LONGITUDINALE

© Rame pendulaire position électronique active contrôle spatial
     3D information signalisation anticollision Bernard Legros 1985

VUE  TRANSVERSALE

© Constellation de satellites code logiciel numérique plan dessin Bernard Legros 1985

x21

x15

x08

   Constellation de Legros intervectorielle satellites            …            2A…          ou balises spatiales



Famille des brevets nationaux FR 2 586 845 date de dépôt de priorité le 27-08-1985,15h.

Système Intervecteur d’exploitation spatial d’information, de navigation, d’anticollision


Réseau 2A de télécommunication Legros tdma, cdma, fdma, mixte mdma



x2                         Système Legros™ Intervecteur

système d’exploitation mathématique bus multipointeurs écran

8/P

2/E

4/M

5/D

6/CI

7/D

3/R

1/A

x1 Terre

signal Sigma L synchronisé

programmé

codé sédurisé

coefficient gL

xn+1

embarqué à bord mobile

en local

station

central

huit(8) circuits électroniques en mode embarqué ou localisé


bus Legros du système Intervecteur

© Plates-formes offshore armement BLMarine  
  forage levage amarrage ancrage SAV Legros
© Porte-conteneurs CGM armement BLM grues25/      40T spreader amarrage ancrage SAV bord Legros
 © Champ éolien système exploitation vision télé-
  commmunication géolocalisation contrôle Legros
© BatillusSchell 550000t armementBLM guindeaux
  treuils hydrauliques  Cap Antifer SAV bord Legros


DOSSIER PAGE DE COUVERTURE SYSTEME LEGROS™(pas publié)  


. LANCEUR FUSEE MARCHE AVANT MARCHE ARRIERE

. NAVETTE SPATIALE AUTONOME CONTROLE TRAJECTOIRE

. TRAIN TGV PENDULAIRE 3D ANTICOLLISION NAVIGATION

. METRO AUTOMATIQUE NUMERIQUE 3D ANTICOLLISION

. CENTRAL PC METRO METEOR SYSTEME D’INFORMATION

. NAVIGATION SOUTERRAINE AERIENNE RAMES DE METRO

. PILOTE D’AVION GROS PORTEUR ANTICOLLISION NAVIGATION

. NAVIGATION MARITIME 3D ANTICOLLISION DE FERRIES

. NAVIRE PAQUEBOT AUTONOME ANTICOLLISION NAVIGATION



Maquette illustrée de photographies 1992-1995

SYSTEME LEGROS™1985  

FUSEE

LANCEUR

NAVETTE

TRAIN

METRO

NAVIRES

AVION

ECRAN PC

SYNOPTIQUE

BREVET APPLICATION

Réalisations

 © Tableau standard / options visualisateur lecteur enregistreur SMS message bref de service mécanicien       téléphone mobile antenne station central exploitation voyageur télémaintenance Bernard Legros 1985

SYSTEME LEGROS™ EXPLOITATION

SMS réseaux de télécommunication

tdma cdma fdma mixte mdma et wifi

20 envois de messages SMS Modem-L synchronisé codé

programmé sécurisé original nouveau le 27-08-1985 à 15h.