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>  Conseil en électronique, automatique, système et activités connexes, brevet et droit d’auteur logiciel
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World Technology and Science

©Bernard Legros 1985

LA METAMATHEMATIQUE DE LEGROS ET LA NAVIGATION ROUTIERE

La branche mathématique du calcul intervectoriel


M. Legros a créé la branche mathématique du calcul intervectoriel pour solutionner le problème qu’il a posé dans sa demande pour un brevet d’invention.


Dans l’industrie automobile en 1985, l’électronique était peu ou pas du tout utilisée ou n’avait pas l’importance que nous connaissons aujourd’hui avec le système Legros de l’Intervecteur.


La branche Métamathématique du calcul intervectoriel est une mathématique très puissante pour résoudre notamment l’électronique, la télécommunication, la navigation, la position spatiale des automobiles évoluant les unes par rapport aux autres et l’anticollision.


L’instruction intervectorielle et d’application est originale, nouvelle, indispensable, suffisante pour la résolution de l’automobile manuelle, semi ou automatique, pour la résolution des automobiles, la reconnaissance de forme, la géolocalisation spatiale.


Les automobiles évoluent dans un environnement géographique, topographique, spatial avec les commandes, le volant, le joystick sur la zone, sur l’écran de navigation de la planche de bord du véhicule. L’électronique Legros est originale, nouvelle, ainsi que sa télécommunication, son bus interne normalisé CAN et sa liaison Wi-Fi.


Le système Intervecteur est un système complet, il pilote les asservissements de la voiture, le moteur, la direction, les freins, les rapports de vitesse et le contrôle de la trajectoire spatiale. Les commandes, la signalisation, les accessoires, le bus et les télécommunications embarqués sont liés avec l’environnement codé, programmé, avec le satellite, ou avec l’Internet.


En 1986, le poste du téléphone GSM Global System Mobile de MATRA et ERICSSON commençait  à être installé à bord par les propriétaires des véhicules.   


L’électronique Legros embarquée s’est imposée en 1987 avec les applications successives de l’invention et de l’œuvre d’art scientifique au niveau de la liaison bus, du contrôle du freinage, la vitesse tendant vers zéro (0), de la trajectoire 3D et du moteur. Le design de la planche de bord intègre la télécommunication, l’écran de navigation et la Wi-FI. Les instructions intervectorielles et d’application originales, nouvelles sont utilisées pour les contrôles et les manœuvres automatiques.


La technologie Legros déposée et brevetée est exploitée dans l’environnement, sur la route et dans le ferroviaire d’une résolution qualifiée d’interdépendance pour les mobiles.



LA NAVIGATION ROUTIERE DE LEGROS DU BREVET FR 2 586 845 27-08-1985

L’information active sonore, visuelle sur l’écran de navigation embarqué


Le système Intervecteur est étudié embarqué aux revendications, pour le trafic routier, ferroviaire, la géographie, la photographie, la topographie plane ou spatiale 3D, étudié pour être en local, en un lieu de l’environnement codé, programmé de la route.


L’œuvre d’art de l’Intervecteur de sa visionique, de son information, intégrale ou partielle, diffuse sur la planche de bord les messages, la photographie, les séquences audiovisuelles ou le film, ou par satellite, ou sur l’Internet.


Le brevet français présente l’interdépendance du trafic routier, ferroviaire à un passage à niveau PN. Ce principe est traité par la résolution intervectorielle spatiale, originale, nouvelle, du système électronique numérique (hardware) et du logiciel (software).


- Ci-dessous, figure 4 planche  II/III du brevet français FR 2 586 845 le 27-08-1985 et des brevets nationaux

LA NAISSANCE ET L’EVOLUTION DANS LE FERROVIAIRE

Les systèmes ferroviaires exploités pour la régulation et la signalisation
Année de 1985, dans l’industrie ferroviaire, l’électronique était peu ou pas du tout utilisée ou en cours d’essai et d’homologation. Les composants électroniques n’étaient pas encore répertoriés, classés aux normes des sociétés SNCF Société Nationale des Chemins de Fer et RATP Régie Autonome des Transports Parisiens.

Ce sont des systèmes mécaniques, électriques, électromécaniques qui étaient exploités pour les sémaphores, la signalisation ferroviaire, routière. L’industrie ferroviaire exploitait le bloc automatique, le crocodile à brosse, le contact à pédale, les détecteurs de proximité, les balises sur rail pour la commande des contacteurs, de la signalisation et des passages à niveau PN - Recherche documentaire Legros 1985.

Aussi, M. Legros développa sa pratique de l’électronique, des composants, des CPU Central Process Unit, des calculateurs et des systèmes de différentes technologies, pour fabriquer, exploiter son invention dans le ferroviaire. L’intégration à très grande échelle des composants VLSI
Very Large Scale Integration, des processeurs est à ce jour l’option pour les systèmes électroniques ferroviaires embarqués ou localisés.

Les télécommunications, l’informatique étaient inexistantes à bord des trains, sur le ballast ou en centre de contrôle. L’exploitation ferroviaire ne pouvait pas reposer sur ces technologies jugées être peu fiables, au regard des circuits de voie électriques. Telles les technologies de l’époque exploitées, celles-ci n’étaient utilisées que pour la gestion administrative, commerciale, mais pas pour automatiser le trafic.

La technologie normalisée du GSM-400 était en cours de déploiement pour équiper l’ensembre du réseau ferroviaire de la SNCF et pour permettre la communication entre les exploitants, les conducteurs en cabine, les aiguilleurs et les centres de contrôle.


LA PRESENTATION DE LA LICENCE DU BREVET ET DE L’ŒUVRE D’ART

L’automatisation ferroviaire et la diffusion de l’information originale, nouvelle
M. Legros est intervenu auprès des présidents de la SNCF, il a renconté les directions pour résoudre une difficulté d’exploitation suite aux catastrophes ferroviaires de l’été 1985 survenues à un passage à niveau à Saint-Pierre-du-Vauvray, faisant 9 morts, sur une voie à sens unique à Flaujac, la collision frontale fit 35 morts et 120 blessés, le déraillement au moment du croisement de trains allant en sens inverse à Argenton-sur-Creuse fit 43 morts et 34 blessés.

La technologie ferroviaire exploitée par la SNCF sur son réseau était la signalisation de canton, le bloc automatique avec des systèmes mécaniques, électriques, électro-mécaniques et lumineux. La sécurité, la régulation ferroviaires sont basées sur le respect de la signalisation par le conducteur en cabine. Les balises sur le ballast, le radar de distance étaient en cours d’homologation en 1988.

M. Legros a raisonné en considérant ainsi que si la signalisation pouvait ne pas être respectée, son système électronique de l’Intervecteur devait agir en cabine en mode manuel, semi automatique ou automatique sur les éléments moteurs des machines pour éviter la collision arrière, frontale ou de traverse oblique par le laminage de trains. Le Système Intervecteur est étudié être en interdépendance avec les trains et avec la circulation routière au passage à niveau PN.

L’auteur inventeur précisait par courrier que son Système Intervecteur pouvait être exploité sans difficulté avec les systèmes ferroviaires utilisés, sans interruption du trafic. Le brevet français FR 2 586 845 intègre l’existant des équipements de signalisation ferroviaire utilisés par la SNCF sur les réseaux RER, TER et TGV. Le Système Intervecteur résout la
mixité du trafic pour l’ensemble des machines, des systèmes et des lignes ferroviaires.

Les conditions d’exploitation du brevet français étaient réunies pour une ingénierie ferroviaire par ligne ou par niveau d’intégration du matériel, du logiciel ou par mode d’exploitation progressif manuel, semi-automatique ou automatique avec la diffusion de l’information audiovisuelle, de messages en gare, en station, au poste d’aiguillage, au Passage à Niveau PN, au Poste de Contrôle PC de la ligne.

M. Legros a présenté, et par courrier dès août à novembre 1985, une offre de licence SNCF du Système Intervecteur pour la résolution scientifique Métamathématique physique, l’électronique, le logiciel, l’information, les télécommunications, l’automatisation, la sécurité anticollision, la diffusion du temps T Alpha (Ta) d’approche, d’arrivée ou d’attente, les messages de navigation et les séquences audiovisuelles, cinématographiques en continu.

Les trains actuellement en exploitation sur le Réseau Ferré de France RFF sont les RER, les TER, les TGV. L’exploitation est européenne multi opérateurs. Les projets ferroviaires développés par M. Legros au brevet français FR 2 586 845 en 1985 sont devenus européens aux années de 1995. Sans antériorité de brevet, ils relèvent de sa technologie initiée du système, de la systémique, de son ingénierie ferroviaire.  

Le contrôle ferroviaire est revendiqué aux équations, aux instructions pour le
système du train, généralisé pour la systémique des trains. Il est embarqué à bord de la rame, localisé dans l’environnement ferroviaire, sur la voie, le ballast, en poste d’aiguillage, en station, dans la gare. Le système de la branche Métamathématique du calcul intervectoriel résout l’intégrité lierne du train, résout où il est installé ou transporté.

M. Legros a développé, a présenté sur plans à la SNCF, à la RATP et aux industriels son Système Intervecteur original, nouveau constitué d’un nombre de boucles électroniques Legros L
(electronic loops L) embarqué sur les locomotives pour la régulation de la position, de la vitesse, pour la sécurité anticollision. Le système est lié avec la voie, le poste d’aiguillage, la maisonnette PN et l’environnement ferroviaire.

La télécommunication, le bus, l’instrumentation utilisent aussi les boucles
(loops) de transmission, de position, de vitesse, de résolution, d’application. Le signal Sigma L (sL) synchronisé (T0), codé (0,+1,-1,n,u,t,…) est également original, nouveau. Le système est revendiqué utiliser une fréquence 1f ou plusieurs fréquences nf. Soit les réseaux de télécommunication rail tdma, cdma, fdma, mixte mdma et de Wi-Fi.

La valeur originale de Legros du signal Sigma (
sL) codé pour l’ensemble vide [f] est 1 ; la détection sécuritaire est 0 ; le néant est n ; le signal Sigma (sL) 2A est synchronisé, codé, temporel, les tensions U (v) sont de logique positive ou négative.

Les commandes en cabine du machiniste, les manettes, le
joystick, le système, le circuit d’asservissement ou la logique de fonctionnement, le contrôle des trains ont pour but de répondre aux demandes des exploitants ferroviaires confrontés à un dilemme qui oppose la sécurité des voyageurs, la rentabilité, la croissance du trafic, les performances du matériel, la vitesse et la ponctualité.

L’œuvre d’art scientifique Métamathématique physique technique d’application intégrale ou partielle est directement opérationnelle. L’électronique, le système d’exploitation ferroviaire, les réseaux de télécommunication, le logiciel, l’ingénierie de puissance sont devenus depuis des normes, des directives, des recommandations européennes, internationales de l’UIC Union Internationale des Chemins de fer.

La technologie
exploitée a été présentée en 1985 à la SNCF pour l’automatisation des grandes lignes ferroviaires, des lignes de métro, de train RER, de tramway, de bus avec le système d’information audiovisuel et la diffusion de messages préenregistrés.

De la publicité des brevets nationaux FR 2 586 845, le Système Intervecteur a été conçu une mise en exploitation par phases successives ou par niveau d’exploitation. Ce sont ces niveaux de construction et d’exploitation qui ont aussi été présentés. Le Système Intervecteur s’applique aux opérateurs du chemin de fer européen.  

L’avance technologique de M. Legros auteur inventeur est de plusieurs dizaines d’années au jour du dépôt de sa demande pour un brevet d’invention. L’offre de licence présente le bus interne au système, les réseaux de télécommunication
tdma, cdma, fdma, mixte mdma, de Wi-Fi, la diffusion de messages SMS Short Messages Service, le management du trafic ferroviaire, l’automatisation et l’anticollision.

Les projets ASTREE, RADIOCOM 2000 (1986), ERTMS/ETCS (1995)
Suite à ses interventions en 1985 auprès de la SNCF, le service de la recherche a publié le projet ASTREE pour l’automatisation du suivi en temps réel des trains qui utilise le réseau de télécommunication analogique RADIOCOM 2000 des PTT
(Le Figaro mars 1986, International Railway Journal August 1986).

Les systèmes ERTMS / ETCS
European Rail Trafic Management System / European Train Control System ont été publiés aux année de 1995 et ils sont exploités par niveau. Leur exploitation utilise un circuit d’antennes, une balise, une boucle ferroviaire (loop). En 1985, la SNCF exploitait le circuit électrique pour la signalisation du canton ou le bloc automatique, mais pas de boucle (loop).

Le réseau de télécommunication analogique GSM 400, 900 Global System Mobile, sur la fréquence attribuée, était déployé, années de 1990, sur les lignes par les exploitants ferroviaires essentiellement pour la communication téléphonique entre le machiniste en cabine et le Poste Central PC.

Le Système  Intervecteur ferroviaire et les réseaux de télécommunication Legros sont exploités, représentés, reproduits par la SNCF sur ses lignes. Le GSM-R
Global System Mobile Rail est le réseau de télécommunication Legros tdma time division multiple access breveté, présenté à la SNCF sur une fréquence de 400 Mhz en 1985.

L’œuvre d’art de Legros scientifique, logiciel et d’architecture est sous le droit d’auteur ou sous le copyright. Son invention a été brevetée aux brevets nationaux de la famille FR 2 586 845 le 27-08-1985.
–> Propriété Intellectuelle


Les trains à guidage sur rail et le contrôle intervectoriel ferroviaire spatial
Le rail posé sur la traverse en bois et le rail soudé ancré sur la structure en béton

LA PROPRIETE INTELLECTUELLE ET INDUSTRIELLE

La paternité Legros de l’invention industrielle, son droit d’auteur, son copyright 1985

LA CONSTELLATION DE SATELLITES DE LEGROS POUR LA NAVIGATION

Les satellites ou balises satellitaires de référence au positionnement


M. Legros a revendiqué son invention en un lieu localisé de l’environnement ou en embarqué sur le mobile terrestre (route, rail), maritime (mer, fleuve), aérien et spatial.


La synchronisation de tous les systèmes localisés ou embarqués se fait sur le temps T0 du signal 2A, pour le bus interne, pour les réseaux externes de télécommunication Legros (1969-1971). Le signal 2A Sigma L (sL : 0, 1, -1, n, ... ) de l’invention est synchronisé, codé. Le monde de Legros est nouveau, synchronisé, codé, automatique. Son œuvre d’art originale a une dimension universelle.


Lorsque l’auteur inventeur a présenté son invention, il n’y avait pas de constellation de satellites pour produire l’intersection vectorielle spatiale, la géolocalisation routière, ferroviaire, maritime, aérienne, spatiale et l’anticollision des mobiles. Sur les cinq continents, il n’y avait aucun système de navigation localisé en station ou embarqué, visionné sur la planche de bord des véhicules, des engins ou des mobiles.



En résumé l’état de la technique au jour du dépôt légal

La distance parcourue est résolue depuis l’antiquité. Dès les années de 1900, elle est donnée par le compteur mécanique de l’automobile. L’automobile utilise aussi la mécanique d’un câble d’acier et d’un compte tours, la distance parcourue, la vitesse sont affichées sur le tableau de bord. L’information électronique digitale pour la visualisation de la distance, de la vitesse et du compte-tours du moteur était utilisée par quelques constructeurs automobiles sur le tableau de bord.


Le positionnement ferroviaire utilise le circuit de voie électrique pour détecter le canton occupé par le train. L’instrumentation métrique utilise le comptage d’une ligne grecque électromagnétique posée tout au long de la voie ferrée, la configuration magnétique de la ligne est aussi utilisée pour donner la consigne de vitesse de la rame sur la voie. Le comptage de la roue phonique produit la distance parcourue. Le radar de la motrice produit une erreur de mesure de distance constatée en 1988. La balise magnétique ou optique permet le recalage, détecte la position ou le passage du train. Dans le transport, ces systèmes de mesure distance sont exploitées ou brevetées.


Dans l’industrie, la génératice tachymètre de la tension fournit la vitesse de rotation en tour par minute. Le potentiomètre multitours, le resolveur électromagnétique, la règle magnétique, optique longitudinale donne la précision du micron. La mesure de distance laser est utilisée en métrologie. Le capteur magnétique détecte la proximité.


Le XVIIIème siècle étudiait la précision de l’horloge embarquée à bord des navires qui deviendra alors le chronomètre pour la navigation et le relèvement de la position. Le relèvement par le navigateur des coordonnées marines de position se fera avec la boussole, le loch, le sextant, le phare, les balises, la centrale inertielle, le radar et le réseau d’antennes Oméga. En 1985, les informations de navigation des navires sont transmises sur la bande de fréquences maritime.  


Le relèvement par le navigateur des coordonnées aériennes de position se fera avec la boussole, les sondes, l’altimètre, les balises VOR, l’ILS, la centrale inertielle, le radar, le réseau d’antennes Oméga. En 1985, les informations de navigation des avions sont transmises sur la bande de fréquences aérienne.  


La publicité des brevets d’invention, les publications et les plans

De la recherche documentaire d’antériorités, il n’existe pas une demande de brevet ou un brevet d’invention ou une publication ou des plans d’une application pour le système d’exploitation à télémultipointeurs, de télécommunication, de navigation, de surveillance, de régulation du trafic, d’anticollision pour l’automatique des mobiles avec la référence terrestre ou la constellation de satellites.


La publicité du seul brevet Legros FR 2 586 845 présente le système de navigation complet pour les mobiles terrestres, ferroviaires, routiers, maritimes, aériens et spatiaux sur l’écran, sur la zone de navigation, présente la télécommunication, la complexité du pilotage manuel, semi automatique ou automatique, la sécurité anticollision, le système d’exploitation digital ou à télémultipointeurs visionné sur l’écran de bord.


Le Système Intervecteur, la branche du calcul intervectoriel portant sur l’élément vecteur infinitésimal ve : (x, y, z, t), sur les ensembles E, E’, …En variables, mobiles dans le plan ou l’espace e résout la liaison, la distance, le mouvement, la trajectoire, la vitesse, l’accélération (g,wL)n, la forme, la présence, la détection, la navigation systémique sur la zone, l’automatique, l’ordre, le signal (sL) synchronisé, codé, le système d’exploitation, la vision, la navigation dans le système, les réseaux, les bases de données, sur l’écran embarqué à bord du mobile ou localisé dans la station.


Le Système Intervecteur, la constellation de satellites, les réseaux de télécom-munication, le bus, la Wi-Fi, la vision, la navigation, l’anticollision, le système d’exploitation à télémultipointeurs ou digital ou pad sur l’écran sont originaux, nouveaux, sous le droit d’auteur ou le copyright. © Bernard Legros 1985 - Tous droits réservés pour tous pays



L’ARCHITECTURE DU SYSTEME ET SA SYSTEMIQUE BREVETEE

Le Système Intervecteur de navigation de mobiles, la consultation sur l’écran de bord, de la station, sur l’Internet, et vers les satellites


Le Système Intervecteur breveté  résout et produit au schéma ci-dessous la télcommunication, la navigation, l’anticollision sur la zone, sur l’écran de la planche de bord du mobile ou de la station, le système d’exploitation, la navigation digital ou pad ou à télémultipointeurs, la détection, l’activation d’ordre à l’écran dans le système et la systémique - Publicité des brevets nationaux et de l’œuvre d’art sous le copyright.



Constellation satellites géolocalisation anticollision © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays

LES TRAINS PENDULAIRES DE LEGROS A CONTRÔLE ELECTRONIQUE 3D

L’électronique, les instructions, les résolutions intervectorielles du logiciel pilotent, contrôlent la position des trains pendulaires avec le circuit d’asservissement de la trajectoire spatiale 3D
(électronique active).

Le Système Intervecteur embarqué ou localisé est informé du gabarit, de la position, de la vitesse des trains pour éviter tout risque de
collision ou de laminage entre les trains (masse, volume). Le système de contrôle ferroviaire est revendiqué spatial pour le train, pour la systémique et la mixité du trafic de tous les trains de voyageurs, de marchandises ou pendulaire.

Comme le principe du pendule, les trains pendulaires en exploitation utilisent l’énergie cinétique produite par les courbes avec un contrôle de fin de course essentiellement hydraulique ou par butoir. L’angle de la tangente formé par l’élévation de la caisse est passif en fonction de la courbe ou de la vitesse du train avec une limite mécanique. La configuration mécanique du train pendulaire est différente par constructeur aux publications antérieures de brevets.

En Europe, plusieurs brevets de ces systèmes pendulaires à contrôle électronique ont été publiés par les constructeurs ferroviaires après la publicité de M. Legros du brevet français FR 2 586 845 daté le 27-08-1985.

La signalisation sur les lignes pendulaires est définie par les exploitants ferroviaires et européens pour permettre la marche des trains, la vitesse, le croisement, le passage de gabarit, de convoi exceptionnel, de tonnage à un horaire fixe. Il n’y a pas de contrôle systémique des trains pour éviter la collision ou le laminage de la rame. En 1985, c’est l’exploitant et la signalisation sur la voie qui gèrent le trafic ferroviaire.   

Au brevet de Legros, l’électronique de puissance contrôle l’asservissement de mouvement spatial 3D mécanique ou cinétique, électrique motorisée, hydraulique de vérins ou d’actionneurs ou pneumatique du système pendulaire.  Cette configuration électronique active est instantanée synchrone sur les axes, plus précise, donne plus de souplesse d’exploitation à un système pendulaire qui était auparavant mécanique, rigide, sans contrôle électronique.

Au Système Intervecteur, la fabrication du train pendulaire et son exploitation sur le rail ne dépendent pas que de l’accélération de la masse, mais aussi du coefficient de l’accélération imprimée par le programme, la position, la vitesse, soit le pilotage du gamma rectiligne radial (g,wL)n de son électronique active, originale, nouvelle. L’électronique active positionne la caisse sur la trajectoire du plan ou de l’espace 3D.

En résumé, les trains et les trains pendulaires existants n’ont pas la technologie du Système Intervecteur, la résolution intervectorielle spatiale, l’électronique active, l’asservissement permanent de puissance du mouvement spatial 3D de la caisse sur sa trajectoire, l’accélération, les instructions, le logiciel, le programme numérique, la systémique et la modélisation de l’environnement ferroviaire.

Le Système Intervecteur résout la sécurité anticollision, l’antipatinage, l’antiblocage et l’antilaminage, la géolocalisation spatiale et le gabarit de tous les trains TGV, TER, RER et pendulaire - Les brevets de Legros de la famille FR 2 586 845 le 27-08-1985.


Brevet Legros FR 2 586 845 - le schéma du rack des circuits électroniques
et des connecteurs à broches daté sur le cartouche au 16-10-1985

Le plan ci-dessus présente le rack des cartes électroniques et la face arrière des connecteurs à broches de type Socapex de l’armoire de contrôle. En P1 Alimentation (Power) - P2 Contrôle du train (Train control) -  P3 Capteurs (Captors, sensors) -  P4 Commande en cabine et contrôle avec les boucles électroniques intervectorielles du système (Intervectorial electronic loops for control) - P5 Antenne de télécom-munication (Antenna) pour la détection automatique de l’anticollision sur la ligne.


Au brevet Legros FR 2 586 845 le Système Intervecteur a été présenté à l’entreprise SNCF et aux industriels pour fonctionner en version autonome ou intégrée à une exploitation existante. M. Legros a précisé, en fonction de l’exploitation, les trois niveaux de son système en mode manuel, semi automatique ou automatique.


L’exploitation de l’œuvre d’art, intégrale ou partielle, des groupes d’instructions du système ou par niveau d’intégration concerne la diffusion des messages de navigation, le suivi des trains en temps réel, le contrôle, la commande, l’anticollision, le management ou la gestion du trafic ferroviaire. Le pilotage en cabine exploite les huit (8) circuits électroniques du système de sécurité anticollision du brevet français.


M. Legros a développé l’application ferroviaire par phase d’intégration sur les lignes, par niveau d’exploitation en embarqué à bord du train, en local, sur la voie, au passage à niveau, au poste d’aiguillage, au poste de contrôle, en station, gare et central, sur l’Internet, et vers les satellites.  



Brevet Legros FR 2 586 845 - le schéma d’implantation des équipements

électroniques et le gabarit du train en tunnel le cartouche au 16-10-1985

L’ELECTRONIQUE DE LEGROS POUR LA ROUTE ET L’AUTOMOBILE


Le système de l’Intervecteur

Du néologisme de l’Intervecteur, il s’agit d’un système électronique de navigation, de sécurité anticollision pour les automobiles. Le contrôle intervectoriel de la voiture en circulation sur la zone de travail est reproduit sur la planche de bord pour la navigation terrestre satellitaire.


Cette constellation de Legros spatiale de satellites avec sa référence terrestre est représentée ci-dessus au schéma sous le copyright - Constellation de Legros brevetée 1985 avec ses plans et ses applications.


Les groupes d’instructions de la résolution de la branche mathématique du calcul intervectoriel sont nécessaires au système automobile pour l’information de navigation, de dangers, pour le pilotage manuel, une aide au pilotage, pour le pilotage semi automatique ou automatique.


Sur la route, le système produit le contrôle de la vitesse V, de la vitesse moyenne Vm entre les bornes ou les points de la résolution, le contrôle de la vitesse de décélération ou le coefficient gamma L (g,w L)n ou la vitesse V0 qui tend vers 0 (le contrôle de l’antiblocage, de l’antipatinage). L’Intervecteur s’applique avec les commandes de bord, le volant, le joystick pour les voitures électriques, thermiques, hybrides à pilote manuel, semi automatique ou automatique.


Aux brevets nationaux Legros FR 2 586 845, le système fonctionne en temps réel ou différé. Les groupes d’instructions intervectorielles de détection, d’application sont exécutés, en intégralité ou en partie, par le système en embarqué ou en local. Ces instructions intervectorielles produisent également le programme numérique de la voiture et de la route. Le dispositif repose sur l’équation repos, tout en préservant cet équilibre grâce aux équations travail.


Aux écritures, un exemple de fonctionnement numérique est donné pour une voiture à une vitesse moyenne de décélération de 36 Km/h, soit un arrêt sur 100 mètres en 10 secondes, pour une vitesse V maximum de 120 Km par heure. Les consignes des huit (8) circuits électroniques contrôlent la position, le mouvement dans le plan ou l’espace 3D l’ordre impératif d’arrêt, le changement de trajectoire, le ralentissement, l’accélération, le changement de sens de marche, avant et arrière du véhicule.


Aux groupes d’équations intervectorielles, il y a bien la navigation sur la zone visionnée sur la planche de bord du véhicule, le contrôle électronique bus, différent du faisceau de câbles électriques de la voiture, la résolution de l’antiblocage ABS, la vitesse (V0) infinitésimale tend vers 0, l’antipatinage, l’anticollision et le contrôle de la trajectoire spatiale 3D du véhicule. Des équations intervectorielles, il existe la résolution de l’autorisation ou de l’interdiction de l’enveloppe spatiale du véhicule sur la route. D’une instabilité la résolution des groupes d’équations intervectorielles est le retour à l’équilibre du système et de la systémique.


La résolution de l’ensemble vide [f] est, ici uniquement aux écritures mathématiques physiques de Legros, égale à 1 en fonctionnement normal ou en condition d’équilibre du système de l’automobile ou de la systémique des automobiles. L’instabilité soit le chaos du système ou de la systémique est égale à 0. Le transport terrestre, maritime, aérien et spatial, l’environnement sont aux groupes d’équations liés par le principe d’interdépendance.


La route, l’itinéraire ou le voyage est donné par deux points distants fixes ou mobiles, ainsi que les temps de parcours, le temps T Alpha (Ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche du véhicule. Le système d’information de Legros électronique automatique numérique, de séquences audiovisuelles ou du film, sur l’Internet, et vers les satellites est embarqué sur la planche de bord du véhicule, sur l’écran de la station fixe, mobile ou sur l’aéronef de sécurité routière.  


La modélisation unitaire ou multiple de l’environnement donné est réalisée par l’intermédiaire de capteurs ou d’éléments codés, programmés, représentant la référence du système et l’origine de l’information émise, reçue par les mobiles. Les capteurs fixes, mobiles, rotatifs, orientables à gamma Legros rectiligne, circulaire (g, w L)n sont codés, programmés. Les informations sont de type niveau, optique, vision, radar, inertiel, etc.


Les capteurs de données, de data ou d’informations physiques sont fonction de l'environnement, du plan ou de l’espace dans lequel évoluent les mobiles. Au brevet, ils sont de type électromagnétique (émission-réception), résistif (liaison entre les mobiles), ultrason, de pression, de niveau (pression atmosphérique, poussée d'Archimède), de vision (reconnaissance de forme), magnétique, capacitif, thermique, optique. Les capteurs sont caractérisés par les groupes d’équations. Ils sont utilisés pour la résolution intervectorielle du système et de la systémique des systèmes.  


La technologie de Legros, ses instructions intervectorielles sont nécessaires pour équiper tous les types de véhicules, les deux roues, les automobiles, les bus, les camions. L’Intervecteur localisé assure au poste de circulation routière la sécurité, la surveillance, l’intervention et la supervision du trafic.


Système Intervecteur et énergie

Le Système Intervecteur est revendiqué au brevet FR 2 586 845 au 27-08-1985 pour équiper tout type de mobile, véhicule à moteur thermique, électrique ou hybride.


Le schéma de principe de la figure 5 planche III/III - les circuits électroniques de 1 à 8, les instructions, les données, le bus amplificateur, les réseaux de télécommunication, l’alimentation des circuits de puissance et de contrôle du véhicule - est une œuvre d’art protégée non autorisée sous le droit d’auteur ou sous le copyright.


L’alimentation générale du circuit A/1 connectée au secteur, au réseau du système, ou au réseau des systèmes produit l’énergie en local ou en embarqué sur le mobile. L’alimentation n’est pas limitée (connexion au réseau électrique, production interne au système, énergie thermique, nucléaire, etc.).   


Au Système Intervecteur, les capteurs (électromagnétique, thermique, solaire, capacitif, etc...) sont aussi utilisés pour fournir l’énergie des huit (8) circuits électroniques. Le Système Intervecteur est autonome, il dispose d’une source en énergie nécessaire pour son exploitation dans l’environnement, le plan ou l’espace.


Identification, navigation et management du trafic routier

La voiture, les accessoires sont équipés de capteurs émission-réception codés, programmés, à signal Legros Sigma L  (sL) codé, synchronisé, du modem, du bus, de la résolution intervectorielle d’autorisation, d’interdiction, de la clé de contact à codage sécurisé Legros, ou du lecteur de carte, ou distant, de l’identification, de la reconnaissance de forme, vocale, des séquences de mise en marche, de navigation sur la planche de bord, de l’Internet, de l’assistance, du réseau autoradio, etc...


La navigation Intervecteur est spatiale, différentielle, infinitésimale, permanente avec le contrôle mécanique, électronique et logiciel de la voiture. La distance radar, inertielle, l’information alphanumérique par balise ou avec le GPS est reportée sur la carte de navigation. La voiture a son numéro d’identification de circulation pour la transmission de messages, pour l’autorisation, l’interdiction de place de parking.


Au brevet Legros, l’environnement donné est codé, programmé sur les cartes électroniques routières intervectorielles de l’écran de vision spatiale 3D. Le système intègre les balises ou sa référence. La signalisation latérale, horizontale est embarquée à bord du véhicule. - figure 4 planche II/III du brevet français.


Circuit Logique de fonctionnement, l’erreur technique, l’erreur humaine

Le système Intervecteur détecte, visualise l’erreur technique, l’erreur humaine de fonctionnement, d’exploitation de la voiture jusqu’à sa mise hors service ou son immobilisation. Après la détection, le remplacement, la réparation ou le bon fonctionnement  de la voiture, l’initialisation  de remise à zéro RAZ ou le reset s’opère avec le signal Sigma L (sL)  sur le bus de Legros au travers des 8 circuits électroniques du Système Intervecteur, au travers de sa systémique.


Le contrôle du fonctionnement est automatique, soit l’autocontrôle de la voiture. Le bus L de Legros (1969) comporte le signal Sigma L (sL) synchronisé, codé, le signal reset RAZ, les signaux notamment le Clock Clk, la masse Gnd, les alimentations 24/12V, +/-5V. Le système supporte les réseaux de Legros (1985) tdma (T0-L), cdma (sL), fdma (fg,wL), mixte mdma (mix-L) pour la télécommunication.


De l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur, la résolution scientifique mathématique physique électronique est continue en boucle aux groupes d’équations, aux données ou aux data du système. Les multiples boucles électroniques du système, de la systémique sont définies aux publications. Il n’y a pas d’antériorité aux plans ou au brevet Legros FR 2 586 845 au 27-08-1985.


Electronique, bus et télécommunication

L’Intervecteur définit ses propres réseaux de télécommunication originaux, nouveaux, son bus électronique, ses instructions numériques, son logiciel à bord de la voiture. Le pilote est relié avec les stations du trafic, le poste central, les réseaux publics, les opérateurs privés de la téléphonie mobile, de l’Internet, et par satellite.


L’état des connaissances scientifiques et de l’art antérieur (27-08-1985)

Au jour du dépôt, depuis la naissance de cette industrie en 1900, il y avait plusieurs milliards de véhicules routiers mis en circulation sur les cinq continents.


Les véhicules de la route, les automobiles en 1985 ne décrivent pas ce niveau scientifique, technique et technologique de Legros. Les plans de l’automobile sont originaux, nouveaux. Le système de l’Intervecteur est une invention nouvelle, l’œuvre d’art et d’instructions est originale, nouvelle. Il s’agit du système complexe pour les véhicules de la route ou l’automobile électronique de Legros.


De la pratique antérieure dans l’industrie, cet art de l’automobile de Legros est bien original, nouveau (motorisation, habitacle, planche de bord, aide au pilotage manuel, pilotage semi-automatique, automatique, anti-blocage, anti-patinage, contrôle de trajectoire terrestre spatiale 3D sur écran, anticollision, système d’exploitation, de navigation et de télécommunication intervectoriel, autocontrôle, injection Sigma L, simulation, enregistrement, télé assistance, télé expertise, etc.).



Avec la technologie originale, nouvelle de Legros des brevets nationaux FR 2 586 845, la VOITURE ELECTRONIQUE AUTOMATIQUE NUMERIQUE dispose :


. du CALCULATEUR INTERVECTEUR CI quantique,

. de l’INTELLIGENCE INTERVECTORIELLE (2i),

. de groupes d’INSTRUCTIONS, DONNEES, CODE LOGICIEL NUMERIQUE,

. du BUS L ou ELECTROBUS ou norme CAN,

. des RESEAUX de TELECOMMUNICATION, du MODEM L (normes),  

. de la WI-FI, de l’INTERNET (normes),

. de la CONSTELLATION de SATELLITES L, de la référence TERRESTRE,

. du vecteur POSITION 3D différentiel, infinitésimal, en continu,

. du régulateur de VITESSE, de la vitesse MOYENNE, de son contrôle LOCALISE,

. de l’ABS, de l’ANTIPATINAGE, du contrôle de la TRAJECTOIRE,

. de l’INJECTION du signal Sigma L,

. du système d’EXPLOITATION, de NAVIGATION, de sécurité ANTICOLLISION,

. de la TELEMAINTENANCE, du SIMULATEUR, de la TELEEXPERTISE, etc.


Les huit (8) circuits électroniques de contrôle, de commande, de puissance, d’asservissement, de la fonction logique ou de la logique de fonctionnement, de télécommunication, de bus, d’Electrobus, de wi-fi, de capteurs, d’accessoires, etc.



L’INVENTION ET L’ŒUVRE D’ART DE LEGROS DU SYSTEME INTERVECTEUR


La formation, la recherche et les publications de l’auteur inventeur Legros

M. Legros a été initié aux mathématiques modernes en 1965 portant sur la théorie des ensembles. Il apprenait en 1967 les sciences naturelles, la physique, la chimie, la technologie, le dessin industriel. En 1969, il étudiait, pratiquait l’électrotechnique, la mécanique, la logique, l’électronique, l’automatique et la mesure physique.


Professionnel, il est intervenu, dès 1971, en étude, fabrication, maintenance et certification électronique analogique numérique et de puissance sur les installations, les systèmes, les calculateurs et les télécommunications. En France, à l’exportation, il a exercé dans l’industrie de production aérospatiale, navale, militaire, électrique, thermique, nucléaire, automobile, ferroviaire et informatique.


M. Legros a publié son ouvrage sur les Grands Systèmes Informatiques en 1981-1982. Il a étudié l’intelligence artificielle, les systèmes experts, les bases de données, le langage et les applications. Il a créé l’instruction logique « cas » originale, nouvelle, publiée sur le listing de son logiciel, l’instruction est protégée sous le copyright 1984.


Expert des sciences et des techniques, suite à son domaine de recherche sur l’exploitation, l’intelligence, l’automatique des systèmes numériques 3D, il a créé en 1985 un système électronique d’exploitation, de télécommunication, de messages, de géolocalisation terrestre, satellitaire, de surveillance, de navigation, de sécurité anticollision pour les mobiles évoluant en mode manuel, semi automatique ou automatique dans le plan ou l’espace.


L’invention inclut l’œuvre d’art scientifique, technique de la branche mathématique physique du calcul intervectoriel. Cette branche est inconnue des ingénieurs, des physiciens, des mathématiciens et de l’industrie.


Il est le seul à avoir investi sur ce projet scientifique, pluridisciplinaire, polytechnique d’une telle importance, à produire directement un résultat probant dans l’industrie et dans le monde. De la publicité nationale, internationale, il n’y a pas de publication antérieure opposée à son invention et à son œuvre d’art du système Intervecteur.


De la recherche documentaire et encyclopédique de l’auteur inventeur, l’invention est nouvelle. L’œuvre d’art scientifique Métamathématique physique de la branche du calcul intervectoriel est tout aussi originale, nouvelle. Les premiers écrits, applications de mathématique ayant probablement plus de 6000 ans.


La demande de brevet d’invention comprenant une œuvre de l’esprit

notamment de logiciel, d’information, de plans et d’architecture

M. Legros inventeur a fait une demande pour un brevet d’invention au titre de la description de l’invention Système de sécurité anticollision pour les mobiles ; auteur, il a également inclus aux écritures de la description une œuvre de l’esprit nécessaire au fonctionnement et à l’exploitation de l’invention.


Les œuvres de l’esprit ne sont pas brevetables, notamment les théories scientifiques, les méthodes mathématiques, les plans, les présentations d’informations, les logiciels, les créations esthétiques, les cartes de géographie, de topographie, l’architecture, mais sont protégées indépendamment de l’invention par le droit d’auteur - articles L111-1, L112-2 et L611-10 du Code de la propriété intellectuelle.


De la publicité nationale internationale de la demande pour un brevet d’invention, l’œuvre d’art intégrale ou partielle, originale nouvelle, directement identifiable par le lecteur est protégée par des droits d’auteur.


De l’œuvre d’art de Legros du Système Intervecteur « Sont considérés être œuvres de l’esprit notamment : les écrits littéraires, scientifiques, artistiques, la Méta-mathématique physique, les instructions de la résolution intervectorielle, le code logiciel, les informations alphanumériques, la base de données, les circuits électroniques et les capteurs caractérisés, le télémultipointeurs ou pad ou tactile, la sculpture et le codage du signal Sigma L (sL), la synchronisation universelle T0, l’accélération rectiligne, circulaire de puissance n (g,wL)n, le bus système, les réseaux de la télécommunication tdma, cdma, fdma, mdma locale wi-fi ou distante, les plans et les dessins, les écrans de vision, de détection, de résolution, d’activation, d’application, la lecture, l’impression plane spatiale 2/3D, la topographie, la géolocalisation, la distance et le temps T(a) d’attente, d’approche ou d’arrivée, la correction de l’erreur spatio-temporelle différentielle infinitésimale delta (e, d, tD), les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, le pilote manuel, semi-automatique, automatique ou autonome, l’architecture du système et de la systémique des systèmes, la liaison Internet, et la liaison montante descendante vers les satellites ». - article L112-1 du Code de la propriété intellectuelle.



L’EXPERTISE TECHNIQUE DE L’AUTEUR INVENTEUR


Les deux rapports de recherche internationale de l’INPI de Paris France, de l’OEB de Munich Allemagne soumis à M. Legros le déposant, le demandeur et l’inventeur citent quatre antériorités particulièrement pertinentes classées (X).


M. Legros a étudié les quatre brevets cités. Ils utilisent également un circuit d’émission, un circuit de réception, un moyen de contrôle, de commande du mobile, du véhicule ou de l’engin. Les modes de télécommunication, de fonctionnement sont décrits. La visualisation est précisée, l’information traitée est précisée, décrite. Les applications dans l’industrie sont l’objet de revendications de ces brevets.


L’expertise technique réalisée par M. Legros inventeur auteur conclut que les brevets cités ne constituent aucune antériorité à son invention électronique et de télécommunication, à son code logiciel ; bien que l’avertisseur sonore, visuel, la régulation ou l’anticollision soient décrits aux dispositifs.


La combinaison ou l’association des moyens aux quatre documents cités ne permet pas d’exécuter l’invention de M. Legros, son système d’exploitation, d’information, de télécommunication, les résolutions et les applications intervectorielles de mobiles évoluant  les uns par rapport aux autres dans le plan ou l’espace.


Par exemple, ces brevets cités ne permettent pas la fabrication, l’exploitation du dispositif au brevet français FR 2 586 845 des AIS (Automatique Identification Système) pour la navigation maritime mondiale, l’anticollision et le navire autonome.


Ecrire le contraire, c’est fournir, diffuser une fausse information scientifique, industrielle, civile et militaire ; ce qui constitue une violation du Code de la propriété intellectuelle, des atteintes aux biens, à l’entreprise et des infractions pénales.


Ces brevets ne comportent pas le système d’exploitation, d’information, de télécom-munication électronique du brevet de M. Legros, ainsi que l’information originale nouvelle, les séquences animées d’images audiovisuelles ou cinématographiques, la géolocalisation différentielle satellitaire continue en boucle ou inertielle, le pilote manuel, semi-automatique, automatique ou autonome, la navigation des mobiles, la sécurité anticollision dans le plan ou l’espace. –> Titres de Propriété  


Les technologies exploitées, les normes nationales, internationales publiées, les brevets, les publications ne permettent pas d’exécuter l’invention et l’œuvre d’art de Legros du Système Intervecteur qui possède un grand nombre de principes, de particularités, de nouveautés et une intelligence intervectorielle essentielle Méta-mathématique physique qui n’existaient pas au jour du dépôt - brevet FR 2 586 845.


Précisons que la technologie numérique de Legros du Système Intervecteur c’est 99,99% des systèmes exploités, intégrés à l’économie mondiale pour près d’un tiers significatif qui est estimé à environ 25000 milliards de dollars annuels en 2019. Ce montant intégrera la croissance des marchés du système numérique interconnecté, autonome, normalisé. Les chiffres publiés du PIB produit par les grandes puissances économiques confirment la tendance, l’importance du numérique dans le monde.



LA LOI SUR LES BREVETS D’INVENTION ET SUR LE DROIT D’AUTEUR


La demande de brevet ne peut concerner qu'une invention ou une pluralité d'inventions liées entre elles de telle sorte qu'elles ne forment qu'un seul concept inventif général précisé article L612-4 du Code de la Propriété Intellectuelle CPI.


L’invention de M. Bernard René Paul Legros concernent une pluralité d’inventions liées entre elles et ne forment qu'un seul concept inventif général. Les circuits électroniques de 1 à 8 du brevet FR 2 586 845 sont nouveaux. L’œuvre d’art incluse considérée comme œuvre de l’esprit est également originale, nouvelle, en la date du dépôt légal protégée par le droit d’auteur ou le copyright.


M. Legros a baptisé l’invention électronique et de télécommunication d’un nom scientifique se rapportant au domaine technique traité du Système Intervecteur. L’invention est exploitée dans tout genre d’industrie, ainsi que l’œuvre de l’esprit sous le droit d’auteur.


L’œuvre d’art se compose de la résolution ou de la capacité du système à résoudre ou l’intelligence intervectorielle (artificielle), d’une description scientifique, littéraire, artistique du fonctionnement du système, d’instructions, d’informations, de séquences audiovisuelles cinématographiques, du code logiciel, de dessins, de plans, de l’architecture du système et de la systémique des systèmes et des satellites.


M. Legros est l’auteur, l’inventeur, le déposant, le titulaire et le propriétaire des brevets FR 2 586 845 et des droits d’auteur. Il dispose d’un droit de paternité qui lui est perpétuel sur l’invention, sur l’œuvre d’art du Système Intervecteur. Il a également créé la branche Métamathématique physique du calcul intervectoriel au 27-08-1985.


L’œuvre d’art du Système Intervecteur est indispensable, intégrée à l’invention électronique et de télécommunication pour sa marche, son fonctionnement, son codage, son décodage, sa connexion, sa diffusion sur l’Internet, et vers les satellites.


L’œuvre d’art du Système Intervecteur est payante par des redevances réglées à son propriétaire et à l’exportation. De par la loi, l’œuvre d’art est protégée, non autorisée sans le consentement personnel donné par écrit de son auteur et propriétaire.


L’automobile automatique de Legros ou la voiture autonome a 35 ans. La licence du brevet et du droit d’auteur en la date du dépôt prioritaire ou légal est obligatoire.



L’AVIS DOCUMENTAIRE DU BREVET FR 2 586 845


Le droit perpétuel d’inventeur de M. Legros  

Conformément  au Code de la Propriété Intellectuelle CPI sur les brevets d’invention, l’invention de M. Legros est exposée de façon suffisamment claire et complète pour qu’un homme du métier ou un collège d’hommes du métier puisse l’exécuter.


Les revendications définissent l’objet de la protection demandée. Elles sont claires et concises et se fondent sur la description. L'étendue de la protection conférée par le brevet est déterminée par les revendications. Toutefois, la description et les dessins servent à interpréter les revendications.


L’invention de Legros nouvelle, impliquant une activité inventive et susceptible d’application dans tout genre d’industrie, y compris dans l’agriculture est brevetable. L’avis documentaire délivré par l’INPI prononce qu’il n’y a aucune revendication citée à l’encontre de ces revendications de 1 à 10.


Le titre officiel de propriété de brevet d’invention français a été délivré à son titulaire M. Bernard Legros par l’autorité de l’Etat pour un droit exclusif d’exploitation - articles L611-1, L611-10, L611-11, L611-14, L611-15, L612-5, L612-6 et L612-17 du Code de la propriété intellectuelle.


L’œuvre de l’esprit incluse nécessaire au fonctionnement et à l’exploitation de l’invention est non autorisée et protégée indépendamment par la loi sur le droit d’auteur - articles L111-1, L112-2 et L611-10 du Code de la propriété intellectuelle.


Le droit d’auteur perpétuel de M. Legros

De la publicité nationale internationale de la demande pour un brevet d’invention au numéro d’enregistrement 85 12 780, l’œuvre de l’esprit incluse intégrale ou partielle est protégée par le droit d’auteur ou le copyright au jour du dépôt officiel ou le dépôt légal le 27-08-1985.


L’œuvre de l’esprit indépendamment du brevet FR 2 586 845 est sous le droit d’auteur - articles L111-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Les brevets d’invention nationaux et l’œuvre d’art de Legros  

De la publicité, il n’y pas eu d’opposition de tiers au brevet FR 2 586 845 dans le délai fixé par la loi. Le titre de propriété de brevet d’invention a été délivré en Espagne (1988), au Canada (1990).


Aucun document pertinent de description d’un système électronique, d’instructions, de code logiciel, d’information, de télécommunication, de plans, de dessins, d’architecture ou d’application n’a été opposé à M. Legros décrivant son invention complète, son œuvre d’art intégrale ou partielle, ses applications du Système Intervecteur. Il n’y a pas de document opposable depuis trente cinq années (35 ans).


Pour se soustraire au droit de la propriété intellectuelle portant sur les brevets d’invention et sur le droit d’auteur de M. Bernard René Paul Legros l’unique propriétaire ou pour s’opposer à sa paternité, la rendre nulle, il faut présenter l’antériorité de l’invention complète ou de l’œuvre d’art intégrale en la date du dépôt officiel enregistré à l’INPI Institut National de la Propriété Industrielle de Paris.



LE BREVET DE M. LEGROS STRUCTURANT AU PLAN EUROPEEN ET MONDIAL


Lorsque M. Legros a fait sa demande pour un brevet d’invention, il n’y avait pas de projets, de systèmes électroniques ou de plans de sa technologie numérique du Système Intervecteur pour l’exploitation et la sécurité anticollision des mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt évoluant les uns par rapport aux autres dans le plan ou l’espace. La publicité nationale, internationale du titre de propriété délivré comporte dix (10) revendications au brevet FR 2 586 845 le 27-08-1985.


Il est indiscutable que le Système Intervecteur scientifique, technologique a été déterminant quant à sa faisabilité, structurant pour l’orientation de nouveaux projets français en 1986, européens en 1995, 2000, pour le nouveau système d’exploitation électronique complet proposé essentiellement par M. Legros dans l’industrie, le transport, la gestion du trafic terrestre, ferroviaire, routier, maritime, fluvial, aérien, dans les télécommunications et l’espace.


Du brevet de M. Legros valide ou produisant ses effets, il y a eu une prise de conscience de ses potentialités économiques énormes. Le Système Intervecteur d’exploitation, d’information en temps réel, de navigation, de pilote, de sécurité anticollision des mobiles s’impose de ses avantages techniques, économiques.


L’Europe de l’industrie, du transport terrestre, routier, ferroviaire, maritime, aérien, de l’énergie, des télécommunications et de l’espace n’était pas du tout structurée au sein de la CE Communauté Européenne. La structure économique industrielle de ces secteurs d’activités quasiment inexistante s’est bien développée aux années de 1995 à 2000 avec l’élargissement de l’Europe.


Dans la perspective de l’ouverture de nouveaux marchés et de l’économie numérique naissante, des directions générales ont été créées à Bruxelles pour accompagner ces projets, ces systèmes électroniques d’exploitation, de télécommunication et de l’espace par la publication de normes et de directives européennes. En France, pour appliquer cette technologie de Legros nous avons des arrêtés et des décrets publiés.


Les projets des entreprises du secteur automobile, l’Electrobus, le contrôle, la navigation ; ferroviaire, ERTMS /ETCS ; maritime, les AIS ; aéronautique d’Eurocontrol ; de l’espace Galiléo ; de la télécommunications fixe, mobile exploitent cette technologie de M. Legros en nette rupture avec l’art antérieur.


L’art antérieur de la technique

Des difficultés, des limites se sont présentées aux projets étudiés ou exploités, notamment pour le prototype de métro Aramis RATP, MATRA ; le train pendulaire SNCF ; l’aérotrain SNCF ; le radar Thomson-CSF ; le système de sécurité anticollision ferroviaire SNCF, Alstom ; le Minitel, le réseau Transpac, le GSM PTT, France Télécom ; le combiné téléphonique MATRA, ALCATEL, Thomson ; l’écran informatique à tube cathodique Thomson ; le système d’information SNCF, RATP, Paris Aéroport ; la balise Argos CNES, NASA ; l’Operating system ou le système d’exploitation des ordinateurs Bull ; les parcmètres des municipalités. Ces produits ont été abandonnés, en échec, sont différents, moins performants ou retirés du commerce.


Inimaginable en 1985, les systèmes d’information en temps réel, de navigation à l’écran et sur zone, de pilote automatique, de télécommunication, de télégestion sont exploités dans le monde entier. Les mobiles de terre, route, rail, de mer, de l’air et de l’espace sont autonomes, munis de l’intelligence intervectorielle (artificielle) du brevet FR 2 586 845 et de l’œuvre de l’esprit incluse au jour du dépôt légal.


La voiture autonome brevetée et l’exclusivité des droits d’auteur

Le brevet de M. Legros avec ses huit (8) circuits électroniques, son intelligence intervectorielle à bord de la voiture, son enveloppe de protection anticollision, ses réseaux de télécommunication interconnectés, sa géolocalisation, sa signalisation, sa modélisation, ses règles du Code de la route embarqué est revendiqué pour le véhicule autonome.


De la publicité nationale, internationale, la paternité de l’invention au brevet français FR 2 586 845 le 27 août 1985 et des droits d’auteur ou du copyright pour le véhicule autonome produit ses effets depuis 35 années (1985-2019).  


Automobile et véhicule autonome © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays


Le brevet de Legros en partie exploité des AIS et son code logiciel exclusif

C’est ce brevet structurant de M. Legros des AIS Automatique Identification Système intégrant ses droits d’auteur qui a été sélectionné, imposé pour la navigation maritime mondiale par une directive de l’OMI Organisation Maritime Internationale et des recommandations de l’UIT Union Internationale des Télécommunications.


Le brevet FR 2 586 845 et les droits d’auteur de M. Legros le 27 août 1985 de l’AIS imposé de la directive Rés. A.917(22) le 1er juillet 2002 et de directives annexes OMI intègre notamment le GNSS Global Navigation Satellites System ; le GMDSS Global Maritime Distress Safety System ; l’ECDIS Electronic Chart Display and Information System ; le VDR Voyage Data Recorder (boîte noire géolocalisée) ; l’ARPA Automatic Radar Plotting Aid ; le temps T Alpha (Ta) d’approche, d’arrivée ou d’attente ; les réseaux de télécommunication tdma, cdma, fdma, mixte mdma ; l’anticollision ou l’antiabordage ; l’antiéchouage ; le SMS Short Messages Service ; l’information de navigation, les séquences animées d’images audiovisuelles ou cinématographiques ; la liaison Internet ; la liaison montante descendante vers les satellites.


Le navire à pilote manuel, semi-automatique ou automatique ou le navire autonome est breveté et protégé par des droits d’auteur. La technologie présentée par M. Legros au CETMEF à Brest était visiblement inconcevable des marins et des gens de la mer aux années 2000. Son système électronique est exploité aujourd’hui à bord des navires. Le navire autonome est l’objet en 2019 de publication de l’OMI.


AIS et navire autonome © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays


La constellation de Legros de satellites de géolocalisation brevetée

Le Système électronique d’exploitation, de télécommunication, de positionnement intervectoriel ou de lancement nécessaire au fonctionnement de l’invention de géo-localisation, de navigation, de sécurité anticollision spatiale pour tous les (Ɐ) mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt est revendiqué aux dix (10) revendications du brevet.

 

Entre 1998 et 2001, l'Union européenne a pris la décision de construire son système de positionnement par satellites à vocation commerciale (GNSS - Système Global de Navigation par Satellites). La concession a été attribuée à un consortium d’entreprises européennes. En 2007, l’ASE Agence Spatiale Européenne coordonne le projet.


Le Système européen d’exploitation des satellites baptisé Galiléo* exploite la technologie du brevet français FR 2 586 845 et de l’œuvre de l’esprit  en intégralité ou en partie scientifique Métamathématique physique, électronique, du code logiciel, d’architecture système et systémique des systèmes. Il s’agit alors de la constellation au nom de M. Legros brevetée et protégée par des droits d’auteur.


(*) Galileo Galilei (1564-1642) est un savant célèbre, mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien qui confronté à l’inquisition a évité le bûcher du fait de ses publications du système solaire.


Rappelons brièvement les caractéristiques essentielles du Système Intervecteur électronique de Legros ; la synchronisation universelle (T0) de tous les (Ɐ) systèmes ; le signal Sigma (sL) codé, impénétrable ; les réseaux de télécommunication ; le coefficient d’accélération rectiligne circulaire gamma oméga de puissance n (g,wL)n ; l’architecture du système, de la systémique des systèmes ; le code logiciel numérique ; la mesure du vecteur électromagnétique de distance ; la résolution intervectorielle différentielle infinitésimale en continu et inertielle ; l’identification des satellites ; la correction des erreurs spatio-temporelles (e,d,TD) ; les fonctionnalités et les applications du système.


Constellation de satellites de positionnement © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays



L’AUTEUR INVENTEUR INDEPENDANT D’UN PROJET STRUCTURANT


La haute nano pico technologie de M. Legros électronique, électrotechnique, électrique, mécanique, de télécommunication, d’instrumentation, du code logiciel numérique de la résolution intervectorielle du système complexe fonctionne telle qu’il l’a décrite au jour du dépôt.


La technologie est sur les 99,99% des systèmes exploités dans le monde. Le Système Intervecteur, c’est environ 100 milliards d’équipements ou de matériels ou d’applications en totalité ou en partie reproduits, remplacés, exploités depuis 1985.


Au regard de l’art antéreur développé, exploité à l’échelle industrielle mondiale, le brevet de M. Legros a été fédérateur, a déclenché une adhésion pour la technologie originale nouvelle de publicité nationale internationale.


De la force de persuasion de l’auteur inventeur, de sa représentation, de sa communication publique, technique commerciale, des directions se sont mobilisées pour l’exploitation des applications qu’il est le seul à revendiquer aux dix (10) revendications de son brevet.


Il n’y a que le brevet FR 2 586 845 le 27-08-1985 qui traite ce sujet de différents secteurs économiques en un même document pour diverses situations d’exploitation industrielle terrestre, routière, ferroviaire, maritime, aérienne, spatiale, informatique et de télécommunication.


La description ou le plan de la création de M. Legros auteur inventeur indépendant n’existe pas dans l’industrie.  De toutes les publications et recherches, personne d’autre que lui n’avait cette compétence pour imaginer, décrire l’économie numérique du 21ème siècle que nous avons et constatons aujourd’hui.


Le sujet réel de la recherche de M. Legros (1969-1985) n’était pas dans les esprits, les imaginations, les projets, les projections cinématographiques ou le film. Les résistances, les oppositions, les incrédulités ont été écrites, commentées, débattues en société sans la connaissance ou le savoir, se sont dressées contre le dérangement d’habitudes et le bouleversement de la création.


M. Legros avait la rare et l’entière connaissance des systèmes, de leur capacité et limite, de leur différent mode d’exploitation industrielle de sa formation, de son chemin parcouru, et de l’avantage qu’il pouvait tirer de son apport scientifique technologique.  


Nous pouvons affirmer que le brevet de M. Legros du Système Intervecteur, de la systémique des systèmes est en nette rupture avec l’art antérieur. Le brevet alors valide a été déterminant, structurant dans l’économie, de son concept inventif général, de sa science Métamathématique physique, de son intelligence intervectorielle, de son architecture, de ses fonctionnalités et de ses applications.  



UNE ŒUVRE DE L’ESPRIT PROTEGEE PAR LA LOI SUR LE DROIT D’AUTEUR


M. Legros a également fait, en la date de priorité, un dépôt officiel international enregistré auprès de l’OMPI Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle de Genève Suisse, organisation des Nations unis de New York USA.


La publicité du brevet français Legros FR 2 586 845 au 27-08-1985

De la publicité nationale, internationale de M. Legros, la source de l’invention, de l’œuvre d’art, du droit d’auteur ou du copyright est consultable auprès de l’INPI de Paris France, de l’OEB de Munich Allemagne, du Registre de la propriété industrielle de Madrid Espagne, du Bureau des brevets canadiens Ottawa Canada, du PCT (aux pays désignés) de Washington USA, de l’USPTO de Washington USA, de l’OMPI de Genève Suisse



SYSTEME LEGROS™ 1985 APPELLATION D’ORIGINE

Système Intervecteur © Bernard Legros 1985

Dépôt de priorité au n° d’enregistrement 85 12780

au n° de publication 2 586 845 (FR)

Le 27 août 1985 à 15 heures INPI de Paris France

Dépôt en Espagne et dépôt au Canada

Dépôt PCT Patent Cooperation Traity aux pays désignés

Dépôt légal national international

Tous droits de propriété réservés pour tous pays

Le plan ci-dessus présente l’implantation des matériels électroniques en embarqué, en 1 Antenne, -  2 Pupitre de contrôle commande avec la boucle électronique en continu, -  3 Armoire du système de la locomotive, - 4 Capteurs. Le gabarit du train dans le tunnel est précisé, ainsi que les normes ferroviaires appliquées en 1985.



LES PRODUITS ERTMS / ETCS ET DE TELECOMMUNICATION FERROVIAIRE

En 1992, 1995 ont été étudiés en Europe par la Direction Générale des Transports DG-VII, les projets ERTMS European Rail Traffic Management System / ETCS European Train Control System. En 2010, la nouvelle direction était la Direction Générale Energie Transport DG-TREN.

Suivant les conseils de M. Legros, ainsi qu’aux écritures de son brevet, de son œuvre d’art, de son Système Intervecteur, les équipements ferroviaires sont implantés, gérés, exploités avec les compétences requises d’industriels par phase de construction et niveau d’application.

M. Legros a rencontré, dès 1985, les industriels du ferroviaire, des télécom-munications, les équipementiers et les fournisseurs de câbles ayant un savoir-faire partiel de son invention système de sécurité anticollision ferroviaire. Son projet d’application ferroviaire a été développé, puis chiffré pour l’exploitant SNCF.


L’industrie de l’électrotechnique, de l’électronique, des télécommunications, de l’informatique et du logiciel ne sont pas les métiers de la SNCF et de la RATP. Ces établissements EPIC sont des exploitants de systèmes ferroviaires, des donneurs d’ordre qui participent de leur fabrication, intégration et certification.


D’un projet relevant de l’exploitation, de l’ingénierie ferroviaires, M. Legros avait préconisé la création d’un GIE Groupement d’Intérêt Economique. Le GIEE européen ERTMS a été créé à Bruxelles en 1992-1995.

Ces systèmes ERTMS / ETCS utilisent les réseaux Legros. Le GSM-R
(rail) est le réseau Legros synchronisé tdma vu au § précédent. Rappelons que le bus, la Wi-Fi, les réseaux de télécommunication synchronisés, codés tdma, cdma, fdma, mixte mdma installés sur la rame sont originaux, nouveaux, protégés par le droit d’auteur.


Ces réseaux de télécommunication dans le ferroviaire sont installés pour la signalisation, la régulation, le contrôle des trains sans l’accord de l’auteur inventeur, sans la licence d’exploitation. Au brevet de Legros, les huit circuits électroniques (8) du système incluant le modem et les réseaux de télécommunication sont revendiqués pour résoudre la navigation électronique, la régulation, le rapprochement des rames, l’accrochage, l’anticollision. Le Système Intervecteur ferroviaire a une résolution intervectorielle et une référence terrestre par balises, spatiale par satellites.


Au brevet français FR 2 586 845, la gestion ou le management du trafic et le contrôle des trains se trouvent de cette façon exploités. Le brevet précise la résolution de l’information intervectorielle, spatio-temporelle, originale, nouvelle, notamment du temps T Alpha (Ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche de la rame, son départ, sa destination, la distance totale, la distance parcourue ou à parcourir.


La technologie de télécommunication de Legros, ses réseaux, son bus et sa Wi-Fi est installée, exploitée en temps réel, en temps différé pour le système d’information ferroviaire électronique automatique numérique, la diffusion des messages à bord du train, de la rame en embarqué, dans les gares, les stations, aux guichets de la billetterie, au central.


L’emploi de normes avec les différentes parties concernées est bien précisé pour la connexion en émission, réception entre les réseaux privé, public de la SNCF, des PTT (France Télécom, Orange, etc…). Les réseaux de télécommunication, le modem de Legros du brevet sont bien exploités par la SNCF, tout aussi connectés aux réseaux des opérateurs de la téléphonie fixe, mobile, à l’international, et vers les satellites.



L’ENTREPRISE DE L’INVENTEUR AUPRES DES DONNEURS D’ORDRE

M. Legros a rencontré les bons interlocuteurs de la SNCF en 1985. Il a présenté son invention qui n’était pas encore brevetée. Il a assuré une correspondance notamment avec la présidence, les directions générales, les directions des services de la recherche, du matériel roulant, du matériel voie et des télécommunications.


Il a communiqué ses informations financières, en date du 29 novembre 1985, en fonction d’une application pour le coût total des équipements sur le réseau ferroviaire français évalué à 1500 MF (millions de francs). Le service de la recherche de la SNCF calculait cet ordre de grandeur de l’investissement engagé pour la sécurité ferroviaire.


M. Legros a estimé son projet pour 500 locomotives et 6000 km de voies à 120 MF (millions de francs). Le coût de ce projet représentait 0,26% du chiffre d’affaires d’environ 46 milliards de francs de la SNCF et 1,39% de ses investissements annuels.


Rappelons qu’aux années de 1970, 1980, la SNCF, la RATP, le ferroviaire n’utilisaient pas ou peu l’électronique embarquée à bord des trains et sur l’infrastructure des voies. Les normes SNCF pour l’emploi de composants électroniques n’existaient pas.


Les systèmes fonctionnaient avec la technologie du circuit électrique de voie, de brosse crocodile, de pédale à contact, de relais électromécanique, de dispositif mécanique, hydraulique, pneumatique. Ces matériels contrôlaient les moteurs et les freins des locomotives, la signalisation pour la régulation du trafic.


M. Legros praticien des techniques et du commerce a rencontré les directions, les services de ces entreprises, soit plus de cinquante ingénieurs. Il avait une expertise technique des systèmes complexes numériques à calculateur. Il pratiquait dans l’industrie aéronautique, navale, ferroviaire, électronique, informatique depuis 1971. Pluridisciplinaire, il avait une connaissance approfondie des modes de fabrication, d’exploitation, d’intervention, de maintenance des systèmes exploités dans le monde.


De son forcing d’entrepreneur M. Legros a bien vendu son invention du système électronique d’exploitation, de télécommunication et de navigation spatiale puisqu’elle a été retenue au plan mondial pour son exploitation. Les brevets français nationaux de la famille FR 2 586 845 ne sont pas tombés en désuétude, ils sont exploités.


L’invention proposée ne pouvait pas être comprise dans toutes ses dimensions de ses interlocuteurs qui appartenaient chacun à un métier ou à un service spécifique. Ils pratiquaient une technologie empirique qu’ils écrivaient être éprouvée et donner entière satisfaction, tout en rejetant le système nouveau incontournable.


C’est le sommet de l’art qui a été présenté aux entreprises SNCF, RATP, aux industriels et qui a révolutionné tous les concepts de fabrication, d’exploitation, d’intervention, de maintenance que nous connaissons aujourd’hui. L’application ferroviaire spatiale et de télécommunication du brevet a été étudiée. Des sociétés, des directions de la CE ont été créées pour son exploitation en France, en Europe.


De l’expérience, de l’avance technologique du brevet français FR 2 586 845 dans le ferroviaire, il aurait dû être décidé en haut lieu d’équiper toutes les lignes et toutes les rames de TGV de la SNCF de son système pour la surveillance du trafic, la navigation, la sécurité anticollision à l’identique de l’exploitation maritime du dispositif des AIS (*) qui se généralise à toutes les embarcations sur mer, fleuve et rivière.


(*) L’application maritime du brevet Legros FR 2 586 845 du dispositif des AIS

L’exploitation du brevet de M. Legros dans le maritime, à une échelle mondiale, a bien été imposée de la directive rés. A.917(22) des AIS (Automatique Identification Système) pour la surveillance du trafic, la navigation et la sécurité anticollision le 1er juillet 2002 par l’Organisation Maritime International OMI de Londres.


A son premier jour, l’exploitation du brevet du Système Intervecteur, l’œuvre d’art incluse a produit un avantage technique à l’entreprise SNCF, un chiffre d’affaires conséquent, la sécurité, le confort et une rentabilité économique notable.


La technologie de Legros du Système Intervecteur d’exploitation, d’information, de navigation, de sécurité anticollision et de télécommunication depuis plus de trente années n’est toujours pas opposée à des systèmes concurrents présentant un meilleur avantage (1985-2017).


M. Legros détient un droit exclusif sur l’exploitation de sa propriété intellectuelle, sur son invention, son brevet, ses droits d’auteur ou copyright en la date du dépôt légal. Les redevances sont dues par l’Etablissement EPIC SNCF pour toute exploitation. La mention du copyright doit être apposée conformément à la loi du Code de la propriété intellectuelle et à la Convention universelle sur le doit d’auteur.


Système Intervecteur rail route © Bernard Legros

Tous droits de propriété réservés pour tous pays



L’ETAT DE LA TECHNIQUE AUTOMOBILE AU 27-08-1985


Il n’y a pas l’électronique embarquée de Legros sur les modèles en 1985. La technologie est mécanique, électrique, électromécanique, hydraulique et pneumatique.


Au schéma ci-dessous les fonctions et les circuits sont indépendants,  les uns des autres, il n’y a pas la liaison bus, le Système  Intervecteur et son Calculateur CI 3D.



Le principe de la technologie automobile au jour du dépôt ou l’existant

  © Le Système Intervecteur implantation matériels électroniques en embarqué      antenne, pupitre, armoire, capteurs et le gabarit du train en tunnel Legros 1985

L’application spatiale du brevet français FR 2 586 845 est utilisée pour la mise à poste des satellites, pour les télécommunications et pour produire la position spatiale. Les satellites ou les balises satellitaires, terrestres et maritimes servent de référence pour la navigation.


L’instrumentation de position est spatiale, différentielle, continue et infinitésimale des groupes d’équations de la branche mathématique du calcul intervectoriel.


Le calcul intervectoriel résout de son système électronique et de télécommunication la navigation routière et ferroviaire. La position des automobiles et des trains est reproduite dans l’environnement dans lequel les mobiles évoluent.


L’environnement géographique, topographique, spatial, la position des véhicules et des trains sur la zone sont reproduits sur l’écran de navigation de la planche de bord du pilote. Cette représentation ou reproduction ou diffusion est originale et nouvelle.


Le Système Intervecteur est revendiqué équipé pour résoudre sur n’importe quel porteur mobile humain ou animal, ou mobile terrestre, maritime, aérien ou spatial.



L’AUTOMOBILE ET LA NAVIGATION DE LEGROS SOUS LE COPYRIGHT

- La télécommunication, la navigation et la voiture automatique de Legros


L’œuvre d’art de Legros de l’instruction de l’intersection vectorielle ou de l’Intervecteur, les groupes d’équations mathématiques physiques sont fondamentales, essentielles, indispensables pour le fonctionnement électronique de la voiture  en mode manuel, semi ou automatique. La propulsion est thermique, électrique ou hybride.


L’instruction scientifique mathématique physique de l’intersection vectorielle et d’application, intégrale ou partielle, est exploitée par la voiture pour la navigation, l’identification, la régulation du trafic, le rapprochement et l’anticollision.


Les instructions intervectorielles sont originales, nouvelles sur le support physique de l’invention de Legros (hardware) pour son exploitation système ou systémique, ainsi que pour le logiciel Legros (software).


Le système d’information de l’automobile diffuse en embarqué l’information électronique automatique numérique ou les séquences audiovisuelles ou le film, ou par satellite, ou par l’Internet, sur l‘écran.



Ecran information navigation routière ferroviaire © Bernard Legros 1985

Tous droits de propriété réservés pour tous pays

x21

x15

x08

   Constellation Legros intervectorielle de satellites            …            2A…            ou balises spatiales



Famille des brevets nationaux FR 2 586 845 date de dépôt le 27-08-1985

Système d’exploitation spatial d’information, de navigation, d’anticollision Intervecteur


  Copyright © Bernard Legros 1985

x2                         Système Legros Intervecteur

système d’exploitation mathématique bus télémultipointeurs écran

8/P

2/E

4/M

5/D

6/CI

7/D

3/R

1/A

Réseau 2A de télécommunication Legros tdma, cdma, fdma, mixte mdma



xn+1

embarqué

sur mobile,

en local,

station,

central

huit(8) circuits électroniques en mode embarqué ou localisé


bus Legros du système Intervecteur

x1 référence terrestre,signal Sigma L (sL) synchronisé t0

codé (0,1,n)

gamma L (g,wL)

  © Ecran télé multipointeurs ou pad, station trafic routier, identification, localisation GPS, radars
   système Intervecteur spatial bus wi-fi réseaux tdma cdma fdma et mdma Bernard  Legros  1985
 © Ecran télé multipointeurs ou pad, station trafic routier, identification, localisation GPS, radars
  système Intervecteur spatial bus wi-fi réseaux tdma cdma fdma et mdma Bernard  Legros  1985

Parking

Rue de Paris


Copyright©Bernard Legros 1985

Passage à niveau

Gare

ferroviaire

Poste de police

Hôpital CHR

Boulevard de Strasbourg


Horaire des trains de banlieue

TR 001 H 08 15

TR 010 H 09 25

Ecole

Collège

Lycée

PC Route

Zone 30 km/h

Propriété Intellectuelle


1/

Démarreur

Clé de contact

Blocage mécanique

2/

Pédale

Levier de vitesse

Boîte de vitesse

Embrayage


Carburateur

Synchronisation mécanique temps

allumage moteur

Accélérateur

Servofrein

Disque, tambour


Frein

Bendix

Bouton manette

3/

Capteur moteur



faisceau

circuit électrique

câble acier

circuit hydraulique

pneumatique


Commande


Température

Indicateur

Ventilateur

Calorstat

Indicateur

aiguille

digital


Distance

Compte-tours

Vitesse

Transmission


n mesures…


n indicateurs…


4/

Accessoires


Bouton, manette,

capteur

des accessoires


faisceau

circuit électrique

câble acier

circuit hydraulique

pneumatique


n commandes…


n accessoires…


Phare, clignotant, indicateur, essuie-glace, rétroviseur, klaxon, suspension, radio, GSM, …

Transmission

Commande

Fonction - circuit indépendant - commande directe sans contrôle électronique 1985

Etat de la technique automobile au 27-08-1985

Le système d’exploitation, de navigation de l’automobile au schéma électronique de principe figure 5 planche III/III du brevet français FR 2 586 845 est protégé par le droit d’auteur ou le copyright (œuvre d’art scientifique, cinématographique, audiovisuelle, topographique, géographique, photographique de l’Intervecteur). –> Titres de propriété   


LE SYSTEME DE TELECOMMUNICATION ET LE MODEM DE LEGROS
- Les réseaux de télécommunication, le modem L (automobiles, stations, PC)

L’Intervecteur résout la surveillance, la sécurité du trafic en un poste central et/ou en embarqué pour les xn-systèmes, la télécommunication intervectorielle, le gamma rectiligne (gL), le gamma circulaire (wL), est l’objet de normes nouvelles :

1. Réseau interne au système, composant, circuit intégré, processeur, bus CAN
    Controller Area Network des équipements et des accessoires,
2. Réseau externe de télécommunication tdma - time division multiple access,  
3. Réseau externe de télécommunication cdma - code division multiple access,
4. Réseau externe de télécommunication fdma - frequency division multiple access,
5. Réseau externe de télécommunication mdma - mix division multiple access,
6. Réseau Wi-Fi Wireless Fidelity de la voiture, navigation ou par satellite, ou par
    l’Internet, etc…  

Les huit (8) circuits électroniques originaux Legros comprennent le calculateur CI, l’interface, l’asservissement de l’automobile en mode manuel, semi ou automatique, le signal codé, synchronisé (sL), le modulateur-démodulateur modem, les émetteurs-récepteurs et les antennes.

- Publicité internationale de l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur au 27-08-1985.


LE SYSTEME DE SECURITE ROUTIERE ET DE NAVIGATION DE LEGROS
- L’électronique de la planche de bord de l’automobile, le bus et les réseaux

L’Intervecteur est un système de management du trafic, pour le suivi temps réel, en embarqué sur l’auto ou localisé au poste de contrôle et de surveillance de la route.

Le temps T Alpha (Ta) du brevet de Legros est le temps d’attente, d’approche ou d’arrivée à destination pour le conducteur de l’automobile et pour les voyageurs.

La modélisation du trafic et la résolution de l’Intervecteur diffusent les messages de navigation sur écran. L’Intervecteur est utilisé pour la gestion du trafic, pour les messages de navigation, l’expertise, la télé expertise, le diagnostic, ou en mode simulateur.

Le multipointeurs ou télé multipointeurs Wi-FI ou le pad activent le synoptique, les écrans, les données modélisées de l’environnement, la géographie vectorielle, les commandes sur la planche de bord pour la navigation routière.

Le système, le bus et les instructions du logiciel Legros Intervecteur contrôlent l’accélération, la trajectoire massique, volumétrique, la vitesse de la voiture, le freinage, l’antiblocage, la vitesse V tend vers le zéro (0), et l’antipatinage.

L’Intervecteur traite et contrôle le programme numérique et les données de la voiture. La trajectoire est asservie en 3D. Le système est un générateur de programmes activé par le pilote pour une application répétitive du mouvement ou de la trajectoire.

Le système Intervecteur spatial gère xn-automobiles, les conflits de navigation, les risques d’accidents. L’anticollision ou les alarmes sont activées en cas d’erreur humaine, d’erreur technique, et les ordres sont transmis. Les zones sont activées par l’instruction Legros CAS (1984). - voir les exemples au § ci-après de 1 à 5.

Le mouvement des xn-voitures est entièrement défini et résolu par le système Intervecteur. La résolution de l’intersection et de l’application de l’œuvre logiciel, intégrale ou partielle, est pour l’exploitation routière. Les instructions scientifiques intervectorielles spatiales sont nouvelles, originales, normalisées ISO, années 2000.


LE SYSTEME ET LE BUS INTERVECTEUR DE CONTRÔLE, DE COMMANDE
DU MOTEUR, DE LA TRAJECTOIRE ET DES ACCESSOIRES
- L’électronique, le contrôle, l’asservissement du moteur et de la voiture

C’est en 1958, sans connaître les publications ou les inventions d’époque, la nuit sur des routes de campagne argileuses et sinueuses que le jeune Legros, à bord, âgé de 5 ans, dit au chauffeur et aux passagers de l’automobile Citroën Traction ou Peugeot 203, que : - « l’optique des phares devrait être orientable avec le volant ou les roues de la voiture ».

En 1995, M. Legros dit dans un cercle privé que la JUVA 4 de marque Renault avec un design « regonflé » et des portes coulissantes deviendrait un nouveau modèle utilitaire et tout terrain. Il voyait en 1957-60 ce modèle JUVA 4 utilisé comme utilitaire, mais sans les portes coulissantes. Sa vue fut juste puisque le KANGOO, de type JUVA 4 de Renault, sortit en 1997, est un utilitaire à portes coulissantes vendu à 2 200 000 exemplaires. En 2019, le véhicule est commercialisé avec la technologie électronique.

Le système électronique Legros avec son bus pilote les capteurs d’optiques de phares circulaires, orientables, ainsi que leur puissance. En 1960-1970, c’est un câble d’acier et un mécanisme mécanique rudimentaire qui réalisaient cette fonction.

La voiture automatique de Legros sous contrôle intervectoriel est autonome.


LA VOITURE AUTOMATIQUE AUTONOME DE LEGROS A INTELLIGENCE
INTERVECTORIELLE EMBARQUEE BREVETEE ET SOUS LE COPYRIGHT

Dans le domaine des mobiles, des véhicules ou des engins mobiles, c’est le terme de télécommande qui était utilisé. Les premières voitures à conduite à distance des modèles réduits étaient à commande mécanique. Les voitures ont ensuite été pilotées avec une commande électronique ou une télécommande de direction et de vitesse.

La voiture de Legros avec la science Métamathématique physique, les groupes d’instructions, la planche de bord, le contrôle électronique, l’asservissement de puissance, le bus interne au système, l’électrobus externe des commandes et des accessoires, la Wi-Fi et la télécommunication est entièrement originale, nouvelle.

Les groupes d’instructions traitent de la position spatiale 3D de la voiture, du mouvement, de la trajectoire, de l’accélération, de la décélération infinitésimale vers 0, de la vitesse V, de l’interdépendances des mobiles et de l’environnement.

La navigation par satellites sur la zone, le pilotage automatique de la voiture, l’approche, l’anticollision sont développés dans différents environnements, routier, ferroviaire. La voiture à pilote manuel, semi-automatique, automatique ou la voiture autonome avec ses groupes d’instructions intervectorielles, ses informations, sa télécommunication, ses schémas électroniques est revendiquée pour sa fabrication et pour être directement fonctionnelle.

Le concept de la voiture autonome a été développé entièrement par M. Legros (1958-1985) pour être exploité avec des normes, des règles, l’intelligence intervectorielle embarquée, la modélisation, l’automodélisation vectorielle spatiale 3D, la vectorisation ou l’intervectorisation. La voiture génère son propre code logiciel numérique, c’est un générateur de programmes.

L’intelligence intervectorielle traite du calcul intervectoriel, de l’intersection de vecteurs, du vecteur intersection ou de l’Intervecteur pour le contrôle des mobiles les uns par rapport aux autres dans l’environnement routier, ferroviaire, d’infrastructure. La signalisation embarquée et la navigation sont présentées sur l’écran audiovisuel de la planche de bord - Figures 1 et 3 des Planches I/III et II/III du brevet FR 2 586 845.  

La technologie électronique et de télécommunication s’applique pour tout type de véhicule, de fabrication, de motorisation, de puissance, d’infrastructure.

La technologie de l’auteur inventeur Legros du Système Intervecteur électronique automatique numérique est douée d’une intelligence intervectorielle embarquée ayant la capacité de résoudre le pilotage dans l’environnement dont elle est en permanente relation d’interdépendance au brevet FR 2 586 845. L’invention est brevetée de brevets nationaux. Les groupes d’instructions intervectorielles spatio-temporelles 3D sont indispensables. Les informations, les développements scientifiques, techniques nouveaux sont également de l’auteur inventeur et sous le copyright 1985 (34 ans).

Nota : L’antériorité est le mobile ou l’engin ou le modèle réduit télécommandé sans fil ou à distance. Auparavant, c’est le pilotage manuel avec le conducteur ou la télécommande de pilotage à distance qui étaient utilisés, et que pour un seul véhicule. Les informations de l’environnement étaient traitées par le conducteur ou par le pilote de la télécommande sans aucune interaction, matière et résolution scientifique.   

Sans la licence du Système Intervecteur d’autres solutions scientifiques techniques nouvelles doivent être trouvées par les chercheurs, les ingénieurs et les techniciens de l’industrie et des télécommunications pour équiper les voitures, les engins différemment, sans exploiter la technologie de Legros protégée et non autorisée.

L’œuvre d’art n’est pas libre de droit, n’est pas dans le domaine public, le droit exclusif d’exploitation est à titre onéreux au jour du dépôt légal le 27-08-1985 à l’Institut National de la Propriété Industrielle INPI de Paris France.

Abrégé du brevet Legros FR 2 586 845 au PCT Patent Cooperation Traity
Le radar ou système de sécurité anti-collision pour les mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt est constitué par une alimentation générale (1), un circuit d’émission (2), un circuit de réception (3), un circuit de modulation (4), un circuit de démodulation (5), un circuit de décodage ou un circuit de coïncidence ou un comparateur (6), un circuit amplificateur de puissance (7), un circuit d’asservissement ou une logique de fonctionnement du mobile (8). Le système permet d’accroître la sécurité des mobiles dans un environnement donné, codé, programmé, terrestre, maritime, aérien et/ou spatial. La modélisation unitaire ou multiple de l’environnement donné est réalisée par l’intermédiaire d’éléments codés, programmés, représentant la référence du système et l’origine de l’information émise, reçue par les mobiles.

Les capteurs (émission-réception) ou les éléments codés, programmés, le modulateur, le démodulateur ou le modem du signal 2A le transforment pour la résolution et l’exploitation du système électronique de sécurité anticollision de mobiles en mouvement et/ou à l’arrêt dans le plan ou l’espace.

Dans la description, les types de capteurs sont définis, ils sont caractérisés par les groupes d’instructions intervectorielles spatio-temporelles pour leur exploitation. De la Métamathématique physique des groupes d’instructions, la technologie est précise, différentielle, infinitésimale en boucle ou en continu. Il s’agit des nano, pico éléments, électrons ou particules traités par le Système Intervecteur.       

Les capteurs en l’état de la technique du circuit d’émission (2), du circuit de réception (3) du système sont écrits conformément au préambule de la revendication principale du brevet. Dans la partie caractérisante, ils sont caractérisés être des capteurs ou éléments codés, programmés.

Le signal 2A de la revendication du système est défini être synchronisé (T0), codé (0,1, +, -, , u t, ...) sur la fréquence ou sur les fréquences choisies.

Le signal 2A ou la variable physique du brevet de M. Legros est étudié pour être transmis dans tout le système ou dans tous les xn systèmes de l’invention. Aucune impossibilité, restriction ou limite n’est précisée par l’auteur inventeur pour son exploitation dans le système embarqué ou localisé, dans le central, dans le plan ou l’espace.

La synchronisation T0 des systèmes est universelle, originale, nouvelle. Le signal 2A ou Sigma L, l’élément infinitésimal, l’électron, la particule ou le néant est codé, original, nouveau. Cette synchronisation et ce signal électronique de Legros ne sont pas en l’état de l’art des systèmes, n’ont pas d’existence antérieure.

Les capteurs électromagnétiques (émission-réception) du système x1 sont accordés sur une seule fréquence choisie 1-f. Ils sont codés, programmés pour ne pas perturber la détection qui se réalisera sur le circuit de réception du système x2 et des xn systèmes dans le plan ou l’espace.

La synchronisation universelle, le bus interne, l’électrobus externe, la Wi-Fi, le télémultipointeurs ou pad ou tactile, les réseaux de télécommunications originaux, nouveaux sont en liaison pour la transmission et le fonctionnement du Système Intervecteur (1969-1985).  

Les dispositifs sont identiques aux schémas de principe du brevet. Ils disposent des mêmes circuits électroniques connectés, adressés sur le bus et sur le rack des cartes électroniques du système. Le système peut exploiter plusieurs fréquences n-f.

Les systèmes des deux schémas de principe de la figure 2 Planche I/III et de la figure 5 Planche III/III sont fonctionnels. Ils peuvent fonctionner indépendamment l’un de l’autre ou ensembles ou avec tous les autres systèmes.

Tout en conservant le même schéma de principe, les systèmes électroniques peuvent être différents de leurs caractéristiques, performances et design. C’est ce qui se pratique aujourd’hui dans le monde avec différents constructeurs et exploitants de systèmes et de réseaux de télécommunication.

Les circuits électroniques sont étudiés, désignés par l’auteur inventeur pour la fabrication, l’exploitation de son Système Intervecteur original, nouveau.

Le concept général inventif de l’invention au brevet FR 2 586 845 le 27-08-1985 est inchangé dans l’industrie des systèmes d’exploitation, de détection, d’activation, d’application, d’information, de surveillance, de navigation, de pilote, de télécommunication et d’anticollision sur la zone ou sur l’écran.
 
La technologie de Legros du bus interne au système et de l’électobus externe liant le nombre de capteurs codés, programmés n’a pas de limite pour la modélisation unitaire ou multiple de l’environnement. La technologie est le support de la référence du système et pour la résolution des groupes d’instructions intervectorielles.

Le circuit de décodage ou le circuit de coïncidence ou le comparateur (6) est le calculateur CI des groupes d’instructions intervectorielles du système et de la systémique des xn systèmes. Les instructions sont traitées sur le support électronique du circuit (6) pour le fonctionnement et l’exploitation de son système.

M. Legros a suffisamment décrit son invention incluant son œuvre d’art du Système Intervecteur pour qu’elle puisse être exécutée par l’homme ou le collège d’hommes du métier, pour qu’elle puisse être utilisée dans tout genre d’industrie, et de télécommunication, y compris dans l’agriculture - articles L611-15 et L612-5 du Code de la Propriété Intellectuelle.

Du Code de la propriété intellectuelle, le brevet d’invention et le droit d’auteur constituent un monopole ou un droit exclusif d’exploitation dans la société. L’intelligence embarquée, intégrale ou partielle, est précisée aux groupes d’instructions de la branche du calcul intervectoriel pour résoudre.

L’intelligence intervectorielle embarquée sur la planche de bord de la voiture ou localisée en station, au PC route ou dans l’environnement n’a pas d’antériorité dans l’industrie automobile ou le néant.

La voiture automatique autonome originale, nouvelle, brevetée, passée aujourd’hui en 2017 dans le langage courant de la communication concerne l’exploitation des brevets nationaux de la famille FR 2 586 845 en la date de priorité le 27-08-1985.

L’œuvre d’art de Legros du Système Intervecteur pour exploiter la voiture autonome est protégée par la loi sur la protection des inventions et des connaissances techniques aux brevets d’invention et par la loi sur le droit d’auteur au dépôt légal.

Toute exploitation ou reproduction ou représentation ou diffusion de la voiture autonome sans le consentement personnel obligatoire de M. Legros donné par écrit est illicite. M. Legros a un droit d’ordre intellectuel et moral, et un droit d’ordre patrimonial sur son œuvre d’art de la voiture autonome.


Voiture électronique autonome produite exploitée avec la technologie du brevet FR 2 586 845, l’œuvre d’art incluse intégrale ou partielle, le code logiciel numérique, l’architecture. Toute représentation ou reproduction ou diffusion, télédiffusion constitue une contrefaçon.
Titres de propriété

  © Le Système Intervecteur alimentation courant alternatif continu AC/CC

     mobile voiture autobus camion tramway train métro et station Legros1985

LE SYSTEME LEGROS DE BUS, DE WI-FI ET DE TELECOMMUNICATION

POUR L’AUTOMOBILE ET LE FERROVIAIRE


Les automobiles de 1900 à 1985 exploitaient une mécanique classique (commande manuelle en habitacle, moteur thermique à essence ou gas-oil, allumage mécanique, électrique ou injecteur diesel, embrayage, boîte de vitesses manuelle, automatique, suspension mécanique, hydraulique, frein à tambour ou à disque, plaquettes) et des circuits électriques sur faisceaux de câbles de cuivre pour les commandes.


Aujourd’hui la voiture de Legros de l’Intervecteur brevetée de brevets nationaux est revendiquée avec le contrôle électronique de trajectoire 3D, un calculateur CI, un électro-bus (CAN), un modem à signal Sigma L, un système de navigation satellitaire sur la planche de bord, une liaison (Wi-Fi), une télécommunication embarquée, normalisée pour les voitures. Le pilotage intervectoriel infinitésimal est manuel, semi ou automatique avec téléexpertise et télédiagnostic.


Le bus interne du système, à signal Legros Sigma L (sL) synchronisé, codé, intègre les réseaux de télécommunication pour la systémique des mobiles notamment de la route et du ferroviaire. Les capteurs intervectoriels (intervectorial sensors) sont codés, programmés. Le signal Legros Sigma L (sL) du schéma de principe de la figure 5 planche III/III s’applique en la date du dépôt légal. copyright © Bernard Legros 1985


Le schéma de principe figure 5 planche III/III du brevet français FR 2 586 845 est étudié pour être appliqué avec des normes de matériel et de télécommunication AFNOR, ISO, ANFR, UIT.



Brevet Legros français 2 586 845 (FR) le 27-08-1985 - Schéma des huit circuits électroniques de 1 à 8 - 1/Alimentation - 2/Emetteur - 3/Récepteur - 4/Modulateur - 5/Démodulateur ou Modem - 6/CI Calculateur Intervecteur Décodage - 7/D Etage amplificateur Interface Electrobus bus wi-fi embarqué à bord du mobile ou localisé en station (commande capteur accessoire sécurité test raz/reset…) - 8/Puissance Asservissement ou Logique de fonctionnement daté sur le cartouche le 06-09-1985

  © Le Système Intervecteur électronique bus Electrobus wi-fi local ou embarqué

      mobile terrestre voiture autobus camion tramway train métro Legros1985

L’Electrobus, le bus, la wi-fi, le circuit électronique 7/Etage amplificateur, les réseaux de télécommunication tdma, cdma, fdma, mixte mdma sont présentés sur le plan ci-dessus avec le signal 2A Sigma (sL) codé, programmé, la Synchronisation universelle, les cartes électroniques et les tensions d’alimentation du système.


Le Système Intervecteur a une carte Interface input/output signal et une carte du mobile pour les capteurs et les accessoires codés, programmés, l’asservissement de puissance, la logique de fonctionnement et la commande du mobile.


Les huit circuits électroniques (8) du brevet français FR 2 586 845 sont produits sur une ou plusieurs cartes en fonction de l’intégration des composants du système, de son application, de son exploitation en local ou en embarqué sur le mobile.


Le SYSTEME LEGROS™ résout là où il est installé. Le système est fixe, amovible, standard, polymorphe pour l’application, l’exploitation  par secteur.



LA SIGNALISATION LATERALE EMBARQUEE A BORD


Le conducteur est informé de sa vitesse, du contrôle et des dépassements de vitesse, des panneaux routiers, du trafic, temps réel, temps différé, des véhicules par les messages de circulation.


Le système Intervecteur diffuse la vitesse moyenne Vm du véhicule pour le contrôle de la sécurité routière. L’exploitation, la diffusion de l’information ou du terme vitesse moyenne Vm sont protégées par le droit d’auteur ou par le copyright (1985).


La modélisation des zones de circulation est embarquée. Le Système Intervecteur, l’électronique, le logiciel et les n-instructions CAS définissent la zone modélisée, codifiée de circulation en application du Code de la Route pour les automobiles et en poste de contrôle.


Les instructions intervectorielles, les réseaux, le logiciel sont exploités pour l’itinéraire de la voiture, de la route, de la trajectoire, de la vitesse. Les xn-voitures communiquent avec les équipements, le poste central, dialoguent entre elles, résolvent en permanence les instructions  intervectorielles et la sécurité anticollision.



LA PUBLICITE DU BREVET FR 2 586 845 DU SYSTEME INTERVECTEUR

L’œuvre d’art intégrale ou partielle originale nouvelle de l’électronique, du logiciel, de plans, de dessins, d’architecture du système et systémique des systèmes, d’information, de séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou de film sur l’Internet, et vers les satellites


1. L’information de circulation routière « autorisé ou interdit »

2. La vision plane ou spatiale de cycle, de voiture, de bus et camion

3. L’identification électronique, la reconnaissance de la plaque minéralogique  

4. La position de parking, le contrôle de l’horaire de stationnement du véhicule

5. La signalisation des infractions du Code de la route et du stationnement

6. La connexion à l’automobiliste, au véhicule, la téléverbalisation temps réel

7. La détection d’obstacles sur la route ou de dangers de la circulation

8. Les messages SMS Short Messages Service de la route

9. Le système d’exploitation sur l’écran de la planche de bord

10. Les cartes routières embarquées (la télésignalisation)

11. La navigation de la voiture, la géolocalisation, le temps, la distance

12. Les commandes, l’information vocale, visuelle, les stations service

13. L’arrêt d’urgence ou l’arrêt général de tous les véhicules, zone rouge

14. La vigilance, avertissement au conducteur, zone orange clignotant

15. La demande de ralentissement ou l’arrêt de la voiture, zone orange

16. Le contrôle de la  vitesse, du dépassement, la voie libre, zone verte

17. Le contrôle radar localisé, embarqué, la vitesse moyenne du véhicule

18. Les réseaux de télécommunication, l’accès aux bases de données

19. Le contrôle technique du véhicule, l’application de la réglementation

20. Le télécontrôle de permis de conduire, de carte grise, d’assurance

21. La conduite manuelle, semi-automatique ou automatique

22. L’interdépendance des transports (croisement, pont, passage à niveau)

23. L’expertise, la téléexpertise, la check list au démarrage

24. Le simulateur, la télémaintenance, le télédépannage, l’injection du signal

25. Le contrôle, le pilotage du véhicule à énergie thermique, électrique, mixte

26. L’intelligence intervectorielle (artificielle) embarquée, la voiture autonome

27. Le dialogue de véhicules, centraux, postes et satellites interconnectés

28. La Norme vers la standardisation du Systèmes Intervecteur de la route (*)

(*) AIS (01-07-2002) - Normes maritimes de navires, stations, ports de commerce, etc


Le Système Intervecteur est protégé par la loi sur le droit d’auteur au jour du dépôt légal le mardi 27 août 1985 à 15 heures - articles L111-1, L112-2, L122-4, L335-2 et L335-3 du Code de la propriété intellectuelle.



L’ECONOMIE DE MARCHE DE LA VOITURE DE LEGROS ELECTRONIQUE

AUTOMATIQUE NUMERIQUE OU LA VOITURE AUTONOME


Rappelons que M. Legros a défini l’orientation asservie des phares de la voiture en 1958, l’information émise du temps T Alpha (T) d’attente, d’arrivée ou d’approche de mobiles en 1964. Il a pensé la synchronisation des circuits électriques, électroniques ou bus aux années de 1969 à 1971. Puis de l’automatique industriel, il a publié en 1985 son invention, son œuvre d’art incluse de la synchronisation universelle où tous les Systèmes Intervecteur sont interconnectés.


La géolocalisation spatiale satellitaire 3D, l’antiblocage, l’antipatinage des roues, l’anticollision de la voiture, le contrôle de la trajectoire, l’enveloppe spatiale du véhicule autorisée ou interdite, la signalisation horizontale, verticale embarquée, la signalisation programmée, enregistrée et la navigation satellitaire sont intégrés au système.


Aux brevets nationaux, aux plans, aux dessins d’architecture, de bus et aux groupes d’instructions de la branche Métamathématique du calcul intervectoriel, la voiture de Legros est électronique automatique, numérique en 1985.


Son bus interne, ses propres réseaux de télécommunication tdma, cdma, fdma et mdma sont exploités pour des liaisons entre les véhicules, des liaisons terrestres et des liaisons vers les satellites.  


Aujourd’hui, de ses groupes d’équations de la branche mathématique du calcul intervectoriel, ce sont des milliards de systèmes qui sont interconnectés, agissent de son électronique, de ses résolutions, de ses télécommunications. Son système électronique complexe est de son signal de Legros (L) synchronisé, codé, autocontrôlé par des boucles d’injection et sécurisé. Aux résolutions du système, la voiture, les moteurs thermiques, électriques ou hybride sont sous le contrôle électronique intervectoriel.   


M. Legros est l’auteur inventeur du produit breveté pour l’automobile électronique automatique numérique intervectorielle de publicité internationale. La production scientifique, intellectuelle, industrielle de l’Intervecteur et son développement est reproduite en un nombre d’exemplaires sur les automobiles. C’est le brevet français FR 2 586 845 et l’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur qui sont copiés et exploités sur les véhicules de la route ou terrestres.     


L’automobile de Legros électronique automatique numérique est étudiée pour répondre aux contraintes économiques, assurer le confort, la sécurité des personnes, économiser les ressources naturelles, est étudiée pour protéger l’environnement.


La population de la planète augmente avec plus de sept milliards d’individus. Le nombre de véhicules est croissant. Cette industrie automobile nouvelle électrique électronique progresse à produire, à rendre propre l’énergie consommée, ainsi que ses rejets en particules carbonées polluantes.


Nous savons qu’aux années de 1985 l’électronique embarquée à bord des voitures était quasi inexistante. Son utilisation se limitait aux équipements de cadran digital de kilométrage et vitesse, d’autoradio, de téléphone GSM Global System Mobile. La voiture était essentiellement mécanique pour sa régulation, sa chaîne cinématique. Les circuits électriques étaient câblés par faisceau. L’information de capteurs était simple, rudimentaire par voyants sur le tableau de bord. Il n’y avait pas la synchronisation électronique, le contrôle de fonctionnement, la valise de contrôle, l’autodiagnostic, l’expertise ou la téléexpertise.   


La fourniture des produits de l’électronique automobile, un marché nouveau en phase de pénétration, année de 1995, est actuellement en phase de croissance, avec les solutions de navigation, de télécommunication, de contrôle, de propulsion à moteur thermique, électrique et hybride. La voiture est automatique avec les résolutions scientifiques intervectorielles, intégrales ou partielles, publiées  aux brevets Legros.


Le marché de l’automobile et l’offre constructeur existent, la demande de l’électronique automatique numérique et de télécommunication pour l’automobile est nouvelle. Pour atteindre la maturité de production, les enjeux économiques, industriels des constructeurs automobile et des équipementiers sont considérables.


L’électronique automobile numérique de Legros est décrite aux textes, aux illustrations de cette page, en référence à l’invention du système électronique Intervecteur et à l’œuvre d’art, intégrale ou partielle, scientifique, d’instructions, de données, de logiciel, de plans, de dessins, d’architecture système et systémique.


En France, ce sont les 1,8 millions de voitures qui ont été immatriculées en 2015. Au cours de cette même période, avec l’équipement d’une fourniture électronique nouvelle, ce sont 100 millions de voitures qui ont été produites dans le monde.


De la publicité du brevet français en 1985, la technologie automobile de Legros est exclusive, le potentiel du marché annuel en fourniture de produits électroniques montés sur le véhicule est estimé à 625 milliards d’€.



LA TECHNOLOGIE DE L’INTERVECTEUR POUR LES XN-AUTOMOBILES

Le système, la systémique et les réseaux pour le management du trafic


En résumé, le système Legros Intervecteur, son bus, ses réseaux de télécom-munication, ses résolutions et circuits de puissance contrôlent la voiture-x, contrôlent en simultané les voitures-xn.


Les circuits électroniques modulateur - démodulateur ou modem sont dissociés en mode de fonctionnement récepteur pour ne faire par exemple que de la surveillance, de la réception d’information ou de la visualisation sur l’écran. Et, en mode station émetteur pour ne faire que de la diffusion d’information.


Le système de l’Intervecteur breveté pour le mouvement spatial et la sécurité anticollision nécessite tous les huit circuits électroniques de 1 à 8. L’œuvre d’art de Legros de l’Intervecteur est intégrale ou partielle aux écritures des groupes d’instructions.


La voiture en France est ainsi identifiée - Europe, Pays F, le numéro alphanumérique AA-NNN-AA, la région et le numéro de département Paris 75.


La résolution intervectorielle et l’application pour l’automobile et la route est contenue aux écritures des brevets nationaux FR 2 586 845 au 27-08-1985. Du Système Intervecteur traité dans toute sa complexité et de l’espace, il n’y a pas d’antériorité aux écritures et aux plans publiés par M. Legros auteur inventeur.


Nous devons admettre que l’automobile d’hier était bien différente de l’automobile d’aujourd’hui équipée du Système Intervecteur (1985-2017). La technologie électronique du brevet de Legros tend à être de plus en plus exploitée à bord des automobiles sur le réseau routier.


Le Système Intervecteur est défini à son titre être un système électronique de sécurité étudié pour assurer la protection des automobilistes et de l’environnement. Il a aussi été étudié en un modèle normalisé standard pour s’intégrer à l’évolution des secteurs de notre économie.  



Publicité internationale des brevets nationaux FR 2 586 845

en la date de priorité le 27-08-1985 à l’INPI de Paris

L’EXPLOITATION ET LA TELEGESTION DES PLACES DE STATIONNEMENT

PUBLIC PAYANT DANS LA CAPITALE


Le parcmètre de stationnement payant en agglomération date de 1935. Le service de contractuels de la municipalité affecté à cette surveillance contrôlait le paiement du parking, effectuait le prélèvement des recettes ou des pièces de monnaie, tout en dressant des procès-verbaux et des amendes aux contrevenants.


L’état de la technique des modes de paiement des places de stationnement

Le paiement des places de parking était effectué par l’introduction de pièces de monnaie dans le parcmètre du véhicule. Le cadran indiquait le temps de parking payé et autorisé. Le parking sur zone bleue est gratuit, le temps de stationnement est indiqué sur le disque apposé sur le pare-brise, mais il est limité par le temps de stationnement autorisé.


L’horodateur permet de payer le temps de son stationnement avec des pièces de monnaie ou par carte bancaire. Il imprime, délivre le ticket du temps de stationnement du véhicule immatriculé avec le reçu du montant payé. Le ticket est posé sur le pare-brise pour le contrôle par les agents municipaux de sa validité et pour la verbalisation.

  

La télégestion du stationnement avec l’indication autorisé ou interdit

Comme tout e-commerce (électronique), le paiement se fait au moyen des réseaux de télécommunication de Legros tdma, cdma, fdma et mdma par carte bancaire au poste de l’horodateur ou sur le téléphone mobile ou portable. Le ticket indique le numéro d’immatriculation de la voiture, la zone codée du stationnement tarifé, la rue, l’horaire, le temps qui a été sélectionné, ou par plage horaire payé.


Le Système Intervecteur suite au paiement crédité de la place de stationnement réglementée imprime ou délivre un reçu, le véhicule est alors autorisé. Au poste central de télégestion, ces informations sont enregistées dans la base de données pour le contrôle du stationnement du véhicule. Le véhicule est stationné en une position, une place ou une zone ou son état logique est déterminé par le systéme, soit autorisé ou interdit de sa résolution intervectorielle spatio-temporelle.


L’identification du véhicule et le contrôle du stationnement se fait par capteur ou balise électromagnétique ou de vision de la plaque minéralogique. Le système électronique, les réseaux de télécommunication par l’interrogation de la base de données locale ou distante transmettent l’information sur le véhicule stationné ou sur son état logique autorisé ou interdit au moment du passage du véhicule de contrôle municipal. Le contrôle du stationnement autorisé ou interdit est aussi fait par le préposer à partir de son portable, des réseaux de télécommunication et de la base de données.


Le Système Intervecteur d’Exploitation et de Télégestion du paiement de la place de stationnement public ou de parking avec l’indication autorisé ou interdit et l’émission des procès-verbaux est protégé par le brevet d’invention FR 2 586 845 et par des droits d’auteur au jour du dépôt légal le 27-08-1985.


Le Système Intervecteur de télégestion du stationnement et son architecture

Le Système Intervecteur de son architecture et de ses réseaux de télécommunication résout de système à système pour tous les (Ɐ) systèmes exploités en embarqué, en local, en central ou vers les satellites.


Aux brevets nationaux de M. Legros de la famille FR 2 586 845 du Système Intervecteur électronique, de télécommunication et de code logiciel tous les véhicules géolocalisés en stationnement ont un état logique qui est autorisé ou interdit en temps réel ou en temps différé. L’environnement routier ou la zone sont codés, programmés.


Le Système Intervecteur de télégestion du stationnement définit l’identification minéralogique du véhicule, sa géolocalisation, son stationnement spatio-temporel, son paiement suivant le règlement de la zone, son état logique autorisé ou interdit à n’importe quel moment, à distance ou depuis le poste central. L’émission des procès-verbaux de paiement des amendes et le contrôle des véhicules est automatique.



Télégestion du stationnement et l’information de contrôle autorisé ou interdit

L’art antérieur est présenté par le parcmètre du cadran à aiguille, l’horodateur avec le ticket de paiement posé sur le pare-brise et le disque horaire en zone bleue


 Voiture automatique ou autonome © Bernard Legros 1985

INTELLIGENCE DE LEGROS EMBARQUEE GROUPES D’INSTRUCTIONS INTERVECTORIELLES SIGNALISATION ENVIRONNEMENT ESPACE CODE PROGRAMME



CALCULATEUR

INTERVECTEUR CI

SYSTEME NUMERIQUE

CODAGE L

AUTOCONTROLE

IDENTIFICATION

AUTODIAGNOSTIC

TELE EXPERTISE


CONTRÔLE

MOTEUR

FREINAGE

COEFFICIENT  

GAMMA OMEGA L

VITESSE

TRAJECTOIRE

POSITION 3D


PLANCHE DE BORD ACCESSOIRES

COMMANDE ECRAN

MODEM RESEAU

WI-FI  INTERNET GEOLOCALISATION

TERRESTRE SPATIALE

EMETTEUR








RECEPTEUR

   BERNARD LEGROS AUTOMOBILE AUTOMATIQUE OU AUTONOME 1985



   AUTOMOBILE BUS SIGNAL SIGMA L SYNCHRONISE CODE

LA LICENCE DE TELEGESTION DU STATIONNEMENT ET LA REMUNERATION


Le Système Intervecteur nouveau de télégestion du stationnement

Le système électronique d’exploitation, de télécommunication, d’identification, de géolocalisation spatio-temporelle et de télégestion des places de stationnement ou de parking ou de zone codée ou en agglomération est complet, nouveau. Au jour du dépôt légal ce Système de stationnement payant n’existe pas ou le néant.


L’invention brevetée concerne toujours les brevets nationaux de M. Legros de la famille FR 2 586 845 et indépendamment l’œuvre de l’esprit incluse - articles L112-2 et L611-10 du Code de la propriété intellectuelle.


L’œuvre de l’esprit est entièrement originale nouvelle notamment les écrits littéraires, scientifiques, artistiques, la résolution intervectorielle Métamathématique physique, le code logiciel, l’information de géolocalisation spatio-temporelle du véhicule, l’identification, l’état logique autorisé ou interdit du stationnement, les séquences animées d’images audiovisuelles cinématographiques ou le film, le signal Sigma L (sL) synchronisé, codé, impénétrable, les réseaux de télécommunication et du e-commerce électronique, les plans et les dessins, l’architecture du système, de la systémique des systèmes, la liaison à l’Internet, la liaison montante descendante vers les satellites.  


En application de la loi, l’auteur perçoit les redevances provenant des recettes de la municipalité pour toute exploitation intégrale ou partielle du Système Intervecteur de télégestion des places de stationnement ou de parking en agglomération ou en ville.


Le produit et le marché du stationnement public ou privé payant

La municipalité de Paris exploite depuis les années de 1970 le parcmètre de stationnement, plus récemment l’horodateur pour les résidents, les visiteurs, les professionnels, etc. A ceci s’ajoute le produit de stationnement des parkings privés.


Dans la commune de Paris, il y a environ 160 mille places de stationnement public payant à tarif variable, le stationnement est gratuit pour certains véhicules. Des emplacements sont réservés aux handicapés, autorités, taxis, cars et bus, forces de police, pompiers, transports de fonds, livraisons, véhicules électriques, sorties de parking ou de garage, passages pour piétons, etc.  


Le marché du stationnement public payant de la ville de Paris, en fonction de la zone géolocalisée codée, de la tarification variable du temps d’immobilisation du véhicule produit environ 300 millions d’euros. De sa capacité maximum , il est calculé pouvant générer un chiffre d’affaires global de 500 millions d’euros et plus.


L’offre du produit de stationnement évolue en fonction de nouvelles places offertes au public. Les municipalités gèrent la comptabilité du stationnement, le coût économique du produit, les recettes perçues des automobilistes et des amendes, les charges d’installation, d’exploitation et le compte de résultat du service de stationnement.


L’invention du parcmètre de 1935 est bien l’ancêtre de l’invention du système électronique  de M. Legros au brevet français FR 2 586 845, de l’œuvre de l’esprit incluse scientifique, technique, le code logiciel numérique, les télécommunications, les messages SMS, la téléphonie mobile, l’architecture, l’exploitation et la télégestion des places du stationnement payant, le e-commerce, le contrôle et la verbalisation.


La technologie du Système Intervecteur d’Exploitation et de Télégestion du stationnement public payant est un produit complet nouveau fiable générateur de ressources d’aménagement pour les municipalités.



LA LOI DE LA REPUBLIQUE DU CODE DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE


Le Système de télégestion du stationnement

Toute exploitation ou représentation ou reproduction ou diffusion ou télédiffusion de l’œuvre de l’esprit de M. Legros du Système de télégestion du stationnement, en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon et toute contrefaçon est un délit.


Dispositions générales de la loi sur les droits d’auteur  

La cession par l'auteur de ses droits sur son œuvre d’art est totale ou partielle. Elle comporte au profit de l'auteur la participation proportionnelle aux recettes provenant de la vente ou de son exploitation.   


Le consentement personnel et donné par écrit de l'auteur est obligatoire. L'auteur garantit l'exercice paisible et exclusif du droit cédé. Il est tenu de faire respecter ce droit et de le défendre contre toutes atteintes qui lui seraient portées - articles L131-4, L132-7 et L132-8 du Code de la propriété intellectuelle.


Toute édition d'écrits, de composition musicale, de dessin, de peinture ou de toute autre production, imprimée ou gravée en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon et toute contrefaçon est un délit.

La contrefaçon en France d'ouvrages publiés en France ou à l'étranger est punie de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende.

Seront punis des mêmes peines le débit, l'exportation, l'importation, le transbordement ou la détention aux fins précitées des ouvrages contrefaisants.

Lorsque les délits prévus par le présent article ont été commis en bande organisée, les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 750 000 euros d'amende - articles L335-2 à L335-10 du Code de la propriété intellectuelle.


La rémunération de l’auteur

Le contrat de rémunération de l’auteur précise les redevances proportionnelles au chiffre d’affaires de l’exploitation commerciale des places de stationnement ou de parking payées par les automobilistes, plus les recettes des impayés des contrevenants encaissées à terme.


Le Système Intervecteur complexe d’Exploitation et de Télégestion du stationnement public payant contrôle toutes les places de stationnement ou de parking ou par zone, la transaction commerciale et le paiement en somme d’argent.



La licence d’exploitation des droits exclusifs de l’auteur

La cession des droits d’auteur concerne l’achat de la licence d’exploitation du système. En rémunération de l’auteur, les redevances sont à payer sur la base de calcul au taux de 5 p. 100 (5%) fixe, uniforme proportionnel au chiffre d’affaires. Les recettes du stationnement, plus les recettes des impayés majorées des retards de paiement constituent le chiffre d’affaires global du stationnement public payant.


Dans le but de simplifier le contrôle des recettes et de réduire les frais de gestion, les redevances des droits d’auteur sont calculées sur le chiffre d’affaires réalisé multiplié par le taux indiqué sur la période considérée semestrielle et annuelle – article L131-4 du Code de la propriété intellectuelle.


La cession de la licence d’exploitation exclusive dans la commune de Paris est de 500 000 € ; les redevances au taux de 5% du chiffre d’affaires de 300 000 000 € en 2018 sont de 15 000 000 € ; le total hors taxes est de 15 500 000 € ; la taxe sur la valeur ajoutée au taux de 10% est de 1 550 000 € ; le total de la facture toutes taxes comprises est de 17 050 000 €.


La facture constitue l’acompte des redevances à payer à échéance pour l’année 2018. La somme hors taxe à payer sera donc susceptible d’une révision sans délai au taux indiqué fixé uniforme proportionnel sur les recettes ou sur le chiffre d’affaires certifié des experts comptables.


La rémunération de l’auteur est exigible dès la première exploitation de ses droits d’auteur ou le 27-08-1985. Les frais financiers au taux de 3% annuel sur les redevances à recouvrir sont en sus, calculés au prorata du retard effectif de paiement. Le retard est compté pour le mois entamé compté entier et en année comptable.


Système Intervecteur d’Exploitation et de Télégestion

du stationnement public payant © Bernard Legros 1985

Dépôt légal, tous droits de propriété réservés pour tous pays



LA CREATION DU SYSTEME INTERVECTEUR DANS LA VILLE DE PARIS


M. Legros, domicilié 58 rue Michel Ange 75016 Paris a fait une demande pour un brevet d’invention le 27 août 1985 à l’INPI Institut National de la Propriété Industrielle.


Lorsque M. Bernard Legros commente dès 1985 l’originalité, la nouveauté entière de son invention, ses écrits scientifiques techniques, la Métamathématique physique, le système électronique d’exploitation, les réseaux de télécommunication, le pilote autonome, les satellites et l’espace ; son Système Intervecteur, l’œuvre de l’esprit incluse, qu’il a fait breveter est évidemment extrêmement complexe, fait de résultats transcendants, décisifs qui ont déterminé son exploitation à Paris et dans le monde.


Le Système Intervecteur est exploité dans la capitale, son œuvre d’art, son invention au brevet français, ainsi que ses conseils et ses recommandations.


Le site consultant-legros.net présente l’exploitation du brevet, de l’œuvre d’art du Système Intervecteur, son système d’exploitation Métamathématique électronique à télémultipointeurs ou pad ou tactile sur l’écran ou sur la zone réelle de navigation.



LES PRODUITS DU SYSTEME INTERVECTEUR EXPLOITES DANS CAPITALE


La ville de Paris doit à M. Legros l’exploitation dite sous licence exclusive intégrale ou partielle des systèmes, des produits et de leurs applications énumérés ci-dessous, provenant de son invention, de son brevet ou de ses droits d’auteurs protégés en France par la loi de la République.


1. Le Système Intervecteur est exploité sur le métro automatique METEOR de la ligne N°14 Saint-Lazare - les Olympiades RATP mis en exploitation commerciale et inauguré le 15 octobre 1998.


2. Le Système Intervecteur est exploité sur le métro automatique de la ligne N°1 Vincennes - La Défense RATP mis progressivement en exploitation commerciale, sans interruption du trafic voyageurs, en date approximative du 15 novembre 2011.


3. Le Système Intervecteur est exploité sur les lignes ferroviaires SNCF de la capitale pour la régulation du trafic, la sécurité anticollision, l’information aux voyageurs, les liaisons de télécommunication fixe, mobile publique, privée ou WiFi.


4. Le Système Intervecteur sera exploité pour la télégestion en mode multi opérateurs public privé des lignes ferroviaires, les informations spatio-temporelles de roulage ou d’occupation de la voie du matériel roulant, le stationnement, les paiements au concessionnaire ou à RFF Réseau Ferré de France.


5. Le Système Intervecteur d’information aux voyageurs, de navigation ou de séquences animées d’images audiovisuelles ou cinématographiques est exploité dans le public à Paris, en Région Ile-de France sur les lignes de bus, de métro, de tramway, de train RER, et aux stations terrestres, souterraines, aériennes (années 2000).


6. Le Système Intervecteur réalise la production, la diffusion ou la télédiffusion de l’information audiovisuelle originale, nouvelle ou de voyage pour l’exploitation et le e-commerce de ticket de transport sur l’Internet, sur l’ordinateur portable ou sur le téléphone mobile du voyageur, et en liaison montante descendante vers les satellites.


7. Le Système Intervecteur est exploité pour le transport fluvial de la Seine, de ses affluents et canaux, sur les péniches, navires de commerce, de plaisance ou de croisière, au Port autonome de Paris avec l’emploi de l’AIS Automatique Identification Système pour l’information de navigation, la surveillance, la régulation du trafic, la sécurité anticollision sur l’écran et en zone navigable.


8. Le Système Intervecteur d’Exploitation et de Télégestion du stationnement spatio-temporel des bateaux, des péniches sur la Seine, leur géolocalisation respective d’amarrage ou d’ancrage n’est pas à ce jour exploité par le Port autonome ou la Chambre de commerce ou la commune de Paris pour la réservation ou le paiement des places d’anneaux à quai.


9. Le Système Intervecteur est exploité pour la télégestion, le e-commerce des places de stationnement dans la capitale au travers de son propre système d’exploitation et de ses réseaux de télécommunication, le paiement des automobilistes, la production, la télédiffusion, le contrôle distant depuis le central de l’information du stationnement du véhicule autorisé ou interdit, le respect du Code de la route et la verbalisation.


10. Le Système Intervecteur est exploité avec ses propres réseaux de télécom-munication dans la capitale, aux antennes et réseaux de la télécommunication mobile, aux accès Internet des ordinateurs, sur les téléphones mobiles, aux envois de messages SMS Short Messages Service, au système de navigation de véhicules, aux programmes de télévision, et en liaison montante descendante vers les satellites.


11. Le Système Intervecteur sera exploité sur le Système de transport automatique de la Métropole du Grand Paris pour les jeux Olympiques de 2024, il n’existe que le système électronique développé par M. Legros ou la technologie de l’art antérieur.


12. Le Système Intervecteur pourvu de l’intelligence intervectorielle* incontournable sera exploité pour la navette de voyageurs à Paris ou en aéroport, pour le véhicule autonome ou pour tout type de mobile du plan ou de l’espace.


13. Le Système Intervecteur exploité pour le contrôle aérien sera exploité pour le Système aérien d’information des voyageurs des aéroports Paris-Charles de Gaulle, Orly, Le Bourget, ainsi que pour le parc spatio-temporel des avions.


14. Le Système Intervecteur pourvu de l’intelligence intervectorielle (2i) ou du pilote autonome sera exploité pour les liaisons aériennes d’engins, de drones, d’avions pour le transport de marchandises ou de voyageurs dans la capitale. (texte aéronautique de l’auteur inventeur sur l’élève Jupiter 1968-1969, il y a 50 ans).


(*) Les écrits scientifiques de l’intelligence intervectorielle (2i) telle que définie et exploitée. En langage courant intelligence artificielle. - Editions Librairie Larousse 1980, 1986

  © Le Système Intervecteur, le rack des cartes électroniques et les connecteurs

     en arrière du boîtier de control commande en embarqué sur le train Legros1985


SYSTEME LEGROS™ INTERVECTEUR

VOITURE AUTOMATIQUE AUTONOME NUMERIQUE
Bus, Electrobus, wi-fi, réseaux de télécommunication
Voitures et systèmes interconnectés - original nouveau          

Automobile électronique automatique autonome
Brevets nationaux et droit d’auteur
© Copyright Bernard Legros 1985


PUBLICITE DU BREVET LEGROS FR 2 586 845 ET DES PLANS
LE SYSTEME INTERVECTEUR AUTONOME A BORD DE LA VOITURE
 
ELECTRONIQUE DE LEGROS, LE BUS, LA WI-FI, LA TELECOMMUNICATION,
L’ASSERVISSEMENT OU LA LOGIQUE DE FONCTIONNEMENT DU MOBILE

1) Séquence de mise en marche, clé de contact codée, lecteur de carte ou à distance, identification, autorisation, interdiction - signal Sigma Legros L codé, synchronisé - 2) Bus électronique L de contrôle, des accessoires, phares, clignotant, etc. - 3) Réseaux Legros tdma, cdma, fdma mixte mdma - 4) Electronique des optiques de phares, asservissement orientation, puissance - 5) Modélisation en temps réel, en temps différé de l’information environnementale du véhicule - 6) Capteurs fixes, mobiles, circulaires, orientables de production de l’information - 7) Résolution de Legros intégrale ou partielle de la branche du calcul intervectoriel et de ses groupes d’équations - 8) Antiblocage ABS des roues - 9) Antipatinage des roues - 10) Contrôle de trajectoire spatiale - 11) Détection d’anticollision de véhicules, d’obstacles ou de dangers - 12) Joystick, navigation sur la planche de bord multipointeurs - 13) Contrôle des xn-mobiles - 14) Signalisation numérique embarquée à bord - 15) Signalisation numérique localisée sur zone - 16) Programme numérique en 3D de l’automobile - 17) Créneau de parking, mouvement automatique - 18) Régulateur électronique, limiteur de la vitesse V programmée - 19) Vitesse moyenne Vm de la voiture - 20) Commande de l’accélération électronique gamma L (gL) du véhicule et décélération - 21) Signalisation latérale, horizontale de la route embarquée sur la planche de bord du véhicule - 22) Asservissement de puissance de moteur(s) électrique(s) ou asservissement de puissance de moteur thermique, essence, diesel, gaz ou hybride - 23) Contrôle électronique des valves des injecteurs, des bougies, de l’allumage à signal Legros Sigma L (sL) codé, synchronisé - 24) Contôle électronique du coefficient gamma Legros de puissance n rectiligne, circulaire (g,wL) du moteur - 25) Signal sigma L (sL)  2A du bus dans les boucles électroniques intervectorielles des huit circuits de 1 à 8 du système - 26) Identification et data base du véhicule - 27) Place de parking disponible, emplacement autorisé ou interdit - 28) Lieu de places de parking libres - 29) Reconnaissance de forme plane, spatiale - 30) Reconnaissance vocale - 31) Dialogue système, entre les voitures, les réseaux Legros tdma, cdma, fdma et mdma - 32) Diffusion de messages de navigation - 33) Liaison au poste de circulation routière - 34) Distance intervectorielle entre les voitures, les destinations - 35) Temps t alpha (ta) d’attente, d’arrivée ou d’approche en un lieu - 36) Réseau radio, vidéo, tv, Internet embarqué - 37) Signal Legros Sigma (sL) codé, sécurisé interne au système ou distant de la voiture - 38) Accessoires codés, programmés de la voiture - 39) Comportement intervectoriel du pilote - 40) Signalisation, temps de réponse du chauffeur, éveil, réflexe au manœuvre - 41) Temps de conduite du véhicule - 42) Pilote manuel, aide au pilotage, pilote semi ou automatique - 43) Position intervectorielle des centraux, des véhicules ou des systèmes localisés - 44) Système d’alimentation, batterie, générateur, induction magnétique, énergie solaire - 45) Expertise, télé expertise, diagnostic ou interrogation à distance du véhicule - 46) Navigation, diffusion de l’itinéraire, de l’information routière spatiale, cartographie, mapping - 47) Messages du contrôle en continu du véhicule continual check-list with messages - 48) Générateur de programme automatique de la voiture par le chauffeur - 49) Fonction, simulation et par satellite des programmes de pilotage, etc…

  © Design automobile Bernard Legros 2010

 © copyright Bernard Legros 1985

  Tous droits de propriété réservés pour tous pays



   © Système Intervecteur numérique rail route spatial gestion du trafic réseaux télécommunication

      t/c/f/dma mixte mdma PN passage à niveau TER brevet Legros FR 2 586 845 le 27-08-1985


DROIT D’AUTEUR DU SYSTEME INTERVECTEUR
- les cartes électroniques 1 à 8 et le logiciel Intervecteur
Titres de propriété Titres de propriété

L’ETAT DE LA TECHNIQUE AUTOMOBILE AU 27-08-1985 (suite § page ci-contre)


Au jour du dépôt de la demande du brevet d’invention FR 2 586 845 et de l’œuvre d’art de Legros les voitures exploitaient une cinématique purement mécanique pour la synchronisation des cycles de fonctionnement des moteurs thermiques (principe appliqué aux véhicules).


Le volant, le levier de la boîte de vitesse, les pédales de débrayage, de commande du moteur, de commande de frein actionnaient la direction, le sens et le mouvement du véhicule. C’est le principe de Beau de Rochas de synchronisation des cylindres moteur qui était utilisé au 27-08-1985 (démarreur, pompe d’alimentation du carburateur, synchronisation mécanique de l’arbre à cames des soupapes des cylindres moteur et de l’ordre d’allumage Delco des bougies).


Le freinage était composé d’un servo frein actionnant les cylindres de frein à disque, à tambour ou d’un frein magnétique d’arbre Bendix. Il n’y avait pas de contrôle antipatinage, antiblocage des roues de la voiture, ni de contrôle de trajectoire spatiale 3D. La boîte de vitesse était manuelle mécanique ou automatique.


Des capteurs indiquaient un à un ou indépendamment l’état de fonctionnement de la voiture par des indicateurs disposés sur le tableau de bord du véhicule. La liaison entre les capteurs, les indicateurs ou les voyants était mécanique, électrique ou électromécanique. La voiture n’avait pas le Système Intervecteur avec son bus L (1969) électronique.  


La télécommunication analogique du GSM Global Système Mobile équipait les voitures d’un téléphone. Il n’y avait pas de système de navigation terrestre ou vers les satellites, ni d’écran de vision de l’environnement sur la planche de bord des voitures.


Aux brevets nationaux FR 2 586 845, aux groupes d’instructions intervectorielles, il existe la synchronisation, le codage électronique du signal sigma L (sL) 2A. L’électronique de Legros du Calculateur Intervecteur CI - ses groupes de la résolution intervectorielle permanente, puissante, précise, infinitésimale, ses capteurs, son bus, ses réseaux, ses données, ses fonctionnalités - existe à bord de l’automobile pour le contrôle électronique, le pilotage manuel, semi automatique ou automatique spatial 3D, la navigation, l’information et la sécurité anticollision sur la route.


La télécommunication originale, nouvelle de Legros lie les voitures (dialogue), les stations, le poste central PC route, le réseau de l’Internet, et vers les satellites.


Electronique du Système Intervecteur breveté avec ses huit circuits du schéma de principe Planche III/III figure 5 du brevet FR 2 586 845 - Automobile de Legros électronique automatique autonome



L’ALIMENTATION GENERALE EN LOCAL OU EN EMBARQUE SUR LE MOBILE


Le Système Intervecteur électronique d’exploitation, d’information, de télécom-munication utilise ses propres réseaux tdma, cdma, fdma, mixte mdma ou de bus système ou électrobus de commandes et d’accessoires ou de Wi-Fi. Tous les (Ɐ) systèmes ont plusieurs niveaux de tension, une logique positive ou négative, une modulation d’amplitude, de fréquence ou de phase.


Le Système Intervecteur a une alimentation générale en A/1 nécessaire aux huit (8) circuits électroniques de l’invention au brevet français FR 2 586 845 le 27 août 1985.


Le plan ci-dessous présente le raccordement au secteur, les différentes tensions, le disjonteur, l’alimentation en alternatif 220/380V, 24/48V, 12V, redressée en continu +5V, -5V, +15V, -15V, régulée au circuit régulateur de puissance, l’oscillateur, le signal Clk (horloge Legros 1969), le signal Raz (remise à zéro ou reset), la liaison Gnd (ground), une liaison masse ou terre T.



Brevet Legros FR 2 586 845 - le schéma A/1 Alimentation générale des

circuits électroniques daté sur le cartouche le 25-11-1985

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RESOLUTION TELEDIFFUSION  INFORMATION AUTORISE OU INTERDIT

SYSTEME LEGROS™

DE STATIONNEMENT

  PUBLIC PAYANT

 Système Intervecteur d’Exploitation et de Télégestion du stationnement public payant © Bernard Legros 1985

DG653MP

AUTORISE


HR537PM

INTERDIT